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Attentats de Paris : Cazeneuve faisait partie des initiés

INFO PANAMZA. Responsable de la non-intervention des militaires au Bataclan, l'ancien ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve -qui avait annoncé dans l'après-midi du 13 novembre 2015 un «attentat» imminent faisant «130 morts»- est l'ami de 30 ans du leader juif qui fut «averti» des attaques terroristes selon un quotidien israélien. Révélations.

Le 23.11.2018 à 20h48

Souvenez-vous : cinq jours après les attentats du 13-Novembre (commis un vendredi soir, au début du shabbat), Panamza rapportait une information -dévoilée puis autocensurée par une journaliste israélienne (qui sera ensuite récompensée par un lobby judéo-maçonnique)- selon laquelle des «officiels juifs» de France avaient été «avertis» -le «vendredi matin»– de «l'imminence» probable d'une «large attaque terroriste».

Embarrassé par sa confidence à la journaliste, le  Franco-Israélien et communautariste fou furieux Jonathan Simon-Sellem (aujourd'hui conseiller du maire d'ultra-droite de Tel Aviv) avait tenté d'éteindre l'incendie en rectifiant ultérieurement –auprès du désinformateur Rudy Reichstadt– sa révélation.

Ce faisant, il avait réalisé une nouvelle maladresse en indiquant que l'avertissement aurait été diffusé -via SMS- par une «experte en sécurité».

Après enquête, Panamza avait pu identifier cette jeune femme dont le patronyme entier est tenu étrangement secret par les leaders de la communauté juive. Son nom et ses connexions (transitant par le Mossad) furent exposés en détail dans un article publié le 18 novembre 2017.

Aujourd'hui, vendredi 23 novembre 2018, un nouvel élément d'information corrobore et renforce l'allégation selon laquelle un clan spécifique d'activistes, voguant entre Paris et Jérusalem, étaient informés en amont et au détail près des attentats de novembre 2015.

Au coeur de ce groupe : Bernard Cazeneuve.

Aujourd'hui avocat (dans une structure liée par son fondateur aux services secrets) en charge de la défense d'une humoriste judéosioniste et positionné en retrait (relatif) de la vie politique après son mystérieux cambriolage de l'entre-deux tours de l'élection présidentielle, ce proche (relayé par le New York Times) du Crif -mais également de l'obédience maçonnique du Grand Orient de France, du Comité juif américain et de l'extrême droite israélienne– fut aussi cet ancien ministre de l'Intérieur qui n'avait pas adressé ses condoléances à la famille d'Helric Fredou, commissaire de police prétendument "suicidé" de l'affaire Charlie Hebdo/Jeannette Bougrab

Fait troublant : critiqué ultérieurement par des familles de victimes du 13-Novembre pour sa froideur expéditive, Cazeneuve avait prédit -LE JOUR MÊME- le décès brutal de «130» personnes, soit le chiffre exact de victimes (parmi lesquelles une trentaine d'étrangers mais aucun Israélien) qui seront mortellement fauchées par les attentats du 13 novembre 2015.

En juin dernier, l'homme -qui fut responsable de la retenue des militaires hors du Bataclan, de la sanction d'un médecin du RAID trop bavard et des défaillances sécuritaires de l'attentat de Nice– a atteint le point culminant de sa consécration dans les hautes sphères de la géopolitique en devenant membre du Bilderberg, groupe occulte international accusé de «terrorisme»  sous faux drapeau par un haut-magistrat italien.

Un élément biographique relatif à Cazeneuve -un fils de pieds-noirs d'Algérie âgé de 55 ans et fan d'Enrico Macias (chanteur longtemps associé aux anciens propriétaires du Bataclan)- est systématiquement passé sous silence par la presse écrite et audiovisuelle de l'Hexagone : sa singulière, étroite et ANCIENNE connexion (depuis le milieu des années 80) avec la communauté organisée juive-et-sioniste.

BCAG

Au détour d'un récent article consacré à l'entourage proche de Cazeneuve, Panamza a répéré un individu intimement lié aux intégristes juifs et à l'appareil d'État israélien: il s'agit…


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