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Attentats de Paris : les « officiels juifs avertis » étaient liés au Mossad

Révélation. Panamza a identifié «l'experte en sécurité» (rémunérée par des «officiels juifs» en contact direct avec le patron du Mossad) qui avait diffusé des sms d'alerte juste avant les attentats du 13 novembre.

Le 18.11.2017 à 17h47

Si l'on en croit la version officielle, docilement relayée sans recul par la quasi-totalité de la presse française, le Mossad se contentait de "traquer" sans succès -depuis 2013– le Belgo-Marocain Abdelhamid Abaaoud, prétendu "cerveau" des attentats du 13 novembre 2015.

En mars 2014, BFM TV, la chaîne du milliardaire franco-israélien Patrick Drahi, avait d'ailleurs réussi à obtenir les premières images d'Abaaoud, présentées par Nathalie Levy (une animatrice qui collabore avec le Crif) et  récupérées par hasard à la frontière turco-syrienne par "deux journalistes français" (Etienne Huver, récompensé ensuite par le prix -politiquement orienté- Albert Londres, et Guillaume Lhotellier, salarié du groupe médiatico-policier Comiti).

Toujours selon le récit officiel, les évènements survenus en cette sanglante soirée du vendredi 13 n'avaient fait l'objet d'aucun avertissement de la part d'un quelconque service de renseignements -Mossad inclus.

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Francis Kalifat (président du Crif), Richard Prasquier (président du Keren Hayessod) et Tamir Pardo (patron du Mossad de 2011 à 2016).

Souvenez-vous : cinq jours après les attentats (commis un vendredi soir), Panamza rapportait une information -dévoilée puis autocensurée par une journaliste israélienne- selon laquelle des «officiels juifs» de France avaient été -le «vendredi matin»- «avertis» de «l'imminence» probable d'une «large attaque terroriste».

Embarrassé par sa confidence à la journaliste, le militant communautaire et Franco-Israélien Jonathan Simon-Sellem a tenté d'éteindre l'incendie en rectifiant ultérieurement –auprès de Rudy Reichstadt– sa révélation. Ce faisant, il avait réalisé une nouvelle maladresse en indiquant que l'avetissement aurait été diffusé -via SMS- par une "experte en sécurité".

Après enquête, Panamza a pu identifier cette jeune femme dont le patronyme entier est  tenu étrangement secret par les leaders de la communauté juive.

Il s'agit de…


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