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Harcelée par des sionistes, une victime du Bataclan renie Panamza

Il avait perdu sa fille au Bataclan, s'est abonné à Panamza et mène aujourd'hui sa propre enquête sur l'attentat. Jeudi, des militants sionistes l'ont attaqué pour avoir diffusé sur Twitter une vidéo de Panamza consacrée au lien irréfutable du responsable du Bataclan avec l'extrême droite israélienne.

Le 06.10.2018 à 15h45

Dimanche 30 septembre, Panamza rapportait la campagne de diabolisation, initiée par Le Monde et relayée sur France Inter par le propagandiste-sioniste-et-vallsiste Claude Askolovitch, à l'encontre de Patrick Jardin, père  prétendument "complotiste" d'une victime du Bataclan qui s'est progressivement laissé récupérer  par l'extrême droite judéosioniste et anti-musulmane au cours des derniers mois -notamment à travers l'artificielle affaire Médine.

Jeudi 4 octobre, un incident révélateur s'est produit sur Twitter : après avoir partagé la dernière vidéo informative de Panamza sur l'attentat du Bataclan, Jardin a subi les tirs nourris de plusieurs usagers de Twitter, tous adeptes d'un national-sionisme digne de Gilles-William Goldnadel.

La conséquence : après avoir tenté vainement de se justifier, Jardin -visiblement dépassé par la fureur de ses nouveaux détracteurs- a momentanément désactivé son compte Twitter dans l'après-midi et la soirée du vendredi 5 octobre.

Le tabou suprême pour ces aboyeurs dissimulés sous un pseudonyme : l'évocation de David Touitou, rabbin extrémiste d'Israël et frère du "responsable" (de 1975 à septembre 2018) du Bataclan

 

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Entretemps, je l'ai contacté afin de comprendre pourquoi cet abonné payant (depuis le 3 mai 2018) de Panamza- site auprès duquel il avait sollicité fin juillet un entretien- a cédé à la sournoise pression d'une meute hargneuse, injurieuse et calomnieuse (menée, entre autres fous furieux, par une certaine debw78) en supprimant son tweet comportant l'un des deux teasers de la vidéo ci-dessous.

Patrick Jardin m'a répondu et demandé de publier l'intégralité de sa réponse, sous peine, menace-t-il, de poursuites judiciaires…

Voici donc, ci-dessous, non seulement sa réaction mais également l'ensemble de notre correspondance entamée le 23 juillet, date de son premier courriel dans lequel Jardin formula une requête singulière auprès de Panamza. 

À vous de juger…


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