« Back home

Cet énarque a drogué 200 femmes : la presse cache son nom

EXCLUSIF. Panamza a identifié, preuve vidéo à l'appui, l'ex-DRH du ministère de la Culture qui intoxiquait des candidates pour les faire uriner devant lui. Autre détail passé ailleurs sous silence : il a fait l'ENA.

Le 11.11.2019 à 19h59

 Selon que vous serez puissant ou misérable, 

 Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir

Jean de La Fontaine

1678

#Balancetonporc…à géométrie variable ? 

En mai, Le Canard Enchaîné révélait -sans l'identifier- qu'un ex-directeur des ressources humaines du ministère de la Culture était soupçonné d'avoir administré des diurétiques à d'innombrables femmes (au moins 200) pendant des entretiens d'embauche. L'homme, surnommé depuis "Christian N" par la presse, les tenait à distance des toilettes et les forçait à s'uriner dessus, souvent devant lui.

Les faits se sont déroulés entre 2009 et 2018, au ministère de la Culture puis au département culturel de la région Grand Est.

9 ans d'impunité…

Jeudi 7 novembre, Libération a publié des témoignages de plusieurs victimes. Co-auteur de l'enquête : le (mauvais) journaliste David Perrotin (chien de garde du lobby sioniste).

À la fin du papier, le signalement de cette curieuse modification : 

AA

Panamza a identifié (la preuve en vidéo, en bas de page) le haut-fonctionnaire (membre sous Hollande -entre 2013 et 2015- du Haut Conseil à l'égalité entre les femmes et les hommes…-si, si- après avoir été promu chevalier de l'Ordre national du mérite sous Sarkozy) aujourd'hui mis en examen (pour "administration de substance nuisible, agression sexuelle par personne abusant de l’autorité conférée par sa fonction, atteinte à l’intimité de la vie privée par fixation d’image, violence par une personne chargée de mission de service public et infractions à la législation sur les médicaments").

MN

Panamza a également découvert qui était cette conseillère de Schiappa qui n'avait pas donné suite à la requête d'une victime et réussi à obtenir de Libération l'effacement incongru de son patronyme (elle relève de la haute fonction publique : les citoyens ont donc le droit de connaître son rôle dans une affaire d'intérêt général).

Il s'agit de…


L’intégralité de cet article est réservée aux abonnés

Se connecter S’abonner

« Back home