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En hébreu, « Je suis Charlie » = « Je suis Israël »

La rumeur était fondée. Décryptage et révélations.

Le 07.01.2019 à 15h44

Au lendemain de l'attentat non élucidé contre Charlie Hebdo (un hebdomadaire satirique antichrétien et antimusulman), une rumeur (diffusée sur les réseaux sociaux par Jonathan-Simon Sellem, un extrémiste juif -lié au député Meyer Habib- qui sera averti à l'avance du 13-Novembre…) faisait état d'une curieuse singularité : en hébreu, le slogan "Je suis Charlie" était l'anagramme exact de la phrase "Je suis Israël".

Il ne s'agissait pas là d'une légende urbaine ou d'un "fake news".

De nombreux spécialistes de l'hébreu et de la Kabbale ont depuis corroboré la réalité de cette analogie.

Le premier à l'avoir d'ailleurs exposé –via Twitter– fut le rabbin Loubavitch David Naccache de Nanterre. 
Dès le soir de l'attentat, à 22h04. 
Soit 9 heures après la propagation en ligne du slogan.

Rappel : "Je suis Charlie" avait été diffusé exactement à 12h52, ce 7 janvier 2015 (une heure à peine après la nouvelle de l'attentat sur les réseaux sociaux), par le Franco-Ukrainien Joachim Roncin, un graphiste qui collabore avec le tandem d'humoristes pro-israéliens Gad Elmaleh/Kev Adams et fut discrètement célébré par l'ambassade (qui emploie sa soeur) d'Ukraine (sous prétexte de ses origines maternelles et à l'invitation personnelle du président Petro Porochenko, l'ami intime de BHL qui visita secrètement Israël et le ministre -lié au Mossad- Avigdor Liberman en avril 2014, juste avant son élection…).



4 mois après la diffusion mondiale du slogan qui lui est imputé, Roncin était nommé co-administrateur de Reporters sans frontières, une prétendue "organisation non gouvernementaledirigée par le tandem islamophobe et sioniste Christophe Deloire/Pierre Haski.

Reste à savoir si le hashtag de Twitter #ToujoursCharlie, lancé par la bande à Valls (le Premier ministre de la mystérieuse vague d'attentats de 2015/2016) et propagé aujourd'hui encore par les "Charlie" de tous bords, traduit subtilement (uniquement pour les rares initiés aux arcanes hébraïques du slogan, et non pour leurs idiots utiles qui l'annônent -le torse bombé- sans en saisir le sens profond) une allégeance pathologique, secrète, inconditionnelle et quasi-unanime de la classe dirigeante française à l'arrogant, protégé (par la presse traditionnelle) et dangereux clan judéosioniste

"Toujours Charlie/Toujours Israël" 





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