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Hicham Hamza : 12 ans de journalisme à contre-courant

Fondateur de Panamza, je suis fier d'avoir édifié un média d'enquête qui a produit d'innombrables révélations et dérangé de puissants comploteurs ainsi que leurs idiots utiles.

Le 27.04.2020 à 22h44

Je suis Hicham Hamza.

À partir de rien, j'ai brisé le plafond de verre de la corporation journalistique en montant -grâce à mon seul travail opiniâtre et persévérant de rédaction et d'enquête- un média indépendant.

Mieux encore : le modèle économique de Panamza est unique en son genre. 

Il n'existe aucun autre site d'information en France qui s'avère à la fois alimenté essentiellement par un seul homme et capable de perdurer durant 7 années sans la moindre subvention publique ou ressource publicitaire.

Dans la foulée de mon livre (jamais attaqué car tout simplement inattaquable) sur l'implication d'Israël dans le 11-Septembre, j'ai voulu réaliser un portail d'information politique qui braquerait le projecteur sur un sujet totalement tabou en France : les réseaux sionistes.

En toute logique, mon travail et son efficacité m'ont suscité quantité innombrable d'ennemis puissants, certains haut-placés.

Sans parler ici de leurs idiots utiles : les ricaneurs hautains et rageux de tous bords qui n'ont que le mot inepte "complotisme" en bouche, à défaut de contre-arguments factuels et étayés.

Je n'évoquerai pas non plus les bien-pensants qui consultent mes articles et vidéos avec un vif intérêt mais qui font profil bas en évitant soigneusement toute référence positive et publique à Panamza.

Leur soumission au terrorisme intellectuel ambiant les a déjà déshonorés. 

Mon "tort" : enquêter et faire un travail d'intéret public en rendant compte du réel et en citant systématiquement mes sources.

Mes principaux adversaires : des désinformateurs et leurs idiots utiles.

En général : les sympathisants de la cause sioniste, des militants bon chic bon genre de la cause palestinienne, les "anticomplotistes" patentés et certains copistes-télégraphistes de la presse hexagonale (usurpateurs du titre de journaliste) qui caricaturent, raillent, diabolisent ou réduisent -faute d'arguments- mon travail d'enquête à celui d'un "blogueur" dangereusement "conspirationniste" ou "antisémite".

Et faisons fi des grognards condescendants de la pseudo-dissidence, toujours en mode "grande gueule, petite joueuse"

Quand un ancien Premier ministre et membre du Bilderberg (Bernard Cazeneuve, personnage-clé des attentats) intente un procès, ce n'est pas à l'encontre de ces patriotes de poulailler et autres bateleurs inoffensifs du web mais à l'auteur de ces lignes.

Dieu merci : depuis 2013, j'ai pu parallèlement compter sur mes propres "business angels" -ces milliers de femmes et d'hommes, de tous horizons, qui ont concrètement soutenu Panamza en contribuant financièrement à son essor et à sa pérennité. Par des donations répétées ou le renouvellement fidèle de leurs abonnements. Malgré les nombreux bugs informatiques et les inévitables couacs dans la correspondance.

J'aurais pu également tenir un courrier des lecteurs, souvent découvert tardivement (messagerie saturée oblige) : il témoignerait de l'incroyable diversité culturelle, religieuse, sociale et politique de mes followers bienveillants.

Aujourd'hui, lundi 27 avril 2020, je suis fier d'avoir édifié Panamza -un site célébré par les uns, détesté par les autres, mais qui a indéniablement forgé sa notoriété.

D'entrée de jeu.

Flashback

27 avril 2008 : le site d'information satirique Bakchich, fondé par un ancien journaliste du Canard enchaîné et du Monde, avait mis en ligne mon premier article rémunéré et rédigé sur l'actualité -en somme, ma première "pige".

Le sujet ? 

Israël ?

L'islamophobie ?

Le 11-Septembre ?

Pas exactement : plutôt un reportage au musée de l'érotisme

Cinq années plus tard, après avoir sondé ici ou là l'autocensure et la précarité inhérentes à l'exercice contemporain du métier de journaliste dans une rédaction traditionnelle, j'ai pu me libérer de la dépendance -faite de renoncements et de compromissions- envers ce secteur professionnel archaïque, standardisé et bunkerisé en fondant depuis Paris mon propre média, novateur, mobile et radical : Panamza.

Le 21 juin 2013, j'avais esquissé ma propre vision du métier journalistique, à la fois sport de combat, art martial, engagement politique et joute oratoire. 

Et vint 2020.

Près de sept ans après la genèse de Panamza, ces concepts constituent désormais, camarade follower, la trame de notre réalité commune et quotidienne. 

Merci à vous, lecteur ayant partagé ou fait connaître mes articles et vidéos dans votre entourage.

Merci -tout particulièrement- à vous, abonné ou donateur, pour avoir contribué à justifier mon modèle économique, délié de toute forme de soumission au marché publicitaire ou de perfusion aux subventions publiques.

Merci, enfin, à toutes celles et tous ceux qui, depuis le début de cette aventure, m'ont adressé conseils, félicitations ou encouragements, notamment lors de mes épreuves successives : convalescence post-coma, diffamation en prime timesurveillance policière, mises en examen délirantes, manoeuvres onéreuses d'intimidation judiciaire à gogo, menaces de mort, placement abusif en garde à vue doublé -en parallèle- du lâche et continuel silence des prétendus défenseurs hexagonaux de la liberté d'expression.

Je l'ai déjà écrit mais je le réaffirme ici : je crois en la pratique, ardue mais exaltante, d'un journalisme engagé et d'investigation.

Engagé, dans la grande tradition française qui avait cours jadis, notamment à la fin du XIXème siècle ou pendant la guerre d'Algérie.

D'investigation, car, plus que jamais, les mensonges d’État -martelés par une propagande décomplexée et des journalopes arrogantes- nécessitent de creuser, relier les points, démystifier et renverser, si besoin, les mythologies contemporaines. 

Avec l'intuition –parfois troublante– en bandoulière.

En clair : du journalisme insolent, effronté -voire "punk", disruptif et "subversif".

Celui qui vise à "bousculer l'ordre établi".

« Un journaliste ne peut espérer faire du bien sans s’attirer une bonne dose de haine » 

Henry James

Bref : contre vents et marées, mais avec le soutien d'un lectorat de plus en plus important (plus de 90 000 citoyens, chaque jour et via les réseaux sociaux), l'odyssée continue !

Chacun d'entre vous peut contre-carrer les manoeuvres de mes adversaires et détracteurs en garantissant concrètement, via sa souscription à un abonnement modique (5€/mois) ou sa donation aux frais de fonctionnement et de justice, que mon effort de décryptage de l'actualité puisse se maintenir et s'amplifier.

Le combat pour un journalisme d'investigation à l'ancienne –populaire, libre et implacable- continue !

HICHAM HAMZA

Auteurfondateur du site Panamza et journalisteenquêteur depuis 2008

8ans

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