Kassovitz conteste la légende du 11-Septembre : Le Monde est horrifié
INFO PANAMZA. Découvrez la prodigieuse bêtise d'un portrait du Monde consacré à Mathieu Kassovitz, acteur-réalisateur qui continue de rejeter ouvertement et courageusement la version officielle du 11-Septembre.
Le 22.10.2017 à 17h57
À quoi reconnaît-on un journaliste à la fois formaté et incompétent?
Sur la question du 11-Septembre, il diabolise sans argumentaire tout citoyen remettant en question la version officielle et assimilera le sceptique -au choix- à un fou à lier, un néo-nazi ou un doux rêveur.
Souvenez-vous : en juin dernier, Panamza soulignait la ridicule manière dont l'animateur-interviewer Mouloud Achour, faux-cool et vrai censeur, abordait sournoisement le sujet avec Mathieu Kassovitz, héros de la série (politiquement orientée) d'espionnage "Le Bureau des Légendes" :
« Des fois, y a des lignes qui sont franchies.
Je me rappelle tes propos sur le 11-Septembre…
Y a quand même quelqu'un qui disait que tu reproduisais un discours antisémite…
C'est quoi, le problème avec le 11-Septembre? »
Trois mois plus tard, c'est au tour de Marie-France Etchegoin, "journaliste" du magazine M (groupe Le Monde présidé par le "young leader" Louis Dreyfus, membre du Siècle et fils d'un ex-député vallsiste du groupe France-Israël), d'illustrer merveilleusement l'insondable stupidité condescendante de bon nombre de ses confrères (tel son insipide collègue du Monde Samuel Laurent) dès lors qu'il s'agit de brocarder quincoque exposera la grande supercherie (israélo-américaine) du 11-Septembre.
Extraits du portrait publié le 15 septembre et sobrement intitulé "Les démons de Mathieu Kassovitz".
Une chasse aux sorcières étalée sur 7 pages : contestataire public et persévérant (depuis 2009, chez Taddeï) de la version officielle du 11-Septembre (mais sans jamais oser s'aventurer sur le terrain professionnellement suicidaire de la désignation des commanditaires israéliens), Kassovitz ne s'attendait probablement pas, en acceptant l'interview, à un portrait aussi malhonnête.
Quant à Etchegoin, macchartyste de plume qui avait jadis surfé sur le succès du "Da Vinci Code" pour pondre un livre "très convetionnel" sur l'histoire de la franc-maçonnerie, son persiflage n'est guère étonnant.
En 2015, elle supervisa l'écriture collective d'un ouvrage (conseillé par Patrick "Liste Noire" Cohen) qui passa totalement sous silence les nombreuses zones d'ombre des attentats de janvier. Mieux encore : dans un paragraphe consacré à Panamza, elle compara l'auteur de ces lignes à Thierry Meyssan et qualifia -sans rire- mon média indépendant d'"officine". D'après le dictionnaire Larousse, ce terme définit précisément un "endroit où s'élabore quelque chose de secret, de nuisible, de mauvais".
C'est le charme cocasse de certains chasseurs de complotistes : leur délirante tournure d'esprit les amène parfois à tenir sans sourciller des propos typiquement conspirationnistes.
HICHAM HAMZA
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