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Décapitation « islamiste » : le Maroc et le Mossad contrôlent un gardé à vue

INFO PANAMZA. L'un des protagonistes-agitateurs de l'affaire terroriste de Conflans-Sainte-Honorine s'avère lié -à la fois- au renseignement marocain et à la nébuleuse sioniste. Révélations.

Le 18.10.2020 à 14h14

À qui profite le crime ? 

Telle est la question élémentaire maus passée sous silence par l'ensemble des commentateurs politiques et médiatiques au sujet de la décapitation du professeur Samuel Paty, accusé par des parents d'élèves d'avoir diffusé cette image à ses collégiens

 

 

Au lendemain de l'assassinat, Panamza avait souligné le rôle trouble de Pierre Rehov, extrémiste israélien qui se vanta d'avoir "reçu" la photographie de la tête de la victime.

Aujourd'hui, deux éléments d'information corroborent l'étrange présence d'agents sionistes dans cette affaire dite de terrorisme islamiste : 

* La grande mosquée de Pantin est accusée de toutes parts d'avoir diffusé sur sa page Facebook la vidéo d'un parent plaintif. Personne ne signale que cet établissement religieux est affilié à l'UAM93, organisation musulmane dont le secrétaire général Mohamed Henniche est un intime du lobby sioniste. En 2012, il fut même invité discrètement en Israël (ce qu'il démentit initialement avant de le reconnaître). Deux ans auparavant, il était la caution islamique de Sam Ghozlan, un judéofasciste (installé en Israël) qui avait tenté d'amadouer les musulmans en rendant un hommage (de crocodile) à Said Bourarach, assassiné par des extrémistes juifs.

* Le second élément est le plus édifiant : figurez-vous que l'un des 11 mis en garde à vue dans l'affaire de Conflans, présenté unanimement comme un "islamiste antisioniste" et le principal fauteur de troubles, s'avère être un agent "provocateur" du Maroc qui fut longtemps lié à Gilles-Wiliam Goldnadel, agent d'influence emblématique de la mouvance judéosioniste.  

 

 

conf

Rappel : comme l'avait révélé dans son livre l'ex-policier du renseignement Noam Anouar, le Maroc collabore étroitement avec le Mossad sur le sol français pour conquérir ou déstabiliser des mosquées. La méthode : placer les pions aux différents profils du tandem Maroc-Israël, y compris des personnalités dites radicales ou extrémistes (pour capter et ficher des militants hostiles ou potentiellement dangereux pour les régimes chérifien et sioniste). 

Démonstration, ci-dessous, sources intégrales à l'appui.

L'homme…


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