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Macron invite Satan à l’Élysée

INFO PANAMZA. Réalisé par un proche des réseaux satanistes américains, le tableau installé dans le bureau d'Emmanuel Macron intègre secrètement le "sceau de Baphomet", emblème cabalistique et maçonnique. Révélations.

Le 18.10.2017 , mis à jour le 01.01.2019

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Mise à jour du 1er janvier 2019 : diffusé de manière fugace à 20h00, le premier plan  (visible à droite de l'image ci-dessous) des voeux du réveillon du président Macron est cadré très exactement au-dessus de la pointe de l'étoile contenant le visage métaphorique de Satan.

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À noter : les voeux présidentiels ont été mis en images par Jérôme Revon, vieux baroudeur des émissions politiques, ami du militant judéosioniste Cyril Hanouna, lauréat de la médaille Moïse Khorenatsi décernée par le président arménien et réalisateur d'un documentaire sur…le paranormal.

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Éloignez de votre entourage les théoriciens de la coïncidence : la consultation de l'article présent et factuellement étayé pourrait causer sarcasmes, fureurs ou spasmes chez ces négationnistes qui s'ignorent.

Lundi après-midi, Panamza révélait une anomalie de la vie politique qui continue d'être passée sous silence par la corporation médiatique.

LE TABLEAU CHOISI PAR MACRON CONTIENT UNE ALLUSION AU CONTRÔLE MENTAL

Lundi 16 octobre, au lendemain de l'entretien accordé par Emmanuel Macron à TF1, de nombreux commentateurs de la presse ont décortiqué la décoration du bureau de l'Élysée.

À propos d'une oeuvre murale dénommée "Liberté Égalité Fraternité", réalisée le 20 novembre 2015 par l'Américain Shepard Fairey en réaction aux attentats de Paris et installée à l'initiative du nouveau président de la République, un étrange élément visuel n'a pas retenu l'attention des journalistes dits professionnels.

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Sous le visage de Marianne figure curieusement une étoile à 5 branches dans laquelle un regard sombre est visible.
Il s'agit là d'un motif conçu en 1998 par l'artiste, dénommé "Obey Giant" et inspiré du film de science-fiction "Invasion Los Angeles" de John Carpenter.

Dans une interview, Shepard Fairey avait expliqué avoir imaginé  et diffusé régulièrement ce motif «orwellien» en référence à ce film allégorique consacré à la manipulation des esprits par des extra-terrestres déguisés en êtres humains et désireux d'asservir -notamment par le contrôle de la classe politique, des médias et de la police- la population mondiale.

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Post-scriptum/ message à l'attention de certains commentateurs myopes expéditifs, des lecteurs pressés qui ne consultent pas les sources et des trolls désinfomateurs : l'image de gauche ne constitue pas un "zoom" du tableau mais le dessin original de l'artiste. L'oeuvre affichée à l'Élysée est une reproduction (légèrement remaniée) de l'image originelle qui comporte également l'étoile décryptée ici.

{SOURCES :
*http://www.lefigaro.fr/culture/2017/10/16/03004-20171016ARTFIG00128-obey-knoll-alechinsky-le-petit-musee-d-emmanuel-macron-a-l-elysee.php
*https://obeygiant.com/liberte-egalite-fraternite/
*http://www.unoeilquitraine.fr/?p=5314
*https://obeygiant.com/articles/andre-the-giant-is-watching-you/
*https://fr.wikipedia.org/wiki/André_the_Giant_Has_a_Posse
*https://obeygiant.com/articles/art-prostitute-magazine-interview/
*https://en.wikipedia.org/wiki/They_Live#Development
*https://youtu.be/X1IwBxsny8M
*http://www.allocine.fr/film/fichefilm-4660/critiques/spectateurs/
*https://youtu.be/BYv9I92QbKY}

48 heures après le scoop de Panamza, une nouvelle analyse plus attentive du tableau observé  incidemment par environ 10 millions de téléspectateurs permet de corroborer son message subliminal et mortifère.

Comme l'illustre le montage visuel ci-dessous, l'inversion de l'étoile renvoie directement à une image familière pour les spécialistes de l'ésotérisme.

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Avant d'aller plus loin dans le décryptage de ce symbole et de son origine, un détour s'impose…en Californie.

Souvenez-vous  : en février 2016, Panamza soulignait que Jesse Hugues, chanteur présent au coeur des attentats de Paris, vénérait un personnage singulier du paysage religieux américain. Extraits : 

Le sionisme radical de Jesse Hughes s'accompagne d'un penchant pour le satanisme. Cette orientation spirituelle est généralement édulcorée par la presse française qui préfère confortablement y voir une simple posture ironique ou esthétique de la part d'un homme qui s'affiche également comme une sorte de prêtre catholique à temps partiel. 

En avril 2015, le chanteur avait incidemment confessé auprès d'une web-tv commerciale (à 5'15) l'identité de son modèle  : "Je veux être un véritable magicien. Pas comme un putain de hippie mais comme Anton LaVey dans sa forme éthérique".

LaVey?

Figure inconoclaste de la contre-culture californienne des années 60, Anton Szandor LaVey  -décédé en 1997- fut le fondateur de "l'Église de Satan".

En 1990, son épouse -dénommée Blanche Carton et affublée du titre de "grande-prêtresse" – lui avait consacré une biographie riche en révélations.

On y apprend notamment qu'Anton LaVey, descendant d'une famille ashkénaze et étudiant à San Francisco, était "impliqué avec des groupes de militants israéliens" -dès 1949- pour acheminer des "armes à destination" du nouvel État. 

Anecdote édifiante : LaVey rapporte avoir été invité à Tel Aviv par Assaf Dayan, acteur israélien et fils du criminel de guerre Moshe Dayan. Le comédien était particulièrement emballé par le best-seller de LaVey, paru en 1969 et intitulé "La Bible satanique" : selon lui, cette "philosophie" enseignée était déjà "pratiquée sous la contrainte"…en Israël.

L'engagement sioniste de LaVey et son goût singulier pour les déguisements excentriques au symbolisme occulte étaient partagés par une célèbre famille qui a construit une exploitation viticole située à une dizaine de kilomètres de son église satanique : les Rothschild…

Passons ici sur la connexion notoire entre le clan Rothschild et Emmanuel Macron.

Et allons droit à l'essentiel…


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