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Des sionistes manipulent la lutte anti-pédophilie des Gilets jaunes

INFO PANAMZA. Très diffusée sur Facebook, une vidéo-choc sur la pédocriminalité en France a été produite par des agents d'Israël -dont certains sont infiltrés dans le mouvement des Gilets jaunes. La preuve par les sources.

Le 16.07.2020, mis à jour le 11.10.2020

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Actualisation du 11 octobre 2020

Il est la nouvelle vedette montante de la confidentielle mouvance dite anti-pédo : trois mois après l'article (ci-dessous) de Panamza qui lui fut consacré, Morad El Hattab aggrave son cas avec une nouvelle interview publiée sur Youtube le jeudi 8 octobre.

Dans cette vidéo sensationnaliste produite en direct et avec complaisance par Nexus Magazine (une obscure revue peu suivie et dirigée par le tandem Marc et Ghattas Daoud), El Hattab, un vague essayiste multi-cartes âgé de 46 ans et adulé par la clownesque Marine Le Pen, révèle ce qu'il est : un affabulateur.

La preuve ?

À 53', il affirme que les 4 victimes de l'attentat à la préfecture de police de Paris seraient des policiers "fonctionnaires d'élite" chargés de traquer la pédocriminalité. Mensonge : deux d'entre étaient de simples gardiens de la paix et une troisième victime était adjoint administratif (El Hattab fait dans la surecnhère en affirmant sans la moindre source que le bureau d'une victime contenait "le dossier Epstein").

À 1h03, cet illustre inconnu déclare -sans rire- qu'il aurait "la confiance d'à peu près 1 million de Français musulmans" sous prétexte qu'il travaillerait prétendument "en lien direct avec 200 mosquées". Un tel délire est d'autant plus cocasse que le mythomane est très peu suivi en général sur les réseaux sociaux (seulement 2220 abonnés sur Twitter).

À 1h22, il ose dire que Jeffrey Epstein, souvent évoqué tout au long de cet entretien connivent, serait simplement un pédocriminel "employé" par Ghislaine Maxwell. Evidemment, le sioniste zélé El Hattab -qui fustige sans cesse la DGSI et la France en général- n'aborde jamais le véritable employeur d'Epstein : le renseignement militaire israélien.

Détail croustillant : à 45' (et de nouveau brièvement, en fin d'interview), il attaque grossièrement et sur un ton rageux/calomnieux Panamza, le "journaliste minable de la pédosphère" (qu'il "emmerde") sans jamais le nommer -de peur sans doute que les nombreux internautes (plus de 87 000) tristement bernés par sa verve baratineuse aillent consulter le portrait (lisible plus bas) qui lui fut consacré.

Point emblématique de son escroquerie intellectuelle : il affirme que je l'aurais qualifié, lui mais également Didier Raoult, d'"agent du Mossad".

Risible pipeau, doublé d'une déformation de mon travail : j'évoquais précisément son activisme, largement documenté, en faveur d'Israël sans en déduire pour autant qu'il serait en mesure d'être un agent qualifié du renseignement israélien. Idem, évidemment, pour Raoult dont l'engagement pro-israélien est notoire.

À noter : ce dimanche après-midi, de 13h à 18h, El Hattab (qui continue en parallèle de draguer/d'infiltrer les Gilets jaunes) ira manifester (comme il le fit le 6 septembre, se mettant déjà en scène via Nexus) avec ses fans sur la place parisienne de l'Opéra dans un rassemblement anti-pédocriminalité.

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Article du 16 juillet 2020

Souvenez-vous : en septembre 2019, Panamza révélait l'étrange implication d'une militante ultra-sioniste dans le volet français de l'affaire Epstein.

Aujourd'hui, un nouvel élément d'information corrobore l'activisme suspect des relais d'Israël dans la narration relative aux réseaux pédocriminels de l'Hexagone.

S'agit-il là d'une manoeuvre de récupération pour occulter ainsi la connexion israélienne (via les services de renseignement Mossad et Aman) dans la mise en place de la pédocriminalité d'élite française (faire chanter des personnalités filmées à leur insu, comme l'illustre l'affaire Epstein) ?

À vous de juger.

MEH

Le 5 juillet, le Média Live (qui couvre au plus près les manifestations des Gilets jaunes) a diffusé en direct cette vidéo a priori édifiante : un certain Morad El Hattab affirme détenir des preuves de l'implication de magistrats et de policiers de la DGSI dans la séquestration (jamais détaillée) de ses "deux enfants mineurs".

 

 

El Hattab ? 

Les connaisseurs pointus de la mouvance sioniste hexagonale l'auront reconnu: ami de l'ultra-sioniste et agresseur sexuel présumé Claude Lanzmann, ce Français d'origine marocaine, autrefois brièvement militant féministe, est un compagnon de route zélé et ardent, depuis une quinzaine d'années, des défenseurs d'Israël -au point d'avoir été célébré par le Crif (dès 2004).

El Hattab (qui adule le duo Trump-Poutine et entretient des liens étroits avec l'ambassade de Russie) : la version intello"philosophe" de l'imam Chalghoumi.

 

 

 

En 2005, El Hattab, récompensé par le communautariste juif Eric de Rothschild et régulièrement invité aujourd'hui par le tandem russe des médias pseudo-rebelles-sous-tutelle-sioniste RtFrance/Sputnikapparaissait déjà (à 44') dans un documentaire hollywoodien –sous total contrôle sioniste– du réalisateur Richard Trank (chantre du criminel de guerre Peres).

Et ce n'est pas tout.

Le web-média pro-Gilets jaunes qui l'interroge avec complaisance (et le rend ainsi célèbre) est lui-même subtilement lié aux sionistes. 

La preuve, ci-dessous : l'interviewer est non seulement un soutien du guignol neofasciste Taha Bouhafs mais surtout un proche des réseaux Gilles-Wiliam Goldnadel et David Touitou (oui, oui, vous avez bien lu : le rabbin antichrétien et antimusulman de l'affaire Bataclan).

Il s'agit de…


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