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Mila, pantin sioniste issue d’une famille islamophobe

INFO PANAMZA. Instrumentalisée par des militants sionistes, la jeune Mila a été élevée dans une famille hostile à l'islam. La preuve par les sources.

Le 04.02.2020 à 15h10

Tout commence le samedi 18 janvier.

Notamment à travers le partage massif de ce tweet publié par un compte sous pseudonyme (et ostensiblement dénommé en arabe…) : 

Voici une version plus longue des propos hargneux tenus par cette lycéenne installée dans la région lyonnaise, âgée de 16 ans, défendue en justice par le trouble (mais influent) avocat judéosioniste Richard Malka et adulée en icône de la liberté d'expression par Fourest, Badinter et consorts : 

Dès le mercredi 22 janvier, au démarrage de l'affaire Mila, Panamza avait exposé, à travers plusieurs tweets successifs et sourcés, les artificiers de cette opération de propagande anti-islam et leur connexion avec la mouvance sioniste : 

Passé sous silence dans les médias traditionnels, le rôle-clé de l'antimusulmane et pro-israélienne Solveig Mineo, ex-attachée de presse de la maison d'édition Ring, y était exposé.

Surprise, surprise : devinez qui a eu la primeur de la chanson de Mila racontant ses déboires? 

Mineo, bien évidemment : le samedi 25 janvier, à 18h36 exactement, la créatrice du hashtag #JeSuisMila annonca dans un tweet avoir été missionnée par Mila afin de diffuser sa composition.

sm

Ouverte le jour même, la page Youtube ayant publié la chanson de Mila se nomme "Comité Je Suis Mila"

À 18h43, soit sept minutes après le tweet de Mineo, la page Facebook intitulée "Comité Je Suis Mila" avait également relayé la vidéo.

Et ce n'est pas tout : devinez qui est train, au même moment, de télécharger sur son compte Facebook une version longue et unique de la chanson de Mila (affichée dès 19h23) ? 

MILAO

Waleed Al-Husseini, pseudo-écrivain édité par Ring et militant anti-islam cajolé par le lobby sioniste hexagonal.

Nul étonnement que Mineo et Al-Husseini, liés par leur entreprise commune Ring, puissent ainsi se relayer favorablement –depuis 2017– sur les réseaux sociaux.

En parallèle de sa camarade Mineo, Al-Husseini fut à l'avant-garde de l'affaire Mila : dans la matinée du mercredi 22 janvier, juste avant la médiatisation de l'affaire Mila (entamée en milieu d'après-midi par la presse quotidienne en ligne), il avait promu et défendu l'adolescente, encore parfaite inconnue, en relayant sur son compte Facebook sa vidéo haineuse et injurieuse contre l'islam.

À noter : Mila -qui télécharge ses chansons sur Youtube depuis juin 2018– avait d'abord publié sa composition "Je ne veux pas mourir" sur son compte, à la date du vendredi 24 janvier (en tout début d'après-midi).

Aussitôt, le militant lepéniste et sioniste Damien Rieu avait relayé un extrait sur son compte Twitter.

Quelques heures plus tard, la vidéo était supprimée de la page Youtube de Mila pour réapparaître le lendemain (avec un titre corrigé) sur des comptes pilotés par Mineo et Al-Husseini. 

En clair : ce sont ces deux militants sionistes et anti-islam qui ont donc reçu l'exclusivité de la chanson de Mila (censée avoir été rédigée, composée, mixée,  enregistrée et publiée en un temps record, entre mercredi 22 -jour du déclenchement médiatique de la polémique- et vendredi 24…).

Et en toute cohérence, c'est Al-Husseini qui propage aujourd'hui sur Facebook l'entretien intégral et complaisant de Mila -diffusé hier soir (lundi 3 février) par TMC.

Contrairement à l'ensemble de la presse française qui ne s'est pas penchée sur l'environnement familial de Mila, Panamza a vérifié l'éventuel engagement idéologique de ses parents et de sa soeur aînée.

Là aussi, surprise, surprise : ses trois proches partagent un rejet viscéral de l'islam en particulier (et non pas "des religions") comme en témoigne le document ci-dessous, déniché par Panamza.

Il s'agit d'un…


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