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- 13-Novembre : le Mossad conseille une «enquête» de Mediapart
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13-Novembre : le Mossad conseille une "enquête" de Mediapart
INFO PANAMZA. Une agente du Mossad, démasquée par le Canard enchaîné, recommande la dernière pseudo-enquête de Mediapart sur les attentats -anticipés par le Mossad- du 13 novembre 2015. La preuve par la source.
Le 13.11.2019 à 22h09
Hier, Panamza signalait la spécificité de la dernière prétendue investigation de Mediapart, site pseudo-indépendant, sur le 13-Novembre :
Quand la presse🇫🇷 sous contrôle🇮🇱
{tel @Mediapart https://t.co/Ai2EHdx9bz} évoque ceux qui savaient À L'AVANCE pour les attentats du #13Novembre
✅Parler d'islamistes en prison: OK
❌Parler des sionistes @manuelvalls, @BCazeneuve & @GOLDMANNAriel: INTERDIT https://t.co/iHcbyHd23H https://t.co/115V2zcuSe— Panamza (@Panamza) November 12, 2019
Surprise, surprise : entretemps, une agente (proche du "journaliste" arabisant Nicolas Hénin) du Mossad -qui avait été démasquée par le Canard enchaîné et identifiée par Panamza– a recommandé publiquement l'article (rédigé par l'obscur Matthieu Suc) qui braque sur le projecteur sur des détenus djihadistes qui auraient été avertis en amont des attentats (et passe sous silence les sionistes avertis).
La preuve, ci-dessous, en image et avec le lien URL :
Source : Twitter de Laurence Bindner
- De la duplicité de Mediapart
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- Affaire Benalla : Mediapart dissimule le rôle d’Israël
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Affaire Benalla : Mediapart dissimule le rôle d'Israël
INFO PANAMZA. Découvrez comment l'agence France-Presse a passé sous silence la connexion secrète de Mediapart avec l'employeur israélien (lié au gouvernement Netanyahou) d'Alexandre Benalla. La preuve par les sources.
Le 12.02.2019 à 18h51
Lundi 11 février, Mediapart braqua le projecteur sur les "millions russes" de Benalla : vous pouvez compter sur le site surencensé d'Edwy Plenel et Fabrice Arfi (deux compagnons de route de la mouvance sioniste) pour continuer de passer parallèlement sous silence l'abondance et l'origine exacte des shekels venus d'Israël qui sont d'ores et déjà attestés dans l'affaire.
C'est l'angle mort, occulté, tabou de l'affaire Benalla : son volet israélien.
Et nulle surprise que les deux enquêteurs-bateleurs "embedded" avec la police (Arfi est le fils d'un ex-membre de la brigade financière, Plenel copine avec les cadors de l'Intérieur depuis 1982) puissent arpenter le tapis rouge que leur déroule régulièrement un certain Patrick Cohen, sinistre désinformateur sioniste –notamment sur la question du 11-Septembre.
https://www.youtube.com/watch?v=6R9TFGL2fxk
https://www.youtube.com/watch?v=uIRsTBemGcY
Flashback, avant d'aller plus loin, sur les zones d'ombre -minutieusement exposées par Panamza depuis l'été dernier- de l'affaire Benalla :
Benalla insouciant ? Son patron bosse pour Netanyahou (22.01.19)
Benalla collabore avec des agents du Mossad (21.01.19)
Gangster d’Israël, le patron de Benalla est lié aux services secrets (28.12.18)
Benalla : son rendez-vous avec un milliardaire israélien (03.10.18)
Benalla : son coach est un franc-maçon lié au Crif (27.09.18)
Benalla : son attaché de presse est lié au Mossad (19.09.18)
Benalla : son coffre-fort, sa compagne et son bébé ont disparu (24.08.18)
Affaire Benalla : le « fichage politique » est supervisé par une proche de Macron (10.08.18)
Benalla, messager de Macron auprès du Crif (03.08.18)
Benalla a été recruté par un ex-agent secret pro-israélien (02.08.18)
Benalla dissimule aux policiers les coordonnées de sa mystérieuse compagne (02.08.18)
Quand Benalla frimait sur Tinder (02.08.18)
Benalla franc-maçon : la photo censurée (02.08.18)
Affaire Benalla : le mensonge du ministre de l’Intérieur (23.07.18)
Pistonné par l'israélomane Valls, Benalla pratique le sport favori des extrémistes juifs (22.07.18)
Police/islam/sionisme : Benalla fréquentait les clans Chalghoumi et Achoui (21.07.18)
Affaire Benalla : son co-équipier de l’Élysée avait espionné Mélenchon (19.07.18)
Le 31 décembre, le site Mediapart s'était vanté d'avoir obtenu la veille un "entretien" de Benalla accordé à Arfi (l'homme qui rejoigna la désinformatrice sioniste Caroline Fourest pour nier ensemble la présence –pourtant reconnue par le FBI– d'agents secrets israéliens dans l'observation réjouie des attentats du 11-Septembre)
Un élément-clé est occulté par Mediapart et sera ensuite littéralement dissimulé par l'AFP qui en a eu pourtant connaissance : l'identité de l'intermédiaire qui a permis cet entretien-éclair au téléphone.
Surprise, surprise : le bon samaritain, qui s'avère être un "ami" d'Arfi selon le terme employé par Benalla lui-même, est un collaborateur officieux du gouvernement israélien d'extrême droite de Benyamin Netanyahou.
Son nom ?
Philippe Hababou Solomon, employeur de Benalla et partenaire du gouvernement israélien.
La source de cette info ?
Un communiqué diffusé par l'avocate de Benalla, étrangement passé sous silence par l'AFP mais fuité partiellement le 9 janvier dans Libération, La Nouvelle Tribune et Le Canard enchaîné.
L'extrait-clé :
« Je constate encore une fois que l’on attaque le Président de la République à travers ma personne, je suis là cible depuis plusieurs mois d’attaques de presse calomnieuses, et souvent diffamatoires, la dernière en date étant celle de Mediapart, qui relève de la manipulation :
1) Je n’ai jamais donné, officiellement, d’interview à Médiapart, il y a eu un seul contact téléphonique à travers le téléphone de Monsieur Philippe Hababou Solomon qui m’a demandé de parler à son ami Fabrice ARFI.
- Un militant anti-islam accusé de violences sexuelles : des hackers israéliens intimident Mediapart
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Un militant anti-islam accusé de violences sexuelles : des hackers israéliens intimident Mediapart
INFO PANAMZA. Une star de l'islamophobie faisant l'objet d'une plainte en préparation pour violences sexuelles et d'une enquête par Mediapart a bénéficié d'une stupéfiante intervention israélienne. Révélations.
Le 17.09.2018 à 15h45
Souvenez-vous.
Le 1er juin, Panamza révélait en exclusivité le témoignage de l'une des victimes présumées d'une figure montante de l'islamophobie hexagonale, accusée aujourd'hui de violences sexuelles.
Le 17 juillet, Panamza précisait qu'il s'agissait d'un auteur édité par Ring, maison d'édition de "l'atlantiste et pro-israélien" David Kersan (alias David Serra).
Aujourd'hui, lundi 17 septembre, un nouvel élément d'information peut être dévoilé en attendant la divulgation formelle (par la justice) de l'identité de l'accusé : initialement prévue pour cette rentrée mais reportée sine die selon la source de Panamza, la publication de l'enquête (entamée au printemps dernier) sur cette affaire par une journaliste de Mediapart (un site dont le département investigation est verrouillé par un tandem pro-israélien) a connu une étrange péripétie.
Lors de ses premières démarches pour recouper le témoignage de l'une des victimes présumées, la journaliste de Mediapart a reçu un avertissement passé sous silence par sa direction.
Voici la retranscription de cet incident qui fut fournie par la source (toujours en contact avec cette salariée de Mediapart) à Panamza :
Elle a demandé au éditions Ring une interview de XXX.
Le lendemain, elle a reçu dans sa boîte mail professionnelle des mails de hackers venant d'Israël…
La source souligne par ailleurs la lenteur, voire la désinvolture, de Mediapart pour compléter son enquête, creuser l'angle des connexions israéliennes de cet auteur et dévoiler ces faits à l'opinion publique.
Affaire à suivre…
sur Panamza.
- Mediapart est sous contrôle sioniste
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Mediapart est sous contrôle sioniste
INFO PANAMZA. Le service investigation du site Mediapart est dirigé par Fabrice Arfi, un admirateur de la mafia israélienne, et Michaël Hadjenberg, fils de l'ex-patron du Crif. La preuve par les sources.
Le 14.09.2018 à 16h43
Toujours encensé, jamais scruté au plus près : aucun organe de la presse traditionnelle n'a réalisé d'enquête sur le profil idéologique des dirigeants de Mediapart, au-delà de la figure emblématique du co-fondateur Edwy Plenel, un ex-rédacteur antisioniste reconverti en militant "muslim-friendly" aujourd'hui cajolé par le clan BHL.
Attardons-nous sur le secteur névralgique du célèbre site d'information : son département "enquêtes", supervisé conjointement par les journalistes Fabrice Arfi et Michaël Hadjenberg.
Le second, fils d'un ancien président du Crif, avait fait l'objet (en 2014) d'un papier de Panamza, notamment au sujet de ses discrètes connexions amicales et familiales dans la mouvance sioniste.
Le premier, plus connu, est davantage subtil dans son ancrage pro-israélien.
Époux de la journaliste Alice Géraud (celle qui avait édulcoré le caractère militant judéosioniste des meurtriers de Saïd Bourarach), Fabrice Arfi s'était distingué -en 2013- lorsqu'il réfuta catégoriquement -auprès de Caroline Fourest- l'éventuelle implication (même passive) du Mossad dans les attentats du 11-Septembre, allant jusqu'à prononcer cette grossière contre-vérité selon laquelle il n'y avait ni «fait» ni «document» pour étayer cette piste d'investigation.
Nulle surprise, dès lors, à découvrir ces jours-ci la disponibilité d'Arfi pour le désinformateur sioniste Raphaël Enthoven, son indulgence envers le va-t-en-guerre-en-Libye BHL (qu'il juge -sans rire- «sincère» quand il affirma que Kadhafi bombardait son peuple) et son incroyable «tendresse» (selon le terme employé par Léa Salamé) pour…la mafia franco-israélienne.
La preuve ?
Son dernier ouvrage consacré à la vaste escroquerie de la taxe carbone (dans la prolongation de son enquête en partenariat avec le quotidien israélien Haaretz).
https://www.youtube.com/watch?v=876JGUzpPyo
Si le cinéaste et ancien policier Olivier Marchal avait réussi à en tirer un brillant polar sombre et glauque (tout en édulcorant l'angle fondamentalement israélien de l'affaire), Arfi dresse presque un portrait admiratif de ces escrocs véreux et, pour certains d'entre eux, impliqués dans des crimes crapuleux.
- Lanzmann accusé d'agression sexuelle? Mediapart et Schneidermann dissimulent le nom du 1er média français à rapporter l'info : Panamza
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- Mediapart dissimule le rôle d’Israël dans la victoire de Macron
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Mediapart dissimule le rôle d'Israël dans la victoire de Macron
INFO PANAMZA. Dans son enquête consacrée aux "Macron Leaks" -les emails piratés de l'équipe d'Emmanuel Macron, le site Mediapart passe sous silence la connexion israélienne de Philippe Guez, banquier de Rothschild et leveur de fonds pour la campagne électorale.
Le 22.05.2017 à 17h06
Dès le 10 mai, Panamza s'engageait à vous dévoiler -au fur et à mesure- certaines informations relatives à l'entourage d'Emmanuel Macron.
"MACRON LEAKS" : LES PROCHAINES RÉVÉLATIONS DE PANAMZA.
Au soir du vendredi 5 mai, 70 663 mails et documents internes au mouvement "En Marche" d'Emmanuel Macron étaient clandestinement publiés sur internet.
Dans les heures qui ont suivi, l'équipe du candidat victorieux à l'élection présidentielle et la presse traditionnelle française ont prétendu -de concert- que ces documents piratés étaient quasiment tous insignifiants.
C'est faux.
Panamza a commencé l'étude et le décryptage de cette gigantesque correspondance des futurs dirigeants du pays qui assisteront le président élu Macron.
Les découvertes relevant de l'intérêt public seront exposées.
{SOURCES :
*http://www.01net.com/actualites/ macron-leaks-ce-que-l-on-sa it-cinq-jours-apres-116090 5.html
*https://www.franceculture.fr/ politique/ que-contiennent-les-macron- leaks
*http://www.lavoixdunord.fr/160146/ article/2017-05-09/ mais-au-fait-que-trouve-t-d ans-les-macron-leaks
*https://medium.com/@lemebfr/ ce-quil-y-a-vraiment-dans-l es-macronleaks-pas-grand-c hose-3de14d82f662
*http://www.slate.fr/story/145221/ le-macronleaks-est-une-fake news
*https://twitter.com/wikileaks/status/ 861947392005898241} Le dimanche 21 mai, le site Mediapart du trouble Edwy Plenel a publié son analyse du volet financier de ces documents. Un passage de cette enquête est particulièrement expéditif et lacunaire au sujet d'un personnage-clé (leveur de fonds) présent depuis le début de la campagne électorale.
En voici l'extrait (également retranscrit ici) :
Le 19 mai 2016, un cadre de Rothschild, Philippe Guez, a aussi organisé une récolte de dons dans son appartement du XVIe arrondissement. Y étaient conviés une dizaine d’invités – chefs d’entreprise, avocats, family office et investisseurs dans l’immobilier –, en compagnie de Christian Dargnat et d’Emmanuel Macron. « Tous ont été informés d’une contribution de 7 500 euros », précise alors l’hôte de l’événement.
Guez est davantage qu'un simple cadre de la puissante banque Rothschild.
Son nom apparaît (visible à droite de l'image ci-dessus) dans les emails piratés comme l'un des "8 invités Rothschild" du fameux meeting de Macron tenu le 10 décembre 2016.
https://youtu.be/kumYL7rJ1sE
Vice-président de Rothschild en charge du département "Israël", Guez est également le patron du Conseil de chefs d’entreprises France-Israël au sein du MEDEF.
En 2014, il joua ainsi un rôle personnel dans le développement de l'entreprise stratégique Veolia en Israël.
Domicilé de 1979 à 1986 en Israël et diplômé de l'Université hébraïque de Jérusalem, Guez est aussi un dirigeant communautaire de "l'Appel unifié des juifs de France".
En juin 2016, il était invité (à 31') par la "16ème conférence " d'Herzliya en présence des criminels de guerre Henry Kissinger et Shimon Peres.
https://youtu.be/Pdfzmu3AWsY
L'ex-président israélien, aujourd'hui décédé, lui avait d'ailleurs fait l'honneur -indice de la connexion de Guez avec l'appareil d'État israélien- de le convier à son anniversaire public de 2003 –pour ses 80 ans.
À l'époque, Guez travaillait pour la Deutsche Bank, une institution financière qui avait opéré des délits d'initiés à la faveur de l'opération israélo-américaine du 11-Septembre.
Détail à souligner : sur son compte Facebook, un ami particulier le félicite chaleureusement pour sa photo cossue de mariage.
Il s'agit de Gil Taïeb, mécène de l'armée israélienne et candidat disqualifié pour les élections législatives au nom… d'Emmanuel Macron.
HICHAM HAMZA
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- Flashback 11 : le scoop que vous n'apprendrez pas sur Mediapart, BFM TV, Buzzfeed, Fdesouche ou Arrêt sur images, découvrez-le sur Panamza ! #Panamza2ansLeBestOf
- Le sujet que Mediapart ne traitera pas : Jérôme Kerviel et le jackpot français du 11-Septembre
- Aquilino Morelle, Mediapart et le Crif: la connexion surprise
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Aquilino Morelle, Mediapart et le Crif : la connexion surprise
INFO PANAMZA. Le journaliste à l’origine de la démission d’Aquilino Morelle est proche d’une organisation dans laquelle siège l’ennemi juré de l’ex-conseiller de François Hollande: le Conseil représentatif des institutions juives de France. Décryptage.
Le 18.04.2014 à 19h32
L’effet politique de son scoop ne manquera pas d’égayer son anniversaire célébré ce soir: Michaël Hajdenberg, journaliste à Mediapart qui fête aujourd’hui ses 36 ans, peut pavoiser. Son article publié hier a déjà provoqué la démission de l’homme auquel il s’est attaqué et qu’il va jusqu’à qualifier d’« imposteur » sur Twitter.
https://www.youtube.com/watch?v=lSKGzDMbfyI
En mettant en lumière un conflit d’intérêt dans le parcours antérieur d’Aquilino Morelle, à la fois juge et partie auprès d’un laboratoire pharmaceutique, Michaël Hajdenberg (par ailleurs directeur général de la société des salariés de Mediapart) a déclenché la chute du conseiller politique du chef de l’État. En déplacement en province, François Hollande a confié ce matin à Manuel Valls le soin de convoquer son adjoint discrédité afin de lui faire acter sa démission.
Un autre jeune homme peut aujourd’hui célébrer, non son anniversaire mais sa victoire: Paul Bernard.
Ce normalien était, jusqu’en décembre, la plume de François Hollande « sous l’autorité » d’Aquilino Morelle. Contrairement à plusieurs tandems d’écriture des discours présidentiels, le duo Morelle-Bernard était reputé inefficace en raison des relations exécrables qu’entretenaient les deux hommes. Avant son départ, compensé par une nomination par décret présidentiel -le 31 janvier- au Conseil d’État, Paul Bernard avait même été rattaché à la directrice de cabinet de François Hollande afin de ne plus être sous la coupe sévère de Morelle.
Particularité de l’homme aujourd’hui probablement satisfait par la démission déshonorante de son ancien tuteur: Paul Bernard, adhérent choyé du Mouvement juif libéral de France et ex-conseiller du PDG ultra-sioniste de Publicis, est également membre -depuis 2011– du comité directeur du Crif.
Au sein du Bureau exécutif du Crif, deux hommes, Patrick Klugman et Yonathan Arfi (tous deux anciens présidents de l’Union des étudiants juifs de France), sont liés d’amitié avec Michaël Hajdenberg si l’on en juge par le compte Facebook de ce dernier. De simples contacts professionnels? Pourquoi pas, même si sa liste de 335 amis comporte plusieurs figures d’une mouvance idéologique que l’on pourrait aisément caractériser comme emblématiques de la "gauche sioniste hexagonale".
Coïncidence? Dans l’histoire du Crif, deux frères- dont l’un avec succès- ont voulu en briguer la présidence: Henri et Serge Hajdenberg. Le premier a présidé le Crif de 1995 à 2001 avant de prendre la tête du Congrès juif européen tandis que le second, candidat malheureux à l’élection, demeure un homme de médias réputé en raison de sa fondation-direction de Radio J (où travaille d'ailleurs un certain Frédéric Haziza).
C’est d’ailleurs le point commun entre Bernard, Klugman, Arfi et les frères Hajdenberg: leur ancrage dans un sionisme dit libéral et proche du Parti socialiste.
Journaliste à Médiapart (site qui a ménagé Manuel Valls en passant sous silence la problématique de ses allégances sionistes), Michaël Hajdenberg, qui a le même âge que Bernard et qui est en relation avec le tandem Klugman/Arfi, est-il également lié familialement à l’ex-président du Crif et son illustre confrère de Radio J? Dans tous les cas de figure, la ressemblance du journaliste avec Henri Hajdenberg est frappante.
Notons également que le journaliste, issu de la promotion 2003 du CFJ et ancien de Libération, fut à l’origine de l’affaire –alors relayée par la LICRA (association dont les frères Hajdenberg sont des membres historiques)- des « coups et blessure antisémites au lycée Montaigne » de décembre 2003: deux élèves d’origine maghrébine avaient été exclus dans la foulée du tintamarre médiatique provoqué par son article avant d’être finalement réintégrés grâce -notamment- à une contre-enquête menée par la Ligue des droits de l’homme. Détail intéressant: le scandale gonflé du lycée Montaigne est né d’un article rédigé par un journaliste anciennement élève de ce même lycée.
Rappelons ici qu’Henri Hajdenberg s’était distingué antérieurement, en tant que président du Renouveau juif, pour appeler les électeurs juifs à sanctionner -en 1981- Valéry Giscard d’Estaing en s’appuyant sur une photographie détournée présentant l’ancien Président comme un homme méprisant Israël (cette désinformation a d’ailleurs été reprise sans sourciller par Manuel Valls lors de son discours de 2011 –révélé par l’auteur de ces lignes- au cours duquel il déclama son désormais célèbre « lien éternel avec la communauté juive et Israël »).
Michaël et Henri Hajdenberg: si une telle connexion familiale devait être avérée, comme le suggèrent les liens amicaux particulièrement nombreux de l'enquêteur dans la sphère sioniste, cela n’enlèverait rien au mérite de l’affaire du conflit d’intérêt dévoilée par Mediapart mais jetterait un doute sur l’origine de la démarche du journaliste. Curieusement, celui-ci affirme –cet après-midi, sur LCI- avoir commencé son investigation de « six semaines », non sur la question de l’industrie pharmaceutique mais « suite à des échos sur le comportement abusif » imputé à l’ex-conseiller politique de François Hollande. Quelles sont ces « personnes intéressées » qui lui ont rapporté ces « échos » au caractère négatif et entièrement à charge? Un homme garde un souvenir douloureux de son passage, de mai 2012 à décembre 2013, auprès d’Aquilino Morelle: Paul Bernard.
L’affaire Morelle, une vendetta feutrée de la mouvance du Crif pour venger le traitement et l’éviction de Paul Bernard? Rien ne permet de l’affirmer catégoriquement aujourd’hui. Mais, au regard des connexions du journaliste de Mediapart, rien n’autorise, non plus, de balayer d’un revers de la main une telle possibilité.
HICHAM HAMZA
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- Mediapart/France 2, même autocensure
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Drahi sort 12 millions d'euros pour inciter les Français juifs à devenir Israélien
INFO PANAMZA. Patron de BFM TV, le milliardaire israélien Patrick Drahi a parrainé le lancement d'une association destinée à l'Aliyah : l'émigration juive en Israël. Son associé : l'homme d'affaires condamné pour escroquerie Marc Eisenberg. Preuves à l'appui.
Le 14.10.2022 à 14h33
L'omerta est -quasiment- totale.
Figurez-vous : depuis le 25 août, une masse de documents relatifs au groupe Altice (et aux cercles rapprochés de son propriétaire Patrick Drahi) est consultable via le Darknet.
Pourtant, AUCUN média prétendumment d'investigation dans l'Hexagone (Mediapart, Canard enchaîné, Le Monde, etc) ne s'est emparé du sujet.
Drahi, récemment auditionné avec délicatesse par le Sénat sur l'épineuse question de la concentration médiatique, serait-il intouchable ?
Même discrétion chez ces personnalités -en réalité, des opposants contrôlés et déguisés en dissidents du web (Juan Branco, Idriss Aberkane, Didier Maïsto, Alexis Poulin, Grégory Tabibian, Mike Borowski, etc)- qui se targuent régulièrement d'attaquer les "oligarques" mais qui demeurent totalement silencieuses sur cette affaire a priori alléchante pour exposer les dessous d'une puissante multinationale.
À l'inverse, quand Wikileaks divugua au printemps 2017 les Macron Leaks, plusieurs organes de la presse écrite française avaient disséqué cette somme d'informations sur l'équipe de campagne du futur Président.
Le 5 septembre, tout le gratin des décideurs dévoués au lobby sioniste était réuni au Palais Chaillot à l'invitation de la chaîne israélienne i24news et en présence de Drahi.
Prétexte fallacieux de cette réunion : commémorer les 2 ans des Accords d'Abraham, cette négociation diplomatique fumeuse entre Israël et des pays arabes réduits au rôle de valet, sous les bons auspices de Donald Trump (pantin dont le zèle sioniste presque caricatural durant son mandat s'expliquait probablement par la méthode du "Kompromat" à la Epstein…).
Voici la liste non exhaustive des invités selon un article (rendu inaccessible depuis sa publication) du site islamophobe Tribune juive :
"Anne Hidalgo, Eric Dupond-Moretti, Gérald Darmanin, Jean-Michel Blanquer, Francis Huster, Cyril Hanouna, Imam Chalghoumi, Pierre Besnainou, Maurice Lévy, Bernard-Henri Lévy, Denis Olivennes, Jacques Attali, Jean-Paul Enthoven, François Heilbronn, Laurent Wauquiez, Xavier Bertrand".
Pas seulement : Panamza a identifié dans les divers reportages sur la soirée d'autres personnalités.
En vrac : Philippe Val, Michel Boujenah, Eric Ciotti, Meyer Habib, Nicolas Domenach, Ariel Wizman, Christophe Ono-dit-Biot, Zabou Breitmann, Pierre Richard, Jean Messiha, Richard Malka, Francis Szpiner, Christophe Barbier et, cerise sur le gâteau (dernière image), Sébastien Chenu, député et porte-parole du Rassemblement national (tout sourire avec Frank-Isaac Melloul, directeur général d'i24news).
Retour sur l'enquête de Panamza consacrée aux "Altice Leaks".
Après les volets BHL, Maroc et Tsahal, découvrez aujourd'hui dans cette 4ème partie une nouvelle information édifiante.
En résumé : initié par le Clan Drahi le 14 décembre 2021, un projet associatif -formalisé le 24 juillet 2022 et dénommé Passerelles– vise à promouvoir l'émigration des Français juifs en Israël.
Coquette somme allouée par Patrick Drahi auprès de Daniel Saada (ex-ambassadeur d'Israël en France, désormais en charge de l'association) : 12 millions d'euros (sur 15 au total).
Les 3 millions restants seront mobilisés par l'influent Marc Eisenberg, intime de longue date de Drahi, patron de l'Alliance israélite universelle, soutien de l'apartheid israélien et affairiste condamné pour escroquerie.
En 2015, un certain Emmanuel Macron avait d'ailleurs montré patte blanche -depuis Israël- à Eisenberg.
Sans plus attendre, Panamza vous propose de consulter en exclusivité l'intégralité de deux documents internes au groupe Altice faisant état de ce projet communautariste supervisé par le terne Patrick Drahi, milliardaire israélien visiblement cajolé par nos ministres de l'Intérieur et de la Justice…
Voici les deux docs :
-
Le nouveau patron du Crif avait financé la campagne de Macron
INFO PANAMZA. En 2016, Yonathan Arfi, aujourd'hui à la tête de l'organisation ultrasioniste du Crif, avait donné de l'argent au futur candidat à la présidentielle Emmanuel Macron. La preuve par la source.
Le 01.07.2022 à 16h25
Imaginez un truc incroyable.
Un nouveau patron du Conseil français du culte musulman.
Dans la France de 2022.
Un dirigeant flambant neuf qui dirait sans sourciller aux médias curieux de son profil ceci : "Je suis un musulman de combat, je lutterai contre l'islamophobie et pour le droit à l'antisionisme".
Inimaginable, n'est-ce pas ? Notamment quand on connaît le profil obséquieux et lisse de la plupart des dirigeants musulmans de France.
Sauf pour la communauté juive.
Dimanche 26 juin, sitôt élu à la tête du Crif (Conseil représentatif des institutions juives de France), Yonathan Arfi s'est présenté comme un "juif de combat".
Le lendemain, il a fait savoir sur France Inter puis sur Radio Judaïca sa volonté de combattre "l'antisémitisme" et -tout particulièrement- "l'antisionisme".
À 42 ans, Arfi (ancien patron vindicatif de l'Union des étudiants juifs de France et militant obsédé par la conquête idéologique de l'Éducation nationale pour rendre la jeunesse de France acquise au sionisme), n'a ni la malice teintée de fourberie ni le carnet d'adresse international de l'ancien président du Crif (issu de la banque Rothschild) Roger Cukierman mais il sera indéniablement plus retors que le terne Francis Kalifat.
Détail intéressant : comme il le confirma à Simone Rodan-Benzaquen (patronne de l'antenne européenne du Comité juif américain), le Crif avait nettement appelé à voter Macron entre les deux tours de l'élection présidentielle.
Un renvoi d'ascenseur cohérent quand on connaît le zèle indécent du président envers le lobby judéosioniste de France.
En creusant la genèse de rapprochement de plus en plus étroit entre le chef de l'État et un groupe communautaire dévoué à un régime étranger, on déniche parfois des connivences secrètes.
Ainsi, en juillet 2016, trois mois seulement après la création du parti En Marche et quatre mois avant la candidature officielle de Macron à la présidentielle, Arfi, alors membre du bureau exécutif du Crif et chargé notamment de ses relations internationales, avait donné un chèque -en son nom propre- au futur Président.
Mieux encore : il figura dans une liste officielle de donateurs du camp Macron.
Panamza vous propose de découvrir ci-dessous la source originelle de cette révélation qui demeura, jusquà ce jour, totalement passée sous silence par les prétendus médias d'investigation hexagonaux tels Mediapart et le Canard enchaîné (nulle surprise quand on sait que la cellule enquête de Mediapart est dirigée par le fils d'un ancien patron du Crif tandis que le Canard enchaîné –célébré en Israël– emploie confortablement depuis des années l'ultrasioniste Frédéric Haziza).
Découvrez le montant exact du chèque remis par Arfi à Macron dans le lien détaillé ci-dessous et réservé en exclusuvité aux abonnés de Panamza (nota bene -les abonnés ayant des difficultés à accéder à leur compte peuvent se faire signaler par email : [email protected]).
Voici la source :
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Convoqué par la police pour une caricature anti-Macron
Journaliste-enquêteur indépendant, je suis convoqué par la police pour un motif sidérant : avoir relayé sur Twitter un dessin humoristique mettant en scène Macron, Zemmour et la banque Rothschild.
Le 21.06.2022 à 21h25
Et de 10.
10 convocations policières.
Uniquement pour des délits de presse.
Qui dit mieux ?
Quel journaliste d'enquête en France peut se targuer d'un tel score ?
Ce mardi 21 juin, j'ai reçu par courriel ma dernière convocation, encore plus farfelue que les précédentes.
En résumé : je suis ciblé par une plainte pour "incitation à la haine raciale"…
pour avoir…
tenez-vous bien…
relayé le 21 mars sur Twitter…
cette image :
Vous ne rêvez pas.
La simple publication de cette caricature, accompagnée de mon commentaire laconique ("Tellement vrai") et de mes sources factuelles sur la connexion de Rothschild avec Macron et Zemmour serait un délit.
Un magistrat français a donc accepté de prendre en compte cette plainte guignolesque initiée par un groupe de juifs suprémacistes (dénommé "Balance ton antisémite/JCoupable" et soutenu par l'infâme Gil Taieb du Crif) avant de me faire -en conséquence- convoquer par la police pour un interrogatoire.
Le plaignant formel en justice ?
La groupusculaire mais influente Organisation Juive Européenne (OJE), proche du chroniqueur ultrasioniste Gilles-Wiliam Goldnadel et SURTOUT liée au Mossad -comme l'avait souligné en août dernier le Parisien.
Président de l'OJE : l'extrémiste judéosioniste Fabien Belhassen.
Observez-le jouant au mafieux de pacotille.
C'était en avril 2016, en plein tribunal de Paris, face à Vincent Lapierre (à 2').
Voila donc le genre de fou furieux qui arrive à se faire entendre et respecter par une "justice" française déférente.
Je reviendrai sur ce nouvel épisode de ma saga personnelle : la persécution policière et judiciaire à mon encontre du clan israélien en France.
HICHAM HAMZA
Auteur, fondateur du site Panamza et journaliste d'enquête depuis 2008
Contact : [email protected]
Pour contribuer aux frais d'avocat, cliquez ICI
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Il est temps de vous abonner : Panamza devient tout-payant !
Le 01.05.2022 à 19h05
En ce jour férié du 1er mai, dédié aux travailleurs et à l'importance de la juste rétribution ("tout travail mérite salaire"), Panamza amorce un virage décisif.
Pour ne pas cesser sa publication (suite aux manoeuvres du lobby sioniste qui a fait fermer les comptes PayPal et BNP Paribas du site), Panamza doit devenir viable économiquement.
Le but : pouvoir continuer et VOUS fournir un travail journalistique de qualité, non seulement unique en France pour ses thèmes, mais aussi dérangeant, au vu des nombreuses tentatives (judiciaires/médiatiques/crapuleuses/informatiques) pour bloquer, condamner, discréditer ou saboter le site.
Des personnalités puissantes ou influentes comme le millionnaire Pierre Bergé, l'ancien Premier ministre Bernard Cazeneuve ou l'essayiste Caroline Fourest ont payé cher des avocats prestigieux pour se venger des scoops à leur propos.
Et aucun journaliste indépendant d'enquête ne peut se targuer d'avoir été convoqué 9 fois par la police depuis 2013.
Juste pour des articles.
Le 21 juin, Panamza célébrera ses 9 ans et un bilan considérable en matière de révélations sur des sujets sensibles ou tabous (attentats de Charlie Hebdo/13-Novembre/Nice, Crif, Ccif, Fn/Rn, Epstein, pédocriminalité, franc-maçons, islam sous tutelle sioniste, escrocs de l'islamophobie et de la "dissidence", propagande et origines du Covid, Macronie et réseaux Zemmour, etc).
Après 4 ans de gratuité et 5 ans d'info semi-payante (des papiers dont les sources et l'intégralité sont réservés aux abonnés), il est temps de passer un cap supérieur.
Évidemment, les partisans du tout-gratuit chouineront.
Je leur propose d'aller chez leur boulanger pour demander un croissant sans payer et d'observer sa réaction…
L'info a un prix.
Pas celle de BFM TV ou de France Télévisions qui vous ne apprendront rien sur le dessous des cartes.
Idem pour ces médias pseudo-rebelles tels France Soir, Sud Radio, Blast et tant d'autres qui vous divertissent sans jamais franchir la ligne rouge.
À partir d'aujourd'hui, l'intégralité des informations de Panamza sera donc réservée en exclusivité aux abonnés ayant souscrit une adhésion au média.
À partir de 5 euros -seulement!- par mois.
Soit 1 croissant par semaine, en guise d'équivalent pour de l'info chaude et croustillante…
Seules les vidéos, passées et à venir, seront accessibles à tous.
Du tout-payant à l'image de Mediapart.
Les lecteurs-souscripteurs de Panamza recevront une lettre hebdomadaire avec les toutes dernières infos inédites.
C'est la contrepartie désormais nécessaire pour tenir bon dans la bataille de l'information : l'argent demeure, quoiqu'en disent les naïfs ou les gens de mauvaise foi, le nerf de la guerre.
Nouvel abonné solidaire et motivé par le travail considérable et risqué de Panamza : bienvenue à toi.
Clique ci-dessous et rejoins-nous dans la recherche de la vérité, du 11-Septembre à la guerre en Ukraine.
Cette noble quête que les imbéciles de tous bords qualifient de "conspirationnisme".
Ensemble, et à la fin, nous vaincrons.
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Zemmour photographié dans un club échangiste
INFO PANAMZA. Candidat pressenti à la présidentielle, le polémiste Éric Zemmour avait été piégé vers 2010 par deux photographes qui l'attendaient à l'entrée d'un établissement libertin.
Le 23.09.2021 à 15h15
Son avocat Olivier Pardo (engagé radicalement pour Israël) a fait savoir qu'il portait plainte contre Paris-Match.
Aujourd'hui, l'hebdomadaire a publié une enquête sur l'équipe de campagne de l'ultrasioniste antimusulman Éric Zemmour dans laquelle une photographie (affichée en couverture du journal) laisse entendre l'existence d'une liaison intime avec sa conseillère Sarah Knafo (une pulpeuse énarque liée à la bande à Causeur et issue d'un célèbre lycée juif de la région parisienne).
Fait troublant : en février 2020, trois photographies suggestives de Zemmour ont été publiées de manière anonyme sur un forum.
Capturées sous deux angles et vers 2010, on y découvre la superstar d'alors de l'émission de Ruquier s'acheminant -en compagnie de son épouse et éditrice Mylène Chichportich- vers l'entrée du club échangiste Le Nautilus (qui sera repris, rebaptisé et repeint en 2011 par Sophie Lévy-Civet, l'influente "baronne des nuits parisiennes").
Au-delà du sujet peu intéressant des moeurs intimes de Zemmour, réputé pour sa vision sexiste des femmes ("des proies consentantes"), une question plus essentielle se pose : qui étaient ces deux photographes (l'un situé sur le trottoir d'en face, l'autre à l'étage) qui ont attendu et piégé la vedette montante de l'extrême droite BCBG du Figaro ?
Simples paparazzi ?
Ou policiers/barbouzes versés dans les dossiers compromettants sur des personnalités politiquement influentes dans le but de les tenir et faire chanter ?
Comment ces images ont-elles ressurgi 10 ans plus tard sur le web ?
Bonus : découvrez dans le lien ci-dessous la source originelle de ce montage photo ainsi qu'une DIZAINE de témoignages personnels (glanés sur le net) faisant état -sur divers points de Paris- du libertinage insouciant, multiculturel et ancien d'Éric Zemmour.
Il s'agit de ce lien.
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Derrière Benalla, Achoui, Isla Mondial : un Algérien lié à Israël
INFO PANAMZA. Découvrez la secrète et puissante connexion israélienne de l'Algérien qui a financé la LDJM de Karim Achoui, aidé Alexandre Benalla et conseillé le milliardaire-fondateur de la marque halal Isla Mondial.
Le 10.01.2021 à 14h28
Souvenez-vous.
Dès 2014, Panamza exposait les liens discrets de l'avocat Karim Achoui avec la mouvance sioniste (une relation corroborrée encore en 2020)
À l'époque, l'individu était célébré par des sites musulmans tels Islam&Info et Oumma. Pour cause : il venait de fonder la Ligue de défense judiciaire des musulmans (LDJM).
Beaucoup se rappellent de l'incident survenu en septembre 2013, lors de la soirée d'inauguration au bar Moon Roof de Paris : un certain Meyer Habib, activiste radical de la cause judéosioniste, avait été l'invité surprise des organisateurs.
Voici ce que j'évoquais alors ce sujet :
Si les médias font la part belle au cofondateur Karim Achoui, ils négligent de s'intéresser à l'autre créateur de l'association: Farid Belkacemi. Ce financier autodidacte, ancien de la société Viel & Cie et conseiller d'un grand groupe privé algérien, s'est distingué, hier soir, en invitant son "ami" Meyer Habib.
Précisément : engagé pour financer à l'origine la LDJM, l'ancien trader Belkacemi (aujourd'hui basé à Londres) est le conseiller personnel d'Issad Rebrab, l'homme le plus riche d'Algérie (emprisonné en 2019 pour escroquerie) qui s'avère être le fondateur de la marque halal (promue par Oumma.com) Isla Mondial.
Selon Le Monde, ce "mystérieux Franco-Algérien" s'était d'ailleurs lié d'amitié avec le jeune Alexandre Benalla lors de la création de la LDJM.
Six ans plus tard, fin 2019, Benalla dévoila dans son livre avoir été recasé, après son éviction de l'Élysée, par l'entremise de Belkacemi. Ce dernier a sollicité "son ami" Philippe Hababou Solomon pour recruter Benalla.
Solomon ?
Panamza avait révélé en détail son passé d'escroc multirécidiviste mais surtout son ancrage (occulté par ses amis à Mediapart) dans l'appareil d'État israélien, notamment auprès du renseignement (Mossad et Aman).
Résumons : le Franco-Algérien qui fut l'entremetteur en France du fondateur d'Isla Mondial, l'intermédiaire professionnel de Benalla et le mécène originel de la LDJM entretient donc un lien privilégié avec un gangster financier au service du renseignement israélien.
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Les antivaccins sont surveillés par les services secrets
Des journalistes d'investigation britanniques et américains ont révélé l'engagement de leurs pays dans une "cyber-guerre" contre les citoyens doutant de l'efficacité du vaccin anti-Covid. Et la presse française ? Elle s'aligne sur le gouvernement Castex et lance la chasse aux "complotistes". La preuve par les sources.
Le 23.12.2020 à 14h21
Dans les années 80, sous l'ère déclinante de l'URSS, il était encore de bon ton de se moquer en Occident de la Pravda et d'une presse russe totalement contrôlée par le régime soviétique.
La France de 2020 n'a pourtant rien à envier au totalitarisme communiste en matière de presse.
Jetez un coup d'oeil sur le traitement médiatique des nombreux Français hostiles ou simplement sceptiques quant au vaccin à venir contre le coronavirus (supervisé en France par un homme du clan Rothschild).
Dans la droite ligne d'Emmanuel Macron et de l'agent de propagande sioniste Rudy Reichstadt, l'unanimité des journalistes encartés -dits abusivement "professionnels"– est vent debout contre la contestation, notamment celle en ligne à travers les réseaux sociaux, Youtube et les blogs.
La mode sémantique du moment chez les journalopes (de tous bords et assistés par des spécialistes anonymes ou des pseudo-experts tel le guignolesque Tristan Mendès France) : évoquer une "épidémie" pour désigner avec mépris ou inquiétude la vague de critiques sur le vaccin, le lobby pharmaceutique ou le neoscientisme catastrophiste mis à l'honneur sur les plateaux télé.
À l'inverse, aucune enquête -y compris chez les surencensées vaches sacrées de la presse hexagonale (Mediapart, Canard enchaîné, Elise Lucet & co),- sur un sujet tabou abordé par des enquêteurs anglo-saxons : celui relatif aux méthodes discrètes des appareils d'État pour saboter/diaboliser/infiltrer la contestation anti-vaccin.
Infiltrer ?
Les anciens lecteurs de Panamza, connaisseurs de la supercherie du 11-Septembre, se souviendront peut-être de son nom : Cass Sunstein.
Ce juriste américain engagé contre le "complotisme", membre de l'Administration Obama et descendant d'un célèbre talmudiste, avait fait sensation en prônant "l'infiltration cognitive" des groupes (en ligne comme physiques) de contestation de la version officielle du 11-Septembre par des "agents gouvernementaux" dans "le but de désamorcer ces théories en soulevant des doutes au sujet de leurs prémisses factuelles ou de leurs implications logiques et causales du point de vue de l'action politique" (rappelez-vous le cas de Bertrand Pillet, animateur vedette de la web-tv Thinkerview qui reconnaît aujourd'hui –après les révélations de Panamza– avoir effectivement "infiltré" Reopen911).
La méthode de Sunstein appliquée à la France de 2020 signifierait que certaines des figures montantes des "anti-vax" seraient en réalité des désinformateurs mis en scène pour dénigrer -par leurs erreurs volontaires– le débat sur le sujet. Des exemples ?
Pensez à Hold-Up (documentaire pseudo-subversif réalisé par l'obscur Barnérias et massivement promu par toute la presse -dès sa sortie en ligne, avant son succès) ou à Anais Lefaucheux (propulsée devant Olivier Véran par LCI, chaîne contrôlée -via le groupe Bouygues- par la franc-maçonnerie).
Creusez aussi l'apparition soudaine de l'association Reaction 19 pilotée par Carlo Brusa, un avocat issu du camp sioniste et oligarchique de Silvio Berlusconi…
Sans parler aujourd'hui en détail de Silvano Trotta, un Youtubeur dit "complotiste" qui s'avère -excusez du peu- promu tacitement par un long portrait du Monde : il sert, comme Soral, le camp Trump à travers son relais enthousiaste sur son compte Twitter du mouvement Qanon, une fumisterie sophistiquée d'Américains au service (via le général Flynn) de l'axe Moscou-Tel Aviv…
Bref : Panamza propose à ses abonnés de vérifier par eux-mêmes l'implication d'ores et déjà établie des services sécuritaires anglo-saxons dans la surveillance et le sabotage des anti-vaccins britanniques et américains avec ces 2 articles extrêmement sourcés, ci-dessous…
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Le malade médiatique du Covid est lié à Macron
En marche…vers la dictature sanitaire ? La presse française vous dissimule le lien étroit d'Alexandre Zapolsky, rescapé spectaculaire du Covid, avec Emmanuel Macron. La preuve par les sources.
Le 09.11.2020 à 15h05
Cela ressemble à s'y méprendre à une habile opération de communication.
Le but : désamorcer la colère grandissante d'une partie de la population, excédée par le confinement et le port du masque obligatoire dans la rue.
Le moyen : utiliser le témoignage-choc d'un homme se disant miraculé du mystérieux et trouble Covid.
Problème : cet individu est un intime de Macron.
Vendredi 6 novembre, le JT de 20H de France 2, chaîne contrôlée par l'État, lance l'opération audiovisuelle :
La veille, le site du confidentiel L'Obs s'était fendu d'un article du même tonneau.
Avec une vidéo calibrée pour Twitter en bonus :
Je vais vivre ! Je suis bien content !
Merci à tous pour vos messages de soutien 🙏🙏🙏
La vie est précieuse. Prenez soin de vous ! pic.twitter.com/LjII8BvSKL
— Alexandre Zapolsky (@Alex_Zapolsky) November 2, 2020
Idem chez Le Point, interview alarmiste et culpabilisante à l'appui.
Extraits :
Il faut que les gens s'en rendent compte. La vie est plus importante que tout. Il faut sortir des polémiques inutiles et faire confiance au pouvoir en place pour préserver un maximum de vies ! Imaginez le drame pour toutes ces familles qui perdent des proches. Le Covid tue. Le président de la République, que je connaissais par ailleurs, m'a suggéré d'utiliser cette vidéo pour témoigner du drame que j'ai vécu. Si je peux aider à cette prise de conscience, j'en suis ravi.
Ce qui me choque, c'est le déni de la réalité de cette maladie. Comme toujours, on pense que cela ne peut arriver qu'aux autres ! Il est temps que nous soyons tous plus solidaires. À titre personnel, je ne comprends pas que l'application TousAntiCovid ne soit pas rendue obligatoire. On préfère sacrifier des libertés bien réelles (comme celle fondamentale d'être en bonne santé) au risque d'entamer certaines de nos libertés théoriques. Il est grand temps de remettre du bon sens dans notre appréhension de la maladie et de privilégier l'intérêt général.
Et aujourd'hui, lundi 9 novembre, pic d'émotion en direct sur CNews :
Tous passent sous silence l'engagement politique singulier d'Alexandre Zapolsky, PDG d'une compagnie de cybersécurité (un entrepreneur grassement subventionné puis décoré par l'israélomane Manuel Valls, épinglé pour sa "brutalité managériale" et condamné pour "diffamation") : en 2017, il briguait le poste de député au service du clan Macron.
https://www.youtube.com/watch?v=wvpamoDF3kQ
Nulle surprise qu'il soit aujourd'hui (depuis mai 2018) membre du Conseil numérique.
Passons sur la source particulière de son attestation médicale : le médecin militaire Thierry Carmoi de l'Hôpital américain de Paris (un lieu sous contrôle atlantiste, depuis son CA élitaire et huppé basé à New-York).
Et notons un détail intriguant : chez Morandini et dans Le Point, Zapolsky indique avoir été dirigé vers cet hôpital par son ami Bruno Bouygues.
Ce neveu de Martin Bouygues (patron d'un puissant groupe lié à la franc-maçonnerie et au Mossad) n'est autre que l'époux de l'Américaine Helen Lee Bouygues, trésorière de la fondation qui gère l'Hôpital américain de Paris et… camarade de Macron dans la cuvée 2012 des Young Leaders.
Mieux encore : la propre épouse de Zapolsky bénéficie d'une faveur gouvernementale comme l'illustre le lien ci-dessous, déniché par Panamza.
Il s'agit de son poste (attribué par le Premier ministre) de conseillère au commerce extérieur de la France. Elle siège et travaille aux côtés de son mari.
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Dans les gares SNCF, vous serez filmé jusqu'en Israël
INFO PANAMZA. Pour sa nouvelle vidéosurveillance, la SNCF s'est associée à Anyvision, compagnie israélienne liée à Tsahal et au Mossad. La preuve par la source.
Le 02.11.2020 à 16h33
Incroyable mais vrai.
AUCUN média de la presse hexagonale traditionnelle n'a rapporté l'info depuis un an.
AUCUN.
Vous comptiez sur Mediapart, le Canard enchaîné ou Cash Investigation pour accéder aux informations d'intérêt public ?
Vous avez –encore– été berné.
Flashback : en mai dernier, Panamza révélait que Datakalab, compagnie française autorisée à contrôler la vidéosurveillance du coeur névralgique du métro parisien (Châtelet-les-Halles), était étroitement liée à Israël.
Bonne nouvelle : un mois après, la CNIL a suspendu son expérimentation.
Même attitude critique de la CNIL auprès d'une autre compagnie contrôlée par Israël qui tenta d'appliquer sa reconnaissance faciale à tous les habitants de Nice dans l'espace public extérieur : le gendarme de la protection des données avait dit non, fin 2019, provoquant la colère du trio politique local et ultrasioniste Renaud Muselier/Eric Ciotti/Christian Estrosi.
La CNIL contre Israël ?
Pas exactement….
Preuve en est : elle a discrètement autorisé la SNCF, établissement public de plus en plus tenté par l'usage de la dangereuse reconnaissance faciale, à utiliser les services d'Anyvision (une compagnie liée au Mossad mais aussi à l'industrie militaire israélienne –via Rafael).
Concrètement, Anyvision, pur produit de l'espionnage high-tech israélien, a désormais accès à la videosurveillance dite "intelligente" des gares SNCF.
Oui, citoyen et contribuable de France : vos allées et venues pour prendre et quitter un train sont donc filmées, analysées et stockées, à votre insu, par des opérateurs directement reliés au régime colonial et ségrégationniste de Tel Aviv.
Voici, ci-dessous, la source renvoyant à un acteur de terrain : il s'agit de Jean-Philippe Claret, patron de Confidentia (partenaire et intermédiaire d’Anyvision), qui évoque un usage "light".
Extrait-clé filmé en décembre 2019 et visible à partir de 7'42
https://www.youtube.com/watch?v=I_yJ8JI6gJw
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Incroyable : le Mossad évoqué au procès Charlie
INFO PANAMZA. Gros malaise au tribunal : un protagoniste-clé de l'affaire Charlie Hebdo/Hyper Cacher a révélé sa connexion intime avec le Mossad. La preuve par les sources.
Le 20.10.2020 à 20h10
Souvenez-vous : en janvier 2020, Panamza vous révélait une édifiante information, issue de la presse belge mais passée sous silence en France.
ATTENTAT DE L'HYPER CACHER : LA PRESSE FRANÇAISE VOUS DISSIMULE LE RÔLE TROUBLE D'UN AGENT ISRAÉLIEN
Son prénom (grec) apparaît pour la première fois en février 2015 sur le site d'information belge Sudinfo puis, quatre mois après, dans le journal français Libération : "Epaminondas" {https://www.sudinfo.be/…/charlie-hebdo-amedy-coulibaly…; https://www.liberation.fr/…/la-galaxie-des-complices-d…}.
Détail accablant pour la presse française : il aura fallu attendre près de 5 ans et la révélation exclusive d'un journaliste belge (Benjamin Samyn) pour découvrir sa nationalité et son occupation réelle -celle d'un agent double de l'Etat d'Israël {https://www.rtl.be/…/attentat-de-charlie-hebdo-5-ans}.
L'homme est soupçonné d'avoir joué un rôle-clé dans l'acheminement (entre la Belgique et la France) des armes acquises par Amedy Coulibaly, terroriste présumé de l'attentat contre l'Hyper Cacher
{https://fr.wikipedia.org/wiki/Amedy_Coulibaly}.Détail accablant pour la justice française : cet individu -qui avait disparu au lendemain de l'attentat- n'a pas été sollicité auprès des autorités belges, grecques ou israéliennes par le procureur de la République d'alors François Molins -un homme étroitement lié aux réseaux sionistes {https://twitter.com/Panamza/status/1169254067895513088}.
Détail accablant pour la justice belge : son neveu prénommé Anastasios-qui fut d'abord inculpé- a étrangement bénéficié en avril 2019 de la suspension du prononcé, "une mesure de faveur" selon un quotidien local
{https://www.dhnet.be/…/tribunal-deux-carolos-avaient…; https://www.lameuse.be/…/charleroi-ils-avaient-rachete}.Rappel : Panamza avait révélé la vente de l'Hyper Cacher un jour avant l'attentat et la censure médiatique -toujours en cours- des images de Coulibaly, abattu les poignets joints {https://www.panamza.com/090120-hypercacher-video-censuree/}.
https://www.youtube.com/watch?v=J-dwofukAlQ&feature=youtu.be
Mi-septembre, Panamza obtenait et divulgait le patronyme entier de celui qui fut surnommé le "Grec" : "Epaminondas Tsatsis".
Le 2 octobre, Panamza soulignait l'omerta de la presse en général, et de Mediapart en particulier, qui évite toute mention explicite au sujet de cet agent d'Israël.
Hier, lundi 19 octobre, coup de théâtre : convoqué par la justice (avec le statut de témoin), Tsatsis a été interrogé sur cette question par le président du tribunal.
Le prétexte : l'un des inculpés (Metin Karasular, proche de Coulibaly) avait déclaré qu'il s'agissait d'un "agent du Mossad" (impliqué par ailleurs dans la mort suspecte d'Arafat).
Réponse de Tsatsis à la barre ?
Un démenti nonchalant suivi d'une précision…inattendue.
La version de France Inter :
Après avoir quelque peu fanfaronné sur sa double nationalité, brandissant ses deux passeports – grec et israélien – à la cour, ses deux noms – “pour protection moi [sic]” – son fils “qui travaille pour le Mossad "
La version de Marianne :
Ce commercial de nationalité grecque et israélienne exporte et revend des véhicules vers l’Est de l’Europe. A en croire Karasular, ce Grec serait… un agent du Mossad, les services secrets israéliens. « C’est lui qui a tué [Yasser] Arafat, c’est lui. Quand il prenait de la coke, il me le disait », assure-t-il sans blaguer mais en faisant rire toute la salle. Cité un peu plus tard comme témoin à la barre, le nommé Tsatsis plongera tout l’auditoire dans la stupéfaction, en rectifiant : « Moi non. Mais ma fille travaille au Mossad. »
Notons que France Inter et Marianne passent conjointement sous silence l'info-clé du média belge RTL: en contact étroit avec le terroriste islamiste Coulibaly, Tsatsis lui-même avait reconnu auprès des policiers belges avoir "rendu des services à l'État d'Israël"…
Notons également qu'Aurélie Sarrot de LCI (groupe Bouygues) a totalement passé sous silence ce témoignage (pourtant évoqué sur son compte Twitter) dans son compte-rendu de la journée.
Plus d'infos sur la bombe à retardement de l'affaire Charlie, prochainement, sur Panamza…
https://www.youtube.com/watch?v=YjdGrnSWcoQ
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Décapitation "islamiste" : le Maroc et le Mossad contrôlent un gardé à vue
INFO PANAMZA. L'un des protagonistes-agitateurs de l'affaire terroriste de Conflans-Sainte-Honorine s'avère lié -à la fois- au renseignement marocain et à la nébuleuse sioniste. Révélations.
Le 18.10.2020 à 14h14
À qui profite le crime ?
Telle est la question élémentaire maus passée sous silence par l'ensemble des commentateurs politiques et médiatiques au sujet de la décapitation du professeur Samuel Paty, accusé par des parents d'élèves d'avoir diffusé cette image à ses collégiens.
https://www.youtube.com/watch?v=lfVBpdhTC5I
https://www.youtube.com/watch?v=Lt8eW6D2XE0
https://www.youtube.com/watch?v=JkKdFknOFkw
Au lendemain de l'assassinat, Panamza avait souligné le rôle trouble de Pierre Rehov, extrémiste israélien qui se vanta d'avoir "reçu" la photographie de la tête de la victime.
Aujourd'hui, deux éléments d'information corroborent l'étrange présence d'agents sionistes dans cette affaire dite de terrorisme islamiste :
* La grande mosquée de Pantin est accusée de toutes parts d'avoir diffusé sur sa page Facebook la vidéo d'un parent plaintif. Personne ne signale que cet établissement religieux est affilié à l'UAM93, organisation musulmane dont le secrétaire général Mohamed Henniche est un intime du lobby sioniste. En 2012, il fut même invité discrètement en Israël (ce qu'il démentit initialement avant de le reconnaître). Deux ans auparavant, il était la caution islamique de Sam Ghozlan, un judéofasciste (installé en Israël) qui avait tenté d'amadouer les musulmans en rendant un hommage (de crocodile) à Said Bourarach, assassiné par des extrémistes juifs.
* Le second élément est le plus édifiant : figurez-vous que l'un des 11 mis en garde à vue dans l'affaire de Conflans, présenté unanimement comme un "islamiste antisioniste" et le principal fauteur de troubles, s'avère être un agent "provocateur" du Maroc qui fut longtemps lié à Gilles-Wiliam Goldnadel, agent d'influence emblématique de la mouvance judéosioniste.
Rappel : comme l'avait révélé dans son livre l'ex-policier du renseignement Noam Anouar, le Maroc collabore étroitement avec le Mossad sur le sol français pour conquérir ou déstabiliser des mosquées. La méthode : placer les pions aux différents profils du tandem Maroc-Israël, y compris des personnalités dites radicales ou extrémistes (pour capter et ficher des militants hostiles ou potentiellement dangereux pour les régimes chérifien et sioniste).
Démonstration, ci-dessous, sources intégrales à l'appui.
L'homme en question est Abdelhakim Sefrioui, Marocain de 61 ans, membre du conseil d'administration du "Conseild es imams de France" (après avoir été son trésorier au milieu des années 2000).
Fondé en 1992, ce groupe était dirigé par Dhaou Meskine, dont l'avocat (en 2006) n'était autre Gilles-William Goldnadel.
Curieux, pour un imam tunisien, de se faire représenter par un soutien notoire d'Israël….sauf si cet imam est, comme son compatriote Chalghoumi (qu'il accompagne désormais dans des réunions anti-iraniennes), un pion du lobby sioniste ("En 2001, il avait appelé au calme lorsque le conflit israélo-palestinien faisait monter la température dans certaines banlieues", dixit un ami).
https://youtu.be/CZVXJTJ_oKE
https://www.youtube.com/watch?v=8Olvi7U0l9A
Son compère Sefrioui (qu'il prétend aujourd'hui cotôyer seulement "très rarement") est celui qui apparait dans une vidéo virale, après avoir assisté un parent d'élève.
https://www.youtube.com/watch?v=tKzNUelHR1Q
Sefrioui (auquel fait allusion Nouar en évoquant un leader islamique -contrôlé par le Maroc- d'un "groupe propalestinien" en France) est connu pour sa virulence presque caricaturale pour attaquer Israël.
https://www.youtube.com/watch?v=KoN8-UvCC-c
Plus d'infos à suivre, sur Panamza.
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Panamza avait raison : le pédo Brunel sert Israël
Lundi 10 août, un quotidien britannique a corroboré l'info de Panamza datant de l'été 2019 : oui, Jean-Luc Brunel, pédocriminel et complice d'Epstein, est également dévoué au régime sioniste. La preuve par la source.
Le 11.08.2020, mis à jour le 19.02.2022
Mise à jour du 19 février 2022 : ce samedi matin, Jean-Luc Brunel-Benchamoul, exposé dès 1988 comme un violeur par la chaîne CBS mais longtemps épargné par la police et la justice françaises (jusqu'à son interpellation en décembre 2020), a été retrouvé pendu dans la prison parisienne de la Santé.
Comme son ami Jeffrey Epstein, retrouvé suicidé dans sa prison new-yorkaise en août 2019.
Sans surprise, l'ensemble des médias continue aujourd'hui de traiter a minima l'embarrassante affaire Epstein et de passer sous silence sa connexion (occultée par tous en France) avec Tel Aviv et le renseignement israélien.
À noter : l'avocat actuel de Brunel, dénommé Mathias Chichportich, avait défendu un hôtelier français accusé d'actes pédocriminels au Maroc. Son associé sur cette affaire et supérieur hiérachique sur l'affaire Brunel est Pierre-Olivier Sur, ancien bâtonnier de Paris et artisan d'un rapprochement inédit avec les institutions judiciaires israéliennes.
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Bingo.
Le 18 août 2019, Panamza révélait l'ancrage secret de Jean-Luc Brunel-Benchamoul, Français-clé de la sinistre affaire Epstein, dans la mouvance judéosioniste de l'Ouest parisien.
Souvenez-vous : planqué en France et défendu par une avocate également liée à la nébuleuse israélienne, ce retraité né en 1946 (et autrefois actif dans la mode ainsi que la restauration) est notamment accusé, outre de nombreux viols de jeunes mannequins, d'avoir apporté en guise de cadeau d'anniversaire à son ami Epstein 3 Françaises âgées de 12 ans…
Hier, lundi 10 août, le journal anglais The Sun a divulgué plusieurs photos inédites de Brunel et son amie aujourd'hui en détention provisoire Ghislaine Maxwell (fille de l'agent du Mossad Robert Maxwell).
Surprise, surprise : dans l'une d'entre elles (capturées en 2003 sur "l'île aux pédos" d'Epstein), il arbore fièrement une casquette à la gloire de Tsahal.
Nul étonnement, en réalité : contrairement aux abonnés de Mediapart et du Canard enchaîné, les lecteurs-souscripteurs de Panamza connaissent, depuis le début et en détail, le rôle-clé du lobby sioniste dans le réseau international tissé par Epstein.
L'affaire #Epstein est politique : @Panamza continue son enquête https://t.co/xHk4Q05S7e pic.twitter.com/vTLVfxw75E
— Panamza (@Panamza) September 6, 2019
Rappel : je fais personnellement l'objet d'une double tentative d'intimidation par le procédurier clan Epstein.
– judiciaire : agacée par mes révélations à son sujet, une ancienne comparse d'Epstein, dénommée Nicole Junkermann et proche de l'ex-Premier ministre israélien Ehud Barak, me menace formellement d'un procès.
– financière : ancien employé d'Epstein (en charge de la décoration de son "'île aux pédos") et accesssoirement veuf-devenu-milliardaire de Pierre Bergé, le designer américain (installé au Maroc) et co-propriétaire du journal Le Monde Madison Cox me réclame 5700 euros d'amende pour avoir prétendumment diffamé son ex-amant.
HICHAM HAMZA
Auteur, fondateur du site Panamza et journaliste indépendant d'enquête
Contact : [email protected]
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2019 : le clan Trump "simula" une pandémie d'origine chinoise
Spéciale dédicace aux théoriciens de la coïncidence. Découvrez l'intégralité d'un document US confidentiel relatif à la simulation troublante d'une pandémie partie du sud de la Chine et causant la mort de près de 600 000 Américains.
Le 07.04.2020 à 17h17
Saviez-vous que l'Administration Trump avait brutalement mis fin, l'an dernier, à un programme scientifique de détection mondiale des coronavirus auquel collaborait –surprise, surprise– le laboratoire franco-chinois de Wuhan ?
Evidemment pas : la presse traditionnelle française, de BFM TV à Mediapart, n'a pas jugé nécesaire de vous en informer.
De même qu'elle ne vous a pas fait connaître une autre information -ô combien intriguante- qui fut dévoilée le 19 mars par un célèbre quotidien américain : durant toute l'année 2019, la même Administration Trump avait mené (via son Département de la Santé) la simulation détaillée d'une pandémie mondiale (d'origine chinoise) provoquant le décès de millions d'êtres humains – dont près de 600 000 aux Etats-Unis.
Les lecteurs de Panamza ne seront pas indifférents au fait que le principal artisan de cette simulation (l'expert en bioterrorisme issu du clan Bush et membre du CFR Robert Kadlec) était l'invité d'honneur -en janvier- d'un colloque sur la gestion des "désastres" en Israël….quelques mois seulement après avoir été célébré, également sur place, par une association raciste liée à Tsahal…
Avant de pouvoir consulter, en fin d'article, la preuve formelle de cette simulation (un document officiel -et classé initialement confidentiel– de 63 pages), notez un détail significatif qui corrobore la curieuse présence singulière et récurrente de la mouvance sioniste dans l'anticipation et la gestion mondiale de crise sanitaire : le pro-israélien totalement soumis (n'en déplaise à la secte soralienne) Donald Trump s'avère être un promoteur particulièrement zélé et suspect (comme le soulignent à la fois CNN et le média antisioniste Know More News) de la chloroquine.
https://www.youtube.com/watch?v=SMSPyhSoXAs
Voici, ci-dessous, chacune des sources relatives à cette simulation dénommée "Crimson Contagion" :
-la présentation sommaire sur Wikipedia de cette simulation menée notamment à Chicago
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Raoult et Macron : la connexion secrète
INFO PANAMZA. L'ami intime et soutien financier du professeur Raoult n'est autre qu'un proche de Macron et candidat macroniste aux élections municipales. La preuve par les sources.
Le 29.03.2020 à 19h11
Vendredi 27 mars, Panamza révélait que le grand gagnant commercial de l'affaire de la choloroquine était un "copain" revendiqué du président Macron.
Aujourd'hui, un nouvel élément d'information permet de corroborer la thèse d'une vaste mascarade dans le pseudo-affrontement mis en scène entre les autorités et le médecin Raoult (un personnage récemment relooké-théâtralisé en druide gaulois et subtilement promu par BFM-TelaviV).
https://www.youtube.com/watch?v=uWOTtMEGKx8
L'un de ses intimes (à la fois ami, ancien collègue, soutien financier) -qui s'avère également être l'époux de la fidèle assistante de Raoult- est une figure politique dévouée à Emmanuel Macron.
Au point de l'avoir plusieurs fois accompagné lors de voyages officiels en Afrique et de se présenter aux dernières élections sous l'étiquette "En Marche".
Mieux encore : cet homme a été soupçonné par des magistrats anti-corruption d'avoir favorisé son épouse, première fidèle historique de Raoult.
Sans plus attendre, découvrez par vous-même les sources relatives à ces éléments évidemment occultés par la presse macroniste et ignorés par les groupies de Raoult.
L'homme-clé se nomme Jean-Paul Moatti, économiste et candidat macroniste soupconné d'avoir favorisé sa femme, assistante de Raoult.
Ami fidèle et mécène de Raoult (de longue date), il est l'époux de Yolande Obadia, aujourd'hui présidente du centre marseillais de Raoult (après avoir occupé son poste de directeur).
Il accompagna souvent Macron (dont il est fan) en voyage officiel, notamment au Kenya.
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Des juifs exonérés de porter une attestation : la presse censure l'info
INFO PANAMZA. L'hebdomadaire Le Point a effacé du net sa propre info : un commissaire du 92 a demandé aux policiers d'épargner les juifs lors du contrôle des attestations de sortie dérogatoire. La preuve par le courriel.
Le 22.03.2020 à 17h33
Bienvenue en France, ce pays où des journalopes caricaturent sans rechigner une communauté (les banlieusards musulmans présentés comme "indisciplinés") tout en faisant preuve d'une infinie délicatesse envers les passe-droits accordés à une autre (sans parler des campagnards ouvertement dans l'illégalité).
Jeudi 19 mars, le commissaire divisionnaire de Boulogne-Billancourt a formellement demandé à ses policiers de traiter favorablement "les membres de la communauté juive" lors du "shabbat" (vendredi soir à samedi) et ce, durant les contrôles d'attestation de sortie exceptionnelle.
Mieux encore : dans son courriel (diffusé partiellement sur les réseaux sociaux), le commissaire issu du 9ème arrondissement de Paris (un district sous tutelle sioniste) indique noir sur blanc que les juifs en général (et pas seulement les religieux fondamentalistes), ce jour-là, n'auraient "pas le droit de porter des objets…donc des attestations sur l'honneur".
Le Point (autrefois dirigé et aujourd'hui conseillé par l'ultrasioniste Franz-Olivier Giesbert) a timdement évoqué l'affaire avant de censurer son propre billet, disparu depuis du net.
Sans surprise, la Licra n'a pas manqué d'aboyer aujourd'hui contre les citoyens indignés par un tel traitement de faveur…
Panamza s'est procuré ce document édifiant (dans sa version non censurée) que vous ne découvrirez ni sur BFM TV, ni sur Mediapart.
Le voici :
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Vidéos pornos de Griveaux : les comploteurs m'avaient contacté
Militant d'extrême droite, l'un des responsables du scandale -dans lequel Juan Branco est impliqué- m'avait sollicité pour relayer les vidéos intimes de Benjamin Griveaux. Son identité dévoile sa connexion secrète au député ultra-sioniste Joachim Son-Forget. Et le site de diffusion est basé en Israël. Révélations.
Le 14.02.2020 à 15h31
Député qui a quitté avec fracas la Macronie, Joachim Son-Forget, candidat-guignol à la présidentielle, proche du kabbaliste–communautariste Jacques Attali et fan déclaré de la sioniste anti-islam Marion Maréchal, n'est pas seulement -comme l'avait révélé Panamza- un intime des réseaux Matzneff et un serviteur zélé du Crif et d'Israël (au point d'être soutenu par un obscur "comité franco-israélien").
C'est aussi un piètre menteur.
Ce vendredi 14 février, il a prétendu sur CNews que le "lien" internet renvoyant aux vidéos pornos de Benjamin Griveaux "tourne depuis plusieurs jours" (une fois n'est pas coutume, l'interviewer Jean-Marc Morandini est excellent).
C'est une contre-vérité : la première occurrence du lien URL de la page (contenant les vidéos de Griveaux) sur un réseau social date à peine du jeudi 13 février, à 17h38 -via un compte Twitter lancé en janvier et dénommé Mirazovitch.
Panamza a vérifié les dessous du site PornoPolitique à l'origine des vidéos compromettantes : son serveur est basé aux Etats-Unis et la plate-forme web (à partir de laquelle il a été développé) n'est autre que Wix -une compagnie israélienne -installée à Tel Aviv.
Wix apparaît en cliquant sur les logos du site (en haut de la page, à droite) renvoyant à Twitter et Facebook.
Jeudi 13 février, j'ai reçu le courriel d'un certain "Nicolas Goldbaum" (un pseudonyme) m'alertant de l'existence et de la "censure" de ces vidéos (afin de m'inciter à les relayer).
Surprise, surprise : sous une autre identité, mais avec la même photo de profil, cet individu fait partie des 3 premiers comptes Twitter à avoir diffusé les vidéos sur les réseaux sociaux, quelques minutes avant un tweet décisif (supprimé depuis) d'un compte très suivi – celui du scientifique (à gauche de l'image) Laurent Alexandre (un proche du Crif).
Moins d'une heure après Laurent Alexandre, c'est au tour de son ami Joachim Son-Forget (lui-même intime d'Alexandre Benalla, employé des réseaux israéliens) de poster (à 18h15) LE tweet (hypocrite) sur l'affaire qui a suscité la diffusion massive des vidéos et entraîné le retrait de Griveaux.
https://www.youtube.com/watch?v=rzDCBhuRwHQ&feature=emb_titleAvant de dévoiler, ci-dessous et aux abonnés, le mail reçu par Panamza ainsi que la connexion de son expéditeur avec Son-Forget, notons un fait troublant…
Tandis que Griveaux (docilement lié aux réseaux sionistes, notamment depuis sa formation politique dans l'écurie DSK) a choisi comme avocat Richard Malka (sioniste de longue date, proche de la franc-maçonnerie, également défenseur de la manipulatrice Mila), l'artiste russe et fou furieux Piotr Pavlenski -qui prétend sur BFM TV avoir monté toute l'opération (avec une supposée maîtresse de Griveaux)- est défendu, quant à lui, par… Juan Branco.
https://www.youtube.com/watch?v=UMaQhUSawv4
https://www.youtube.com/watch?v=IEABDnZfkcs
Oui, oui : Branco, l'homme dont l'effarante duplicité et les mensonges sont exposés en détail par Panamza -depuis plusieurs mois.
Et ce n'est pas tout : Le Point révèle cet après-midi que Branco a joué un rôle secret -en amont- dans l'hébergement en ligne des vidéos…
Panier de crabes sur lequel plane une odeur pestilentielle…
Découvrez, ci-dessous, le mail reçu par Panamza et le compte de son expéditeur renvoyant à un sympathisant d'extrême-droite de Son-Forget et d'Alexandre, le tandem responsable de la diffusion virale des vidéos pornos de Griveaux.
Tout d'abord, voici la capture d'écran du mail reçu hier, avant le déferlement médiatique déployé ce vendredi :
Son expéditeur me renvoyait à la copie d'archive de son billet publié (puis censuré) sur Mediapart -au nom de "Nicolas G".
Son auteur semble faire partie du premier cercle des comploteurs -au regard de sa conclusion :
"La jeune femme ayant fait fuiter ces vidéos souhaite rester anonyme, mais a fait savoir qu'elle était disposée à donner des preuves supplémentaires si Benjamin Griveaux venait à démentir les faits, ainsi qu'à, par exemple, faire constater les échanges par un huissier".
Un "Nicolas G" (même photo d'illustration) apparaît également comme le 3ème compte Twitter (@delagenicolas) à avoir relayé (hier, à 17h34 soit 16 minutes seulement après le premier compte cité plus haut) la page porno.
Particularité de compte qui confirme son lien avec l'expéditeur de l'article : il "suit" Panamza.
Le 27 janvier, Nicolas G, marqué très à droite (comme Son-Forget, admirateur de Marion Maréchal) au vu de son fil Twitter (et fin connaisseur revendiqué, comme Son-Forget, de la Suisse et d'Israël…), commentait notamment un tweet de…Son-Forget.
Le même jour, il retweettait un post…d'Alexandre.
Hier, au jour du lancement de l'opération, il faisait mine de réagir au tweet (vite supprimé) d'Alexandre avec, juste en-dessous, son propre tweet (lui aussi supprimé) sur l'affaire.
Enfin, sur son fil Twitter, Nicolas G relaie plusieurs tweets d'Érik Tegnér, soutien de Marion Maréchal…
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Allouche contre Abina : quand 2 guignols débattent de l'islam
RT France, chaîne sous contrôle israélien, a mis en scène un affrontement ridicule sur le thèmes de la liberté d'expression, les musulmans de France et les violences sexuelles. Voici l'horrible vidéo.
Le 01.02.2020 à 12h28
Depuis son lancement hexagonal, Panamza a démontré comment Russia Today France, chaîne d'information pseudo-subversive, était subtilement et progressivement noyautée par le lobby sioniste –au point d'être pilotée/surveillée depuis Israël.
Jeudi 30 janvier, sans surprise, ce média-trompeur a rebondi sur l'affaire Mila (elle-même instrumentalisée par des sionistes de tous bords via les réseaux sociaux) en conviant deux piètres débatteurs sur le sujet fourre-tout de la liberté d'expression, des musulmans de France, des textes coraniques et…des violences sexuelles dans les quartiers populaires.
Animé par Stéphanie Muru (issue, en toute logique, de l'Israélienne BFM TV), le duel était composé de l'excité Nader Allouche et du laborieux Gamal Abina.
Nader Allouche fait plus fort que Mila en direct sur @RTenfrancais : "L'islam est la religion d'un prophète pédophile" 😮 pic.twitter.com/DJUL83H2ay
— Kabylia ⵣ (@kabylia06) January 31, 2020
https://www.youtube.com/watch?v=Rj5P-x5a_-0
Les anciens lecteurs de Panamza se souviennent d'Abina.
Derrière son allure d'interlocuteur courtois, ce guignol issu du groupusculaire Parti des Indigènes de la République est une simple racaille : cet Algérien proche de la petite "beurgeoisie" militante francilienne avait proféré des violentes menaces physiques à mon encontre, suite à mon enquête sur la chanteuse Mennel.
RT France l'a promu, au cours de l'année écoulée, comme un prétendu spécialiste géopolitique : invité régulièrement, Abina, 51 ans au compteur mais le plus souvent approximatif et impulsif dans son expression orale à l'instar d'un lycéen présentant un exposé, n'hésite pas à montrer patte blanche au lobby judéosioniste au point d'évoquer curieusement, dans ce débat, sa connexion jusqu'ici tenue secrète "au Consistoire"…
Quant à Allouche, il s'agit d'un cas plus flagrant de pantin à la solde d'Israël : convié en décembre 2018 par le ministère israélien des Affaires étrangères à venir à Jérusalem et faire la promotion du régime colonial et suprémaciste de Tel Aviv, Allouche, bourgeois revendiqué et Français d'origine libano-algérienne qui affiche ouvertement sa connexion au Likoud, est désormais la nouvelle vedette (sorte d'hybride fabriqué en laboratoire de Fourest et Chalghoumi) des faiseurs d'opinion sionistes, de Marianne (Natacha Polony) au Huffington Post (Anne Sinclair) en passant par CNews (Serge Nedjar), Causeur (Elisabeth Lévy), Le Figaro (groupe Dassault) et -évidemment- i24 news (Patrick Drahi).
https://youtu.be/lJ3myCv_ejI
https://www.youtube.com/watch?v=LVos3Ry5kDs
https://www.youtube.com/watch?v=BhzNSxAIQGM
https://www.youtube.com/watch?v=mpRv73XTs84
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Matzneff, fauché selon Soral ? Le pédocriminel vit dans un 4*
Défendu par un célèbre avocat franc-maçon, le pédocriminel Gabriel Matzneff -soutenu par Soral- s'est réfugié dans un hôtel cossu d'Italie. La preuve par les sources.
Le 24.01.2010 à 15h46
Le lundi 20 janvier, Panamza avait exposé la défense passionnelle de Matzneff par Soral.
Chantre zélé du sioniste messianique Trump et de l'escroquerie Poutine, le pseudo-dissident -qui n'en finit pas de s'enfoncer– affirmait notamment (ici) que l'écrivain pédocriminel, présenté comme un "indigent", vivait dans une grande précarité économique.
Le jeudi 23 janvier, l'hebdomadaire Paris-Match révéla qu'il s'était exilé sur la Riviera italienne, dans un 4*, depuis début janvier.
Détail intéressant : le magazine indique au passage l'identité de son avocat (et ami intime) -Emmanuel Pierrat.
Les anciens lecteurs de Panamza s'en souviennent : c'est lui, fan du marquis de Sade et franc-maçon notoire, qui avait déposé plainte contre moi au nom de son client millionnaire et esclavagiste sexuel, aujourd'hui décédé, Pierre Bergé (la procédure judiciaire est toujours en cours).
Invité à une lecture –en 2018– par son admirateur BHL, Matzneff, réputé être proche de l'extrême droite fréquentée par Soral, avait tenté de se défendre récemment, face caméra, auprès du complaisant Youtubeur Simon Collin, un interviewer lié au député ultrasioniste Joachim Son-Forget, alias JSF (un camarade d’Alexandre Benalla et jeune homme obséquieux avec la mouvance pro-israélienne…au point d'applaudir -seul, à l'Assemblée nationale- son confrère Meyer Habib).
À noter : il faut saluer ici le psychothérapeute et lanceur d'alerte Pierre Lassus qui avait mis en garde, dès 2000, le monde de l'édition à propos de Matzneff.
https://www.youtube.com/watch?v=ejBIbwhb5DY
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Liée à Tsahal, une amie d'Epstein menace Panamza
Journaliste indépendant, je suis "mis en demeure" par l'avocat de Nicole Junkermann, une proche d'Ehoud Barak et Jeffrey Epstein, de supprimer un volet-clé de mon enquête sur l'affaire Epstein.
Le 13.01.2020 à 13h33
Vendredi 10 janvier, Thierry Lacoste, vedette du barreau, ami intime du prince Albert de Monaco et proche des services secrets français (selon Mediapart), m'a transmis une mise en demeure au nom de sa cliente : Nicole Junkermann.
Incroyable mais vrai : celle qui a toujours cultivé une discrétion extrême (notamment depuis la mention de son patronyme dans l'affaire Epstein) risque aujourd'hui l'effet Streisand.
En sortant du bois pour attaquer un papier -estimé "diffamatoire"– qui souligne factuellement ses liens occultes avec le pédocriminel américain du Mossad et l'appareil d'État israélien, Junkermann s'expose ainsi pour la première fois sur la scène publique -au péril de sa réputation.
Et quelle réputation : connectée par son époux à l'aristocratie italienne, Junkermann collabore aujourd'hui avec le gouvernement britannique tout en exercant parallèlement le poste de "directrice" (entourée d'anciens barbouzes du renseignement) dans une compagnie israélienne de haute technologie patronnée par Ehoud Barak, ancien Premier ministre et intime d'Epstein.
Je renvoie mes lecteurs à mes publications désormais litigieuses sur Junkermann -en attendant de nouvelles révélations à venir, notamment sur son ancrage en France :
* un article détaillé et sourcé en date du 13 septembre 2019
* un fil Twitter apportant, trois jours après, des compléments d'information
La femme d'affaires secrètement connectée au clan Epstein (depuis, au moins, 2002) a une raison singulière de m'en vouloir : tapez son patronyme "Nicole Junkermann" dans Google, la première page renvoie à mes recherches.
Le média indépendant Panamza passe ici un cap supérieur : après 7 convocations policières (dont l'une ouvertement commanditée par le gouvernement Valls) et une plainte déposée par l'ancien Premier ministre Bernard Cazeneuve -en seulement 6 ans, je dois désormais affronter –suite à mon travail d'enquête– une ex-associée d'Epstein étroitement liée à de sinistres cadors du renseignement israélien.
Je compte sur vous.
HICHAM HAMZA
Auteur, fondateur du site Panamza et journaliste d'investigation depuis 2008
Contact : [email protected]
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