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- "Suicide" en prison de Jean-Luc Brunel, complice d'Epstein et ancien agent d'Israël en France
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Le fondateur de Moderna est lié au clan Epstein
INFO PANAMZA. Engagé pour Israël, Robert Langer, actionnaire-milliardaire de Moderna, entretient des liens secrets avec le premier cercle de Jeffrey Epstein, pédocriminel au service du Mossad. La preuve par les sources.
Le 24.12.2021 à 19h02
Lundi 20 décembre, Panamza évoquait l'amitié troublante de Charles Lieber, chimiste lié à Tsahal et spécialisé en nanotechnologies (qui a reconnu avait été payé illégalement à Wuhan pour des travaux non détaillés) avec Robert Langer, co-fondateur (lié à Israël) de Moderna qui est devenu milliardaire à la faveur de l'actuelle crise sanitaire mondiale.
Aujourd'hui, jeudi 24 décembre, un nouvel élément d'information mérite d'être exposé : embauché en 2021 par une entreprise israélienne qui veut cartographier "le système immunitaire humain", Robert Langer (dont le prestigieux labo américain de recherche -piloté par son zélé disciple Joichi Ito– avait été financé par Bill Gates -via Jeffrey Epstein) coopère en parallèle avec un homme-clé d'Epstein.
Précisément, un homme de confiance : cet individu fut notamment chargé par le pédocriminel de gérer l'héritage d'Epstein.
En clair : partisan du stockage d'infos médicales via une puce implantée sous la peau, Langer (qui a co-supervisé la fabrication et la diffusion de l'un des principaux vaccins anti-Covid-19) est non seulement étroitement lié au secteur (évidemment contrôlé par Tel Aviv) de la biotechnologie israélienne mais il fait des affaires avec un homme considéré comme l'un des intimes d'Epstein, pédocriminel au service exclusif du renseignement israélien.
C'est là d'ailleurs l'un des mystères les plus épais à propos d'Epstein : sa passion et son engagement -notamment dans ses dernières années- auprès de divers scientifiques sur des colossaux et coûteux projets teintés d'opacité…
Posez-vous enfin la question (abstenez-vous et rallumez BFM TV si vous êtes un théoricien de la coïncidence) : quelle était la probabilité pour qu'un agent secret d'Israël (Epstein), le chimiste fondateur de Moderna (Langer) et le nano-chimiste secrètement affairé à Wuhan (Lieber) puissent être en relation ?
Sans plus attendre, Panamza vous propose de découvrir, sources à l'appui, l'identité du partenaire de Langer qui provient directement du premier cercle d'Epstein.
Il s'agit de Boris Nikolic, exécuteur testamentaire d'Epstein.
Langer et Nikolic co-pilotent (avec une assistante désinformatrice de Gates) Particles of Humanity (un pdf de janvier 2019 -avant la mort d'Epstein- atteste de leur collaboration tandis que la version actuelle du site a gommé le nom de Nikolic).
- Epstein, Maxwell, Brunel : le trio pédo épargné par la presse française
- Encore un sioniste démasqué dans l’affaire Epstein
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Encore un sioniste démasqué dans l'affaire Epstein
INFO PANAMZA. L'affaire impliquant Jeffrey Epstein et mêlant espionnage de personnalités politiques et moeurs pédocriminelles est d'abord et avant tout une opération israélienne. Preuve en est avec le profil du dernier avocat venu à la rescousse de sa complice Ghislaine Maxwell. Révélations.
Le 25.11.2021 à 17h07
Son procès débutera lundi 29 novembre.
Nul besoin de revenir ici sur le cas Ghislaine Maxwell (systématiquement édulcoré par les journalopes, y compris Karl Zéro) : les abonnés de Panamza savent déjà à quel point son parcours et ses connexions sont liées à Israël.
Abordons aujourd'hui le profil détonnant de son dernier avocat embauché par la famille Maxwell : ancien du Crif, sioniste radical, proche de tous les dirigeants israéliens qui se sont succédé (dont Ehud Barak, camarade d'Epstein), patron d'une association de victimes du terrorisme, ami intime de BHL.
Mieux encore : cet individu est un ami de 40 ans du tandem Ariel Goldman (lié au Mossad)/Bernard Cazeneuve qui a eu vent des attentats du 13-Novembre AVANT leur déclenchement…
Panamza vous propose de découvrir ci-dessous l'identité du personnage ainsi que les sources relatives à ses multiples connexions sionistes.
Il s'agit de François Zimeray, impliqué dans la défense de Ghislaine Maxwell, vieil ami du duo Cazeneuve/Goldman, ancien vice-président du bureau politique du Crif, intime de BHL.
- Bill Gates : dans l'ombre d'Epstein
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- Une juge "talmudiste" proche du clan Epstein retient Maxwell en prison
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Une juge "talmudiste" proche du clan Epstein retient Maxwell en prison
INFO PANAMZA. La juge fédérale qui a décidé aujourd'hui de refuser la demande de libération sous caution de Ghislaine Maxwell est liée aux amis intimes du pédocriminel et agent d'Israël Jeffrey Epstein. Révélations.
Le 14.07.2020 à 21h31
L'info vient de tomber, ce mardi soir à 21h16, heure française.
Ghislaine Maxwell, accusée d'actes pédocriminels et liée au régime israélien, restera en prison jusqu'à son procès.
Bonne nouvelle ?
Ou s'agit-il là d'une subtile manoeuvre pour faciliter le prétendu "suicide" d'un personnage-clé de l'affaire Epstein?
https://www.youtube.com/watch?v=yZlF9VNEQmc&feature=emb_title
Panamza a vérifié le passé de la juge fédérale à l'origine du verdict.
Surprise, surprise : elle a participé à une étrange cérémonie juive en compagnie de deux intimes d'Epstein.
La preuve en vidéo et par les sources, ci-dessous :
https://www.youtube.com/watch?v=byDFsQ0XST4
Il s'agit d'Alison Nathan (férue de "talmudisme" en ce 16 novembre 2014) avec les "lumineux" Alan Dershowitz (ami-clé d'Epstein) et Spitzer (ancien gouverneur et bénéficiaire de donations d'Epstein) pour le procès d'Abraham.
- Goldman, la mytho grillée de l'affaire Epstein
- Epstein, Paris et le Mossad : le silence éloquent de Mediapart et du Canard enchaîné
- Maxwell, une «victime» d’Epstein selon une criminelle réfugiée en Israël
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Maxwell, une "victime" d'Epstein selon une criminelle réfugiée en Israël
INFO PANAMZA. Amie de la Franco-Britannique et agent du Mossad Ghislaine Maxwell, l'ex-journaliste américaine Laura Goldman s'était cachée en Israël après avoir menacé son amant de l'empoisonner à l'anthrax. La preuve par les sources.
Le 08.07.2020 à 19h01
Un scénariste d'Hollywood n'aurait pas osé imaginer un tel synopsis : la personnalité venue à la rescousse de Ghislaine Maxwell, complice-clé de Jeffrey Epstein, n'est autre que Laura Goldman, une ancienne journaliste accréditée (en 2017, sous Trump) à la Maison Blanche après avoir fui en Israël (durant neuf ans), suite à ses menaces de mort envers son richissime amant et sa famille.
Lundi 6 juillet, la chaîne britannique ITV a obtenu l'interview exclusive de Laura Goldman, "amie" de Maxwell.
https://youtu.be/xMVHRP4Ihk8
En substance : digne d'une désinformatrice missionnée par le Mossad, Goldman (aujourd'hui "courtière en bourse") présente inlassablement son amie Maxwell (qui commencera à être entendue par la justice le 14 juillet) comme une victime d'Epstein (une thèse raillée par l'interviewer Piers Morgan).
Panamza a déniché des éléments édifiants faisant état de son exil en Israël (via la France) après avoir menacé son ex-amant d'empoisonnement à l'anthrax (dans les semaines qui ont suivi le 11-Septembre).
Découvrez ci-dessous les articles de la presse américaine et israélienne, ainsi que la fiche du FBI, au sujet de Laura Goldman.
FBI (+MENTION DE L'ANTHRAX)
- Mort de la "princesse" française du clan Epstein
- Un obscur Israélien tente de piéger les victimes françaises d’Epstein
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Un obscur Israélien tente de piéger les victimes françaises d'Epstein
INFO PANAMZA. Un Israélien -qui se présente comme un "féministe"- collecte actuellement les identités des plaignantes françaises des réseaux Epstein et essaye de remettre en cause leurs accusations. Révélations.
Le 02.07.2020 à 15h16
Souvenez-vous.
En septembre 2019, Panamza soulignait cette étrange anomalie : les avocats chargés de défendre les victimes américaines d'Epstein, un agent du renseignement israélien, sont liés à BlackCube, une officine (basée à New York, Londres et…Paris) de barbouzes issus du Mossad.
Même chose pour Yaël Mellul, ex-avocate reconvertie dans le féminisme associatif : elle qui lança un appel aux victimes françaises d'Epstein est elle-même une figure sioniste radicale.
https://youtu.be/yZlF9VNEQmc
Aujourd'hui, un nouveau personnage de la galaxie sioniste apparaît dans l'affaire Epstein (une affaire toujours occultée/édulcorée en France -comme l'illustre l'omerta médiatique sur les dernières et graves accusations contre l'ex-Premier ministre israélien Ehud Barak).
À l'instar de Mellul, cet individu (à gauche de l'image ci-dessus, avec le grand rabbin de Russie) tente, lui aussi, d'approcher actuellement les victimes du clan Epstein, notamment celles ayant été abusées par le Français Jean-Luc Brunel (un proche du lobby juif hexagonal).
Panamza a retracé son parcours (particulièrement opaque) de prétendu "entrepreneur à succès" qui se serait engagé "dans le féminisme" après avoir brièvement travaillé pour un certain Yves Saint-Laurent (ex-compagnon de l'esclavagiste sexuel Pierre Bergé et protecteur du pédocriminel Gabriel Matzneff) .
Des accusations de fraude à son encontre ont été dénichées -datant de 2016.
Cerise sur le gâteau : l'une des ses promotrices en France n'est autre que Sandra Muller, initiatrice du fameux hashtag "balancetonporc", condamnée pour diffamation envers son ex-employeur et amie intime du Franco-Israélien Jean-Claude Elfassi.
Ce pseudo-féministe israélien porté à la rescousse des victimes français du clan Epstein sert-il également, comme le pédocriminel américain retrouvé "suicidé", le Mossad ?
https://www.youtube.com/watch?v=TO_z7Fu_6D0
Il s'agit de Matan Uziel, jeune vedette-éclair du business israélien (dès l'âge de 26 ans), accusé de non-paiements à ses salariés, financièrement impliqué dans l'attaque contre Polanski, et aujourd'hui lancé dans la collecte de témoignages français contre Epstein (avec le soutien de Muller).
- Epstein/Maxwell : l'omerta française
- Un ami d’Epstein retrouvé «suicidé»
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Un ami d'Epstein retrouvé "suicidé"
INFO PANAMZA. L'annonce d'un prétendu "suicide" pour dépression du producteur hollywoodien Steve Bing, intime de Jeffrey Epstein, provient d'un média sous contrôle israélien. La preuve par les sources.
Le 23.06.2020 à 12h49
Août 2019 : Jeffrey Epstein, pédocriminel et agent du renseignement israélien, est retrouvé mort dans sa cellule de prison.
Janvier 2020 : le fils de son camarade Ronald Burkle (propriétaire d'un jet surnommé "Air Fuck One") est retrouvé mort, à 27 ans, sans explication avancée.
Juin 2020 : un ami intime du tandem Epstein/Burkle, dénommé Steve Bing (et membre, comme le duo, du clan Clinton), est retrouvé mort (hier, vers 13h) après une chute du 27ème étage d'un immeuble californien.
Pour savoir qui était réellement Bing, oubliez son image de "philanthrope juif" ou les articles d'une presse française paresseusement calquée sur l'AFP et reportez-vous à ce papier paru dans le Daily Mail en 2001.
Bing y est davantage présenté comme un richissime héritier-fils-à-papa (plutôt qu'un artiste ou un producteur de talent) qui était alors considéré comme un "prédateur sexuel" dans son entourage mondain.
Pour découvrir un aperçu de son oeuvre cinématographique, observez la bande-annonce de son film produit en 2005, sobrement intitulé "À la recherche d'une comédie dans le monde musulman" et digne de la propagande israélienne (nulle surprise que Bing fréquentait les réseaux sionistes de Los Angeles ou l'agent secret Arnon Milchan).
https://www.youtube.com/watch?v=x5Jq1BxHkPs
Et ce n'est pas tout : selon le tabloïd à l'origine du scoop de l'annonce de sa mort, il se serait "suicidé" car ce multimillionnaire ultra-réseauté aurait, accrochez-vous, souffert du "manque de contact humain durant la quarantaine".
Détail intéressant : ce média est sous contrôle direct d'Israël. Plus précisément : il est physiquement protégé par des "agents israéliens".
Ci-dessous, découvrez cet article faisant état de la mort de Bing et les sources attestant de la connexion de ce média à Tel Aviv.
Voici le papier et sa première exposition détaillée par Panamza.
- Affaire Epstein : Israël et la France protègent la pédocriminelle Maxwell
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Affaire Epstein : Israël et la France protègent la pédocriminelle Maxwell
Complice principale de Jeffrey Epstein, la fugitive Ghislaine Maxwell se cache à Paris, avenue Matignon, et fréquente l'ambassade israélienne selon la presse britannique. La preuve par la source.
Le 22.06.2020 à 16h44
Le scoop a été dévoilé en ligne samedi soir : près de 48 heures après, AUCUN média français traditionnel ne l'a pour l'instant rapporté.
The Sun, quotidien populaire britannique, a révélé la dernière localisation (après Israël) de Ghislaine Maxwell, la complice emblématique du pédophile et agent du Mossad/Aman Jeffrey Epstein : Paris, à deux pas de Matignon.
Mieux encore : selon The Sun, elle a été aperçue quittant l'ambassade d'Israël. Le journal a même souligné ce détail-clé dans son infographie.
Rappel : depuis le déclenchement -l'été dernier- de l'affaire Epstein (arrêté de retour de Paris), Panamza (visé judiciairement par une amie d'Epstein) est le seul média francophone à exposer en détail -sources à l'appui- le réseau israélien du clan Maxwell/Epstein.
À l'image du documentaire consacré au pédocriminel américain et diffusé actuellement sur Netflix, la presse française (comme l'illustre parfaitement le Média du faux subversif Denis Robert) évite soigneusement d'exposer les ramifications israéliennes.
https://youtu.be/yZlF9VNEQmc
- Affaire Epstein : Youtube censure Panamza
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Affaire Epstein : Youtube censure Panamza
Un membre du clan Epstein a saisi Youtube pour "diffamation" : re-découvrez ici la vidéo de Panamza.
Le 19.04.2020 à 16h33
Vendredi 17 avril, j'ai été informé par Youtube de la suppression ("pour la France") de ma vidéo "L'affaire Epstein est politique" (mise en ligne le 7 septembre).
Le motif invoqué par un plaignant-mystère : une prétendue "diffamation".
De qui s'agit-il ?
Parmi les patronymes exposés dans ma vidéo, l'un se distingue : celui de Nicole Junkermann, une discrète collaboratrice de l'ancien Premier ministre israélien Ehoud Barak (basée entre Londres, Paris, Monaco et Rome) qui me menace déjà de poursuites en justice (d'autres enquêteurs à travers le monde ont été également menacés ou poursuivis).
Un autre titulaire (américain) d'un compte Youtube a d'ailleurs récemment signalé –via Twitter– avoir été, lui aussi, sanctionné pour une vidéo sur le clan Epstein/Junkermann et pour le même motif : "diffamation".
Dommage pour la Mata-Hari high-tech de Sion et son réseau international (dont fait partie le pseudo-philanthrope désintéressé Bill Gates) qui ont tout intérêt à étouffer mon travail incisif et exhaustif sur l'affaire : d'autres copies de ma vidéo sont visiblement passées sous le radar et continuent (pour l'instant…) de circuler.
À voir, revoir, télécharger, partager autour de vous !
https://www.youtube.com/watch?v=yZlF9VNEQmc
https://www.youtube.com/watch?v=zAWSjXIOJRY
HICHAM HAMZA
Auteur, fondateur du site Panamza et journaliste d'investigation depuis 2008
Contact : [email protected]
Pour contribuer aux frais d'avocat, cliquez ICI
- La méthode Epstein : Soral avait essayé de piéger/filmer Ramadan
- Epstein à Paris : l'éloquente omerta de la presse française
- Epstein fut secrètement protégé par un «sioniste» du clan Bush
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Epstein fut secrètement protégé par un "sioniste" du clan Bush
INFO PANAMZA. Découvrez l'identité de l'homme au service d'Israël qui avait validé un accord secret avec Jeffrey Epstein, pédocriminel et agent du renseignement israélien.
Le 21.01.2010 à 12h55
Contrairement aux pseudo-dissidents francophones qui encensent Donald Trump (les adeptes de Soral et Cossette), les lecteurs de Panamza ne seront pas surpris d'apprendre que les deux avocats choisis par le président américain dans son procès en destitution sont non seulement liés à Israël mais également anciens défenseurs d'Epstein.
Il s'agit de Kenneth Starr (issu du courant chrétien sioniste, procureur de l'affaire "Monica Lewinsky" qui fut –via le Mossad- instrumentalisée par Netanyahou) et Alan Dershowitz (propagandiste de longue date de la cause sioniste).
Notons au passage que Dershowitz fut aussi proche de Meir Dagan, l'ex-patron du Mossad (dont l'association United Hatzalah avait diffusé la première photo-choc et bidon du carnage du Bataclan…).
Cette signature sioniste est ominiprésente dans l'affaire Epstein, n'en déplaise au chroniqueur Alexis Poulin (nouveau bateleur–enfumeur du Média de Denis Robert) qui, le samedi 18 janvier, a résumé sournoisement cette connexion israélienne à une simple "thèse" propagée par "l'escroc mythomane" israélien (Ari Ben Menashe).
https://youtu.be/CpPAIzP7Bgg
Nouvelle illustration de la main-mise israélienne avec le flashback ci-dessous.
En 2008, les avocats d'Epstein négocient secrètement un accord avec le procureur fédéral de Floride Alex Acosta, futur ministre du Travail de Trump qui révéla, l'été dernier, avoir été incité dans un sens favorable au pédocriminel en raison de son appartenance au "renseignement" (curieusement, ce dernier élement d'info -pourtant fondamental- est quasiment passé sous silence par la presse française).
https://www.youtube.com/watch?v=OUylMcXT2pIDeux mois juste avant l'audience-clé du tribunal, devinez où se rend Epstein ?
En Israël.
Pour y rencontrer officiellement "des scientifiques et des militaires"…
https://www.youtube.com/watch?v=zH-2oBpwa84À noter : lors de son audience du plaider-coupable, Epstein utilisait les services en relations publiques d'un communicant ô combien spécifique – Howard Rubenstein, porte-parole du judéosioniste ultra Larry Silverstein et figure new-yorkaise étroitement liée à l'appareil d'État israélien.
Mieux encore : le 26 juillet, le prestigieux média juif-américain The Forward (qu'il sera difficile d'accuser de "complotisme antisémite") avait révélé une info éclairante mais incomplète sur le réseau d'individus qui avait permis à Epstein d'échapper à de longues années de prison.
Selon le journaliste Ari Feldman, Epstein avait effectué une donation d'un demi-million de dollars en février 2008 à une célèbre école juive orthodoxe de New York dans laquelle son avocat Jay Lefkowitz avait inscrit ses enfants.
Détail absent du papier : l'individu qui avait supervisé l'accord secret entre la justice américaine et l'équipe juridique d'Epstein est, lui aussi, intimement connecté à cette école réputée pour sa coopération intense avec Israël.
Ce personnage, juif orthodoxe et sioniste notoire depuis les années 90, était membre de l'Administration Bush.
Détail croustillant : outre ses liens avec les intégristes Loubavitch et le personnel politique israélien, ce juriste (qui, plus troublant, avait joué un rôle spécial dans l'obstruction des enquêtes policières relatives au 11-Septembre…) est également en relation, via son ami Rudy Giuliani (ex-maire de New York) et le sénateur cajolé par Israël Alfonse D'Amato, avec la mafia italienne.
Son visage apparaissait à la fin de la vidéo promotionnelle alternative (sous-titres disponibles) de mon ouvrage de 2013 sur l'implication d'Israël dans le 11-Septembre.
https://www.youtube.com/watch?v=NwsqckhZSzEEt cerise sur le gâteau : son fils est l'un des avocats emblématiques d'un certain…Donald Trump.
Son nom ?
Il s'agit de Michael Mukasey, ministre de la Justice au moment du deal, ancien juge connu pour son sionisme zélé, chouchou de la communauté juive new-yorkaise, compagnon de route de Giuliani, père adoptif de Marc Mukasey et ancien élève de l'école financée par Epstein.
- Epstein selon Soral ou l'art du plagiat
- Epstein, agent du Mossad à Paris : une affaire étouffée
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Epstein, agent du Mossad à Paris : une affaire étouffée
100 jours d'omerta : effectuée le 24 septembre, la perquisition de la vaste demeure parisienne de l'espion-pédocriminel n'a fait l'objet d'AUCUN reportage dans la presse française. À l'inverse, les médias américains avaient divulgué -deux jours après- le résultat des perquisitions de son domicile new-yorkais.
Le 16.01.2020 à 17h10
S'il fallait une seule illustration de l'imposture fondamentale des médias hexagonaux (qui prétendent vous rapporter les faits d'intérêt public et incarner une "presse libre"), la voici : plus de 100 jours après la spectaculaire perquistion de la vaste demeure parisienne de Jeffrey Epstein (co-acquise, comme l'avait révélé Panamza, avec le mystérieux Darren Indyke), AUCUN organe hexagonal de la presse écrite et audiovisuelle n'a relaté ce qui a été découvert.
Rendez-vous compte : plus de 38 000 journalistes en France, une variété subventionnée de médias nationaux de tous bords politiques, des journaux et des sites se vantant de faire du journalisme d'enquête sans tabou et pourtant, un constat effarant s'impose.
Pas le moindre article/reportage sur ce que les policiers ont découvert au 22, avenue Foch.
Nulle surprise, en réalité, au regard du coeur nucléaire de l'affaire Epstein : l'instrumentalisation de la pédocriminalité des puissants par les services secrets israéliens.
https://www.youtube.com/watch?v=CpPAIzP7Bgg
S'il fallait une seule démonstration du contrôle sioniste de la direction des médias français, la voilà.
On ne touche pas à l'affaire Epstein : faisons mine de l'aborder succintement pour rassurer l'opinion publique, exposons un bouc émissaire (Jean-Luc Brunel) mais ne la creusons surtout pas car elle embarrasserait considérablement, in fine, nos amis/mentors du lobby sioniste.
Cette stratégie délibérée est la seule explication du silence assourdissant du seul pays, avec les Etats-Unis, dans lequel Epstein s'était partiellement et longuement installé (2002 à 2019).
Elle éclaire également l'omerta médiatique en France sur la révélation recoupée de 3 journalistes étrangers (US, Australie, Israël) qui ont chacun rapporté des témoignages faisant état de la fonction secrète d'Epstein depuis les années 80 : compromettre des personnalités filmées à travers leurs penchants sexuels et transmettre les vidéos récoltées au renseignement israélien (mais également russe) afin d'obtenir -par le chantage– leur totale soumission.
Est-ce cette méthode qui explique le zèle judéosioniste parfois démesuré de certains dirigeants et leaders d'opinion français depuis -au moins- une vingtaine d'années ?
Voire les failles et omissions dans les enquêtes judiciaires et/ou médiatiques sur l'étrange séquence terroriste survenue de 2012 à 2016, depuis l'affaire Merah au carnage de Nice en passant par la mystification Charlie/Hyper Cacher et l'opération Bataclan ?
Toujours est-il que l'ensemble de la presse américaine, pourtant engagée en faveur d'Israël de manière souvent caricaturale, n'a pas hésité à rapporter –grâce à la collaboration du juge local– les premières pièces troublantes du puzzle Epstein : la découverte (lors de la la perquisition new-yorkaise du 6 juillet) d'un système sophistiqué de vidéosurveillance et de CD-ROMS contenant des images de jeunes femmes nues avec des hommes. Même trouvaille sur son île de St James et dans sa demeure de Floride.
En France : rien n'a fuité.
Nous ne savons toujours pas ce qui a été retrouvé dans les 5 appartements et 2 caves de l'avenue Foch, situés à deux pas seulement ("un pur hasard", diront les théoriciens-neuneus de la coïncidence) de la résidence privée de l'ambassadeur d'Israël en France.
Le citoyen français est pourtant en droit d'exiger de ses représentants politiques (dont certains fréquentèrent le pédocriminel) -comme de la presse qu'il subventionne- toute la vérité sur l'affaire Epstein et son volet hexagonal.
Ne comptez pas sur les médias mainstream.
Ni sur les associations de protection de l'enfance subtilement inflitrées ni sur la pseudo-dissidence soumise à l'axe Trump-Poutine.
Comptez sur le seul média d'enquête hexagonal menacé –judiciairement– par une proche d'Epstein : comptez sur Panamza.
- Liée à Tsahal, une amie d’Epstein menace Panamza
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Liée à Tsahal, une amie d'Epstein menace Panamza
Journaliste indépendant, je suis "mis en demeure" par l'avocat de Nicole Junkermann, une proche d'Ehoud Barak et Jeffrey Epstein, de supprimer un volet-clé de mon enquête sur l'affaire Epstein.
Le 13.01.2020 à 13h33
Vendredi 10 janvier, Thierry Lacoste, vedette du barreau, ami intime du prince Albert de Monaco et proche des services secrets français (selon Mediapart), m'a transmis une mise en demeure au nom de sa cliente : Nicole Junkermann.
Incroyable mais vrai : celle qui a toujours cultivé une discrétion extrême (notamment depuis la mention de son patronyme dans l'affaire Epstein) risque aujourd'hui l'effet Streisand.
https://www.youtube.com/watch?v=CpPAIzP7Bgg
En sortant du bois pour attaquer un papier -estimé "diffamatoire"– qui souligne factuellement ses liens occultes avec le pédocriminel américain du Mossad et l'appareil d'État israélien, Junkermann s'expose ainsi pour la première fois sur la scène publique -au péril de sa réputation.
Et quelle réputation : connectée par son époux à l'aristocratie italienne, Junkermann collabore aujourd'hui avec le gouvernement britannique tout en exercant parallèlement le poste de "directrice" (entourée d'anciens barbouzes du renseignement) dans une compagnie israélienne de haute technologie patronnée par Ehoud Barak, ancien Premier ministre et intime d'Epstein.
Je renvoie mes lecteurs à mes publications désormais litigieuses sur Junkermann -en attendant de nouvelles révélations à venir, notamment sur son ancrage en France :
* un article détaillé et sourcé en date du 13 septembre 2019
* un fil Twitter apportant, trois jours après, des compléments d'information
La femme d'affaires secrètement connectée au clan Epstein (depuis, au moins, 2002) a une raison singulière de m'en vouloir : tapez son patronyme "Nicole Junkermann" dans Google, la première page renvoie à mes recherches.
Le média indépendant Panamza passe ici un cap supérieur : après 7 convocations policières (dont l'une ouvertement commanditée par le gouvernement Valls) et une plainte déposée par l'ancien Premier ministre Bernard Cazeneuve -en seulement 6 ans, je dois désormais affronter –suite à mon travail d'enquête– une ex-associée d'Epstein étroitement liée à de sinistres cadors du renseignement israélien.
Je compte sur vous.
HICHAM HAMZA
Auteur, fondateur du site Panamza et journaliste d'investigation depuis 2008
Contact : [email protected]
Pour contribuer aux frais d'avocat, cliquez ICI
https://www.youtube.com/watch?v=78oLHrBlDjU&feature=emb_title
- Révélations sur l'affaire Epstein : Israël menace Panamza
- Confession-choc d’un ami d’Epstein : «Il espionnait pour les Israéliens»
-
Confession-choc d'un ami d'Epstein : "Il espionnait pour les Israéliens"
INFO PANAMZA. Un ancien partenaire de Jeffrey Epstein est sorti du silence en confirmant son appartenance aux services secrets israéliens. La preuve en audio.
Le 24.12.2019 à 7h33
Panamza avait brièvement évoqué en vidéo -dès septembre- son nom puis, à l'écrit, son rôle intime auprès d'Epstein.
https://youtu.be/CpPAIzP7Bgg
Trois mois plus tard, cet Américain -qui fut l'associé financier et le confident d'Epstein- a révélé que le pédocriminel était lié –dès les années 80– à l'espionnage israélien et notamment à son futur complice Ehud Barak, alors patron du renseignement militaire (et bientôt co-architecte de l'opération du 11-Septembre).
Mieux encore : ex-mécène du candidat Trump et ancien patron de presse, l'homme âgé aujourd'hui de 74 ans déclare qu'Epstein avait tenté de le "recruter".
Passées -évidemment- sous silence en France, ces déclarations ont été formulées auprès de deux journalistes (un animateur radio américain du Nevada, un documentariste australien basé à New-York) en deux temps : les 13 et 23 décembre.
Panamza vous propose d'apprécier par vous-même, ci-dessous, l'entretien radiophonique (50 minutes) et l'interview écrite.
Pour conclure l'article, en bonus : le renvoi au billet antérieur de Panamza faisant état, sources à l'appui, de l'ancienne connexion de ce financier américain bien informé et soutien de la première heure de Donald Trump avec…la mafia israélienne.
Voici l'entretien audio mené auprès de Steven Hoffenberg par Ed Opperman (passage-clé à 20' puis 38') :
https://youtu.be/mZKjx293WxU
Et voilà ses confessions (obtenues parallèlement –dès le 10 décembre– par la journaliste indépendante Kirby Sommers) qui furent publiées hier par le journaliste Dylan Howard.
Le 14 septembre, Panamza avait évoqué son environnement professionnel avec Epstein, tous deux entourés de "gars avec des kippas"…
- Un ex-espion israélien balance Epstein : la presse vous cache l’info
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Un ex-espion israélien balance Epstein : la presse vous cache l'info
Omerta. Trois journalistes (israélien, américain, australien) ont confirmé l'appartenance de Jeffrey Epstein, pédocriminel basé à Paris, aux services secrets israéliens : silence des médias hexagonaux.
Le 22.12.2019 à 22h19
D'un côté, BFM TV, France 2, Mediapart et consorts qui continuent de traiter l'affaire Epstein sous l'angle uniquement sociétal ("un riche abusant de jeunes filles mineures pour son plaisir et celui de ses amis").
De l'autre, des médias pseudo-dissidents qui abordent le sujet avec un biais politique grossier et une enquête au ras des pâquerettes.
Prenez E&R et Faits&Documents, organes de "réinformation" du plagiaire raciste Alain Soral : depuis vendredi, ils vous font croire que Madison Cox, co-actionnaire du Monde et mari du défunt esclavagiste sexuel Pierre Bergé, serait impliqué dans le scandale…sous prétexte de la mention de sa compagnie dans le calepin d'Epstein….
Non seulement la bande à Soral "oublie" de vous préciser que leur idole Donald Trump y figure également mais -surtout- cette fine équipe n'a visiblement pas fait d'enquête sérieuse : comme l'avait souligné Panamza (dès le 1er août), l'ex-majordome d'Epstein avait entouré des noms spécifiques du calepin à propos desquels il avait indiqué au FBI que ces individus étaient -selon lui- complices des crimes sexuels d'Epstein.
Ce n'est pas le cas de Cox : le nom de sa boîte de décoration n'est pas entouré.
Bref : d'un côté, l'édulcoration de la presse mainstream ; de l'autre, l'incompétence des dissidents en carton (RevoRebellion/F-Society inclus).
Même problème (évoqué dès le 14 août) avec la connexion israélienne d'Esptein : les "grands médias" français comme américains (exemple : ABC News) évitent soigneusement d'aller sur ce terrain politiquement sensible tandis que la bande à Soral (digne du guignol-bateleur sous contrôle sioniste Alex Jones) se contente de faire du sensationnalisme superficiel avec un long café du commerce sur le sujet (via Youtube) sans la moindre démonstration sourcée et rigoureuse.
https://www.youtube.com/watch?v=r0y1SjbVkkU
À ce jour, dimanche 22 décembre, quatre mois après l'annonce du décès d'Epstein, trois journalistes ont réussi à obtenir entretemps le témoignage édifiant d'Ari Ben-Menashe, ancien cadre sulfureux du renseignement militaire israélien (Aman) qui leur a confirmé -depuis Montréal, sa ville de résidence- l'emploi d'Epstein par Israël.
Panamza avait évoqué les deux premiers journalistes :
* l'Israélien Zev Shalev (à deux reprises)
Vendredi 20 décembre, ce fut au tour de la brillante journaliste américaine basée au Chili Whitney Webb (probablement la meilleure spécialiste anglophone sur la connexion israélienne d'Epstein) de publier des extraits de son entretien avec l'ex-espion israélien.
Pensez-vous qu'un média français a envoyé au Canada un membre de sa rédaction pour confirmer ou infirmer ces révélations formulées depuis l'été ?
Absolument pas.
Sur le rôle exact d'Epstein en France et ses liens avec l'élite parisienne, oubliez la presse subventionnée, la plupart des médias privés dits indépendants et les sites pseudo-dissidents : comptez sur Panamza.
https://youtu.be/CpPAIzP7Bgg
- Epstein avait "tenté de se suicider"? La vidéosurveillance a officiellement "disparu"
- Panamza avait raison : le Mossad employait Epstein
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Panamza avait raison : le Mossad employait Epstein
INFO PANAMZA. Un journaliste australien confirme la thèse développée par plusieurs médias alternatifs -dont Panamza : le pédocriminel Jeffrey Epstein travaillait bien pour les services secrets israéliens. La preuve par les sources.
Le 07.12.2019 à 20h06
Le 30 juillet, alors que le pédocriminel Jeffrey Epstein était encore vivant et incarcéré, Panamza fut le premier média francophone à rapporter le scoop d'un journaliste israélien -corroborant mes enquêtes sur le volet français de l'affaire- selon lequel Epstein travaillait bien (comme je l'avais supposé sur la base de nombreux indices factuels) pour le Mossad.
Le 24 septembre, Panamza révélait -document sonore à l'appui- qu'un ex-agent du renseignement israélien avait confirmé son appartenance -depuis les années 80- au Mossad et son rôle précis : faire chanter des personnalités sexuellement piégées.
Le 1er novembre, Panamza exposait le témoignage audio troublant d'une ancienne employée de sa résidence du Nouveau-Mexique selon laquelle Epstein redoutait d'être assassiné…par le Mossad.
Le 19 novembre, Panamza soulignait la volonté désormais affichée du FBI d'explorer la "piste criminelle" dans la mort du "suicidé" Epstein.
Le 26 novembre, Panamza divulgait la connexion inattendue entre le pédophile du Crif (arrêté en 2010) et le clan Epstein.
Une semaine après, à la date du mardi 3 décembre, un livre-choc était publié par la maison d'édition new-yorkaise Skyhorse Publishing.
La presse britannique en parle.
Et la France?
La presse-traditionnelle-sous-contrôle-sioniste passe, sans surprise, la parution de l'ouvrage sous silence.
https://youtu.be/CpPAIzP7Bgg
Pour cause : embarrassant pour les chantres hexagonaux d'Israël, le livre contient une interview détaillée et exclusive avec un ancien haut-gradé du renseignement militaire israélien qui confirme l'appartenance du pédocriminel multirécidiviste Epstein aux services secrets israéliens.
Cette info est d'ailleurs recoupée dans l'ouvrage avec le témoignage en appui de Matt Dillon, célèbre journaliste-enquêteur irlandais qui fut à l'origine de révélations antérieures sur la connexion au Mossad du magnat de la presse Robert Maxwell.
Intitulé "Epstein: Dead Men Tell No Tales", le livre –fourni en scoops– apporte deux nouvelles révélations :
*fille de Robert Mawxell et complice intime de Jeffrey Epstein, Ghislaine Maxwell (dont une photo "amateur" récente était en réalité mise en scène et truquée) fait aussi partie du Mossad.
*Epstein travaillait également pour les services russes qui utilisèrent ses vidéos de personnalités américaines (voire françaises?) sexuellement piégées et filmées à leur insu.
Il sera difficile aux habituels chiens de garde du lobby sioniste français et leurs idiots utiles des réseaux sociaux de crier au complotisme ou à l'antisémitisme contre les auteurs du livre (288 pages).
Son principal rédacteur est le sulfureux-mais-reconnu journaliste Dylan Howard, documentariste de télévision australien à succès qui avait été secrètement approché par Harvey Weinstein et l'agence de barbouzes israéliens Black Cube (qui dispose -comme Epstein- d'une base à Paris…) pour enquêter à charge sur une détractrice du producteur sioniste accusé de multiples crimes sexuels.
Ne soyez nullement surpris que ces informations ne soient pas relayées pas les innombrables et diverses journalopes de France, pays dans lequel…
– d'un côté du spectre politique : le révolutionnaire d'opérette Juan Branco appelle à occuper l'appartement parisien d'Epstein (sans jamais évoquer son lien avec Israël).
– de l'autre côté : le guignol/mythomane au service de l'axe Trump/Poutine Alain Soral et ses groupies se réjouissent du succès d'audience (sur Youtube) de son émission spéciale Epstein qui (contrairement à ce débat américain de très haute volée) ne contenait aucune révélation sourcée sur l'affaire et s'apparentait davantage à un café du commerce (grande-gueule sur la forme mais plagiaire et inoffensif pour les réseaux pédocriminels) sur ces-méchantes-zzzélites-pédophiles-qui-nous-gouvernent.
Bref : Panamza continuera de faire le job sur l'affaire Epstein.
Pour re-découvrir l'ensemble des 5 mois d'enquêtes -notamment sur le volet français, cliquez ICI.
- Le pédophile du Crif était lié au clan Epstein