Results for: “Attentat du 13 novembre ”
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- Attentats du 13-Novembre : la contre-enquête
- Attentats du 13-Novembre : le pseudo-témoin "miraculé" devient ambassadeur
- 13 novembre : des attentats simulés depuis la veille
- Attentats du 13 novembre : Bernard Cazeneuve modifie la version officielle pour la rendre plus crédible
- Le rapporteur de l'enquête parlementaire sur les attentats du 13 novembre est lié à l'ultra-sioniste Julien Dray
- Attentats du 13 novembre : le président de la commission d'enquête parlementaire fait partie du clan Netanyahou
- Vidéo de Daesh : aucune référence verbale aux attentats du 13 novembre
- Un couple israélien affirme avoir échappé de justesse aux attentats du 13 novembre
- Attentats : la simulation du 13 novembre prévoyait 3 commandos de terroristes
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Attentats : la simulation du 13 novembre prévoyait 3 commandos de terroristes
INFO PANAMZA. Préparée depuis l'été, la simulation d'un "attentat multisites" -élaborée par le SAMU de Paris et organisée le matin du 13 novembre- imaginait trois équipes de terroristes. Onze heures plus tard, ce scénario se concrétisait.
Le 05.12.2015 à 14h44
"Ce n’était qu’une coïncidence. Au risque de décevoir les conspirationnistes, soulignez bien que ce n’est qu’une coïncidence" : c'est en ces termes que le médécin Nicolas Poirot tient à rassurer les lecteurs de Slate.fr.
Le 23 novembre, ce site d'information –cofondé par Jacques Attali et codétenu par le groupe Washington Post– est revenu sur une information exposée –cinq jours plus tôt– par Panamza : la simulation d'attentats organisée par le SAMU de Paris et les pompiers onze heures avant les actes terroristes qui ont ensanglanté la région parisienne.
https://youtu.be/sbloJkmQ8L8
L'article de Jean-Yves Nau, ex-responsable de la rubrique médicale au Monde, dévoile incidemment plusieurs éléments inédits. Extraits :
Un travail qui, du fait de la coïncidence dont parle le docteur Poirot, avait commencé dès la matinée du vendredi 13 avec un exercice de simulation-préparation programmé depuis près de trois mois.
"Tout a commencé à 9h12 pour se finir à 11h40", précise le docteur Poirot, qui jouait alors le rôle d’observateur. "Nous étions une petite cinquantaine, une partie dans la salle de crise du Samu de Paris à Necker et l’autre partie dans les locaux de la brigade des sapeurs-pompiers de Paris, à la Caserne Champerret".
Durant deux heures et demie, ces spécialistes ont "sur table" travaillé en temps réel sur un scénario élaboré par le docteur Michel Nahon (Samu de Paris) et complété par le professeur Carli, médecin-chef. Il s’agissait ce matin-là d’une attaque terroriste composée de trois équipes agissant simultanément et qui, au final, mitraillaient sur treize sites, faisant au total 50 morts et 150 blessés.
Spécialiste de la médecine de catastrophe, Michel Nahon est le co-auteur, avec son chef Pierre Carli (patron du SAMU de Paris), d'un fascicule publié en 2012 et intitulé "Gestion initiale d'un évènement à victimes multiples".
Dans les semaines qui ont suivi l'attentat contre Charlie Hebdo, Pierre Carli (décoré le 3 avril du titre de commandeur de la Légion d'honneur) avait rédigé un nouveau compte-rendu consacré à la prise en charge des victimes d'un "attentat multistes".
Le 24 novembre, le site d'une revue médicale britannique dénommée The Lancet a mis en ligne un long article co-rédigé par Pierre Carli et son supérieur Martin Hirsch (président de l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris).
Le titre : "La réponse médicale aux attaques terroristes multisites dans Paris". À propos de la simulation opérée le matin même, les auteurs soulignent un fait déjà évoqué antérieurement par Pierre Carli tout au long de ses interviews: cet "entraînement"– qualifié de "cruelle ironie"– a été un "facteur-clé dans le succès du traitement" des victimes.
Deux jours après les attentats, un médecin impliqué dans le soin des blessés et interrogé par Le Monde faisait connaître une autre "coïncidence" salutaire :
Les événements de janvier 2015 nous ont conduit à élaborer, dès le soir de l’attaque contre Charlie Hebdo et en collaboration avec Michel Nahon et Pierre Carli du SAMU de Paris, un plan de secours décrivant toutes les étapes et la mise à disposition de tous les moyens hospitaliers pour faire face à un afflux massif de blessés. Cela a été un atout majeur. Nous avions actualisé tous les numéros de téléphone trois jours avant que ne tombe l’alerte, le 13 novembre.
HICHAM HAMZA
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13-Novembre : brisons l'omerta sur le rôle secret d'Israël
INFO PANAMZA. Découvrez le nombre incroyable et l'identité des protagonistes liés à Israël qui gravitèrent autour des attentats du 13 novembre 2015.
Le 29.06.2022 à 21h22
Ce mercredi 29 juin, le verdict est tombé (peine maximale -la perpétuité incompressible- pour l'idiot utile du 13-Novembre : Salah Abdeslam).
Peu importe le détail des condamnations (pour les 19 autres accusés) qui fera gloser les éditorialistes.
La mascarade du procès du 13-Novembre s'est concentrée sur des lampistes -tel Abdeslam.
Pire : le recit médiatique s'est focalisé au cours des dix derniers mois sur les victimes, leur "résilience" et leurs nouvelles amitiés tissées dans les couloirs du Palais de justice (comme le relata avec mièvrerie l'insipide journaliste Willy Le Devin de Libération).
Formidable…
Et sur le fond ?
Rien. Nada. Wallou.
Les hommes d'État au moment des faits -principalement Hollande, Valls et Cazeneuve– ont été épargnés par le président de la Cour d'assises.
Quant au volet israélien des attentats, longuement exploré et exposé par Panamza, il fut évidemment et totalement passé sous silence.
Aujourd'hui, je vous propose de découvrir, sources à l'appui, la liste édifiante de ces personnalités ayant un joué un rôle-clé dans l'environnement immédiat, en amont ou en aval, et la narration politico-médiatique des attentats.
Leur particularité : TOUS sont liés à Israël, pays dont les services secrets ont averti les "officiels juifs" de France (via le SPCJ d'Éric de Rothschild et Ariel Goldmann) de l'imminence des attentats.
Jugez par vous-même :
* Pascal Touitou, gérant de la programmation du Bataclan, recruteur des vigiles, frère de Joël (et du rabbin ultra-orthodoxe et fou furieux David Touitou), qui entretenait alors des "obligations professionnelles" (jamais détaillées) en Israël.
* Ari Emanuel, organisateur de la tournée du groupe Eagles of death metal, fils d'un terroriste israélien et militant pro-israélien radical.
* Salomon Hazot, promoteur/tourneur du concert du 13 novembre 2015, fils d'immigrants juifs-marocains installés en Israël avant leur arrivée en France en 1953. Hazot a lui-même vécu en Israël dans les années 70/80 selon Télérama qui rapporte sa participation dans la "construction d'une route à Eilat". Sa boîte Nous Productions, fondée en 2006, a été rachetée en 2010 par le groupe américain Warner Music, dirigée par Edgar Bronfman Jr (fils du puissant Edgar Bronfman, ex-pratron du Congrès juif mondial et richissime mécène d'Israël). Warner est possédé par Leonid Blavatnik, un Ukrainien soutien d'Israël et proche de Netanyahou (Blavatnik détient également le serveur new-yorkais qui accueille le site Conspiracy Watch du désinformateur sioniste Rudy Reichstadt).
À noter : moins d'un an après les attentats, Hazot a rejoint Emanuel au sein de Live Nation, premier organisateur de concerts au monde, en devenant le co-dirigeant de Live Nation France (Emanuel siéga au comité exécutif jusqu'en 2021, année de départ d'Hazot).
Hazot est représenté en justice par le cabinet Denton, fondé et dirigé par Elliot Portnoy, membre (encensé) de l'influent lobby juif -et-sioniste international dénommé B'naï Brith (un groupe ayant récompensé la journaliste israélienne qui autocensura sa révélation sur l'avertissement aux "officiels juifs" de France).
Selon son épouse Anne, Solomon Hazot -présent au Bataclan- était parti "quelques minutes" seulement avant l'arrivée des terroristes.
* le Franco-Israélien Meyer Habib (proche de Netanyahou) et Georges Fenech (ancien associé de Gilles-William Goldnadel), tous deux placés à la tête de la commission d'enquête parlementaire (pour mieux la verrouiller?).
* Rita Katz, Israélo-Américaine qui fut la première à obtenir et diffuser la prétendue revendication de Daesh.
* Yigal Carmon, ancien colonel du Mossad qui dévoila des photos inédites des terroristes du Bataclan.
* Daniel Psenny, auteur de la première vidéo-choc sur la fuite des rescapés du Bataclan et habitué d'Israël.
* Ori Zeller, barbouze israélien qui fut exposé par Wikileaks comme l'un des co-responsables de l'acheminement (avec l'ultrasioniste américain Michael Sucher) des armes du 13-Novembre.
* Yossi Carmil, Israélien qui dirige la compagnie Cellebrite (chargée de pénétrer les smartphones des terroristes djihadistes et recrutée par le ministère de l'Intérieur français en juillet 2012, soit deux mois après l'arrivée de l'ultrasioniste Manuel Valls).
* Jesse Hughes, chanteur du groupe Eagles of death metal qui se vante de "soutenir énormément Israël".
* Le Franco-Israélien Jonathan Simon-Sellem (un proche de Meyer Habib) qui avait maladroitement révélé l'avertissement donné (via sms) par des "sécuritaires juifs" en France de l'imminence des attentats.
* Roi'i Tiger, Israélien issu du renseignement militaire qui fut à l'origine de l'application Facebook "Je suis en sécurité" qui fut massivement utilisée par les Parisiens au soir du 13 novembre 2015.
* Jean-Michel Fauverge, patron du Raid qui se vanta d'être coaché par des "amis israéliens" et qui avait supervisé une simulation de l'attentat du Bataclan la veille du 13 novembre 2015.
* Yaël Naïm, Franco-Israélienne et première chanteuse de l'hommage officiel aux victimes des attentats.
* Irit et Rotem Talmi, couple de "touristes" israéliens qui aurait miraculeusement échappé à 2 reprises aux attentats.
* Denis Peschanski, historien "anti-complotiste", admirateur du criminel de guerre israélien David Ben Gourion et patron du laboratoire du CNRS dédié à la prétendue collecte exhaustive de la "mémoire" du 13-Novembre.
* Jean-Charles Brisard, patron du "centre d'analyse" à l'origine de "révélations sur le fianncement des attentats" et compagnon de route -depuis 2001- de la mouvance néo-conservatrice et pro-israélienne.
* Mickaël Guedj, réalisateur du documentaire-évènement de France 2 sur le 13-Novembre et lauréat d'un prix remis par le B'naï Brith.
* Benjamin Silverman, producteur du documentaire-évènement de Netflix sur les attentats et mécène de Tsahal.
* Jacques Aragones, réalisateur d'un documentaire spécial attentats de C8 et fils d'un cadre du Crif.
* L'Israélo-Britannique Alex Hoffman, réalisateur de la première interview post-attentat du groupe Eagles of death metal.
* Olivia Ronen et Marie Violleau, avocates de terroristes Abdeslam et Abrini, toutes deux étroitement liées au clan pro-israélien.
* United Hatzalah, le groupe israélien à l'origine de la diffusion virale de la photo-choc (et bidon) du carnage du Bataclan (cette révélation m'avait valu une tentative d'intimidation par le pouvoir vallsiste : une garde à vue pour "violation du secret de l'instruction" –sans le moindre procès consécutif).
À l'avenir, ne comptez pas sur la presse hexagonale, y compris celle qui se targue d'être alternative, pour continuer d'enquêter à contre-courant.
Comptez sur Panamza.
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13-Novembre : 2 avocates de terroristes sont liées au clan israélien
INFO PANAMZA. En septembre, j'avais souligné un détail troublant : la défense d'un djihadiste antisémite du 13-Novembre par une avocate liée au Crif. Incroyable mais vrai : un autre terroriste, présenté par la presse anglaise comme un indic' de la police britannique, s'avère défendu par une avocate formée par le clan sioniste. La preuve par les sources.
Le 17.11.2021 à 14h44
Le 8 septembre, une grande mascarade politico-médiatique a débuté : le procès des attentats du 13-Novembre.
Aujourd'hui encore, mercredi 17 novembre, c'est au tour de Bernard Cazeneuve, le ministre de l'Intérieur d'alors qui m'attaque en justice pour avoir révélé sa préconnaissance, de témoigner à la barre.
Les lecteurs de Panamza savent combien de zones d'ombres et d'informations sensibles -impliquant notamment Israël, le Mossad et leurs relais en France- ont été délibérément passées sous silence.
Et ne comptez pas sur la presse hexagonale, y compris celle qui se targue d'être alternative, pour enquêter à contre-courant.
Juste un dernier exemple d'actualité : sur la web-tv pseudo-subversive et inoffensive Blast du faux-rebelle sous contrôle sioniste Denis Robert, le journaliste David Dufresne (dont le film sur les Gilets jaunes a été financé par Soros) a longuement interviewé le "chercheur" Kevin Jackson à propos du 13-Novembre sans jamais souligner les connexions israélo-américaines de son patron Jean-Charles Brisard.
Deux mois après ma révélation selon laquelle l'un des protagonistes majeurs des attentats (présenté par la presse belge comme un antisémite en puissance) aurait désigné une avocate de culture juive formée par un célèbre cabinet dévolu à la défense du Crif, une autre information émerge et corrobore cette anomalie : un autre terroriste belgo-marocain (qui fut un indicateur des services de renseignements britanniques selon la presse anglaise) aurait choisi (après avoir été défendu en 2016 par un célèbre franc-maçon lié à Pierre Bergé…) une avocate issue (et encore connectée) aux réseaux israéliens de France.
Découvrez ci-dessous l'intégralité des sources attestant de cette subtile mainmise du clan sioniste sur le narratif judiciaire des attentats du 13-Novembre.
Il s'agit de l'avocate Marie Violleau, formée par le pro-israélien Joseph Cohen Sabban et assistée par le cabinet de David-Olivier Kaminski, patron de la Licra-Paris et co-directeur du Crif.
Son clien Mohamed Abrini aurait été (élément passé sous silence en France) un "super-indic" de la police britannique (défendu auparavant par Emmanuel Pierrat).
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13-Novembre : l'avocate du terroriste présumé est liée au Crif
INFO PANAMZA. Présenté en 2015 comme un antisémite, un terroriste présumé des attentats de Paris aurait pourtant choisi une avocate issue d'un cabinet dédié au Crif. La preuve par les sources.
Le 06.09.2021 à 19h12
Le mercredi 8 septembre débutera une grande mascarade politico-médiatique : le procès des attentats du 13-Novembre.
Les lecteurs de Panamza savent combien de zones d'ombres et d'informations sensibles -impliquant notamment Israël, le Mossad et leurs relais en France- ont été délibérément passées sous silence.
Dernière anomalie en date : figurez-vous que l'un des protagonistes majeurs des attentats, présenté par la presse belge comme un antisémite en puissance, aurait pourtant désigné une avocate de culture juive qui s'avère avoir été formée par un célèbre cabinet dévolu à la défense du Crif.
Découvrez ci-dessous les liens relatifs à ces faits.
Il s'agit d'Olivia Ronen, formée par Thierry Lévy (proche de BHL et défenseur -décédé en 2017- de l'ex-patron du Crif et de pédocriminels).
Cette jeune avocate (5 ans d'exercice à peine) prétend avoir été contactée voilà "plusieurs années" par l'antisémite (présumé) et homme invisible Salah Abdeslam (censé apparaitre à la barre en janvier 2022) qui l'aurait découverte "à la télévision".
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Attentats de 2015 : encore un doc produit par le clan du Crif
INFO PANAMZA. Mercredi, la chaîne C8 a diffusé un documentaire sensationnaliste et aligné sur la version officielle des attentats de Paris. Son fabricant : le fils d'un patron du Crif. Révélations.
Le 06.11.2020 à 18h48
En 2016, Panamza révélait qu'un long documentaire consacré aux mystérieux attentats du 13-Novembre était réalisé par un "lauréat" du lobby sioniste.
En 2018, Panamza dévoilait l'engagement pro-israélien radical des producteurs et réalisateurs à l'origine du documentaire-évènement de Netflix sur le 13-Novembre.
En 2020, surprise, surprise : pour l'approche des 5 ans de la commémoration du 13-Novembre, un long doc singulier a été diffusé mercredi 4 novembre par C8, chaîne détenue par Vincent Bolloré (milliardaire dont la grand-mère était espionne pour Israël).
Passons sur sa forme sensationnaliste : montage mélodramatique, musique assourdissante permanente (tantôt électro-stridente tantôt orchestrale avec violons larmoyants) et titre putassier/mensonger (De Charlie au Bataclan, les derniers secrets des attentats de 2015).
Si vous avez deux heures à perdre ce week-end, vous pouvez le découvrir en replay (mais mieux vaut redécouvrir les brûlants dossiers autrement plus informatifs –Charlie et 13-Novembre– de Panamza).
Rappelez-vous simplement que le but de ce film (salué par le désinformateur sioniste Cyril Hanouna et encensé par le censeur judéosioniste-ultra Gil Taieb) n'est pas de vous faire réflechir ou comprendre les arcanes du terrorisme (sous faux drapeau) "islamiste" mais de vous émouvoir, non-stop pendant 2h.
Et notez le casting de choc réuni (entre autres, la droitière "experte antiterroriste" et chouchou d'i24news Anne Giudicelli) pour vous tirer la larme à l'oeil.
Panamza a cherché à savoir qui était derrière cette opération de dramatisation.
L'auteur-réalisateur Jérome Korkikian travaille pour le groupe TV Presse.
Et devinez qui préside cette compagnie ?
Jacques Aragones, producteur issu de TF1 (formé alors par le franc-maçon sioniste Charles Villeneuve) et fils de l'ancien président du Crif marseillais Isidore Aragones.
Comme son père, Jacques Aragones (un proche –discret– de l'agent sioniste Mohamed Sifaoui et ami de l'autre agent sioniste de l'islamophobie Waleed Al-Husseini) est obsédé par l'antisémitisme, au point d'en voir ses traces dans le mouvement des Gilets jaunes.
Quant à Isidore Aragones, également ancien patron de la Licra locale, notons sa triple spécificité :
*il a co-organisé en 2009 une manifestation de soutien à Israël (au point de s'y rendre juste ensuite) durant l'invasion sanglante de Gaza (rebelote en 2014).
*il a déroulé en 2016 le tapis rouge à Bernard Cazeneuve (le ministre de l'Intérieur qui avait annoncé à l'avance les 130 morts du 13-Novembre) à travers un accueil chaleureux au Crif marseillais
*il a occupé autrefois le poste du patron local du FSJU, organisme juif présidé par Ariel Goldmann, l'homme averti en amont des attentats du 13-Novembre via sa connexion au Mossad.
À noter :
*producteur du doc, son fils Jacques Aragones fut l'un des témoins interrogés au sujet de l'étrange attentat au couteau survenu en septembre dans les anciens locaux de Charlie Hebdo. Son studio de post-production est installé dans le même bâtiment.
*secrétaire générale de la compagnie de production TV Presse, Naoual Daikhi est issue d'AB productions, célèbre boîte de séries abrutissantes fondée par les communautaristes Jean-Luc Azoulay et Claude Berda.
* "l'enquêtrice" du doc (assistée par le jeune Samuel Elfassy) n'est autre que Yasmine Oughlis, l'épouse de Jacques Aragones.
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Premiers à diffuser l'attentat "islamiste" de Vienne : des Israéliens
INFO PANAMZA. La vidéo choc d'un passant autrichien abattu par un terroriste islamiste fut étrangement obtenue et diffusée par une chaîne israélienne pro-Netanyahou. La preuve par la source.
Le 03.11.2020 à 12h47
C'est décidément une tradition qui perdure.
Du 11 septembre 2001 (New York) au 2 novembre 2020 (Vienne), en passant par le 13 novembre 2015 (Bataclan), le 22 mars 2016 (Bruxelles) et le 14 juillet 2016 (Nice), vous avez -systématiquement- des Israéliens (plus ou moins proches de l'appareil sécuritaire d'État) en train de filmer ou photographier les premières images horribles d'un attentat en cours.
Et, bien sûr, ils passaient là "par hasard".
https://www.youtube.com/watch?v=F5BK0CetBvo
Hier soir, en Autriche, ce n'est pas un seul mais plusieurs Israéliens qui ont diffusé -notamment via Twitter- les premières vidéos édifiantes d'un obscur attentat multisites visiblement artisanal (4 morts) et imputé à des sympathisants de Daech.
Un attentat survenu "2 heures après la fermeture de la synagogue" qui n'était "pas visée" (contrairement à ce qu'affirmaient plusieurs médias francophones, alignés sur le guignol lepéniste-et-sioniste Jean Messiha ou l'ex-espion devenu consultant pro-israélien Claude Moniquet).
Un attentat aussitôt instrumentalisé –dans la grande tradition sioniste– par le député Meyer Habib, alias "l'oeil de Tel Aviv", pour attiser la haine de l'islam.
Notez d'ailleurs que les partisans d'Israël n'ont pas tardé à attaquer ceux -tel le journaliste britannique Roshan Shalih – à avoir signalé cette anomalie : un média israélien diffusant en "exclusivité" les premières vidéos de l'attentat en Autriche.
Sans plus de commentaire, Panamza vous propose de découvrir ci-dessous les sources encore en ligne (certaines ont depuis été supprimées par Twitter) renvoyant à ces Israéliens prompts à décrocher le scoop calibré pour frapper les esprits :
lien 1 (images choquantes)
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Je révèle le rôle d’Israël dans les attentats de Paris : la police me reconvoque
Journaliste indépendant et fondateur du site d'investigation Panamza, je suis attendu par la police qui veut m'auditionner. Une seconde fois. Mon prétendu tort: avoir exposé la préconnaissance des attentats de Paris par Ariel Goldmann, dirigeant communautariste lié au Mossad.
Le 14.10.2020 à 16h48
Incroyable mais vrai : le parquet de Paris a validé la scandaleuse requête d'Ariel Goldmann, dirigeant communautaire juif lié au Mossad.
Son caprice ?
Sous prétexte de mon article détaillé et sourcé de février 2019 (relayé sur Twitter, ici et là) qui rapportait son dépôt de plainte à mon encontre pour "diffamation", j'ai été signalé auprès du procureur de la République par son avocat Basile Ader (un défenseur d'Israël et membre, comme Goldmann, du "Rassemblement des avocats juifs de France", ci-dessous à l'image avec l'ex-ambassadrice israélienne).
https://youtu.be/skGYUWGmVhc
https://www.youtube.com/watch?v=qXxOi8r9T3Y
En clair : informer mes lecteurs de la procédure judiciaire lancée contre moi par un dirigeant-clé du lobby judéosioniste hexagonal (en leur donnant le contexte et les sources de mon enquête) serait illégal.
La conséquence : je suis attendu pour être auditionné par la police. Sur la même affaire. Une seconde fois.
Le comble ?
Je suis également convoqué -en parallèle- par un juge pour m'expliquer en détail sur mes allégations.
Résumé des faits, en un paragraphe :
Je maintiens mes allégations basées alors sur la presse israélienne: des "officiels juifs" de France ont bien été prévenus des attentats du 13-Novembre. À l'avance.
Mieux encore : la police antiterroriste a depuis validé ma révélation controversée. Oui, le SPCJ, chapeauté par Goldmann, est bien lié au Mossad (un groupe d'assassins "très actif en France").
Rappel. Les plaintes de Goldmann accompagnent une plainte similaire déposée à mon encontre par son ami de 30 ans : Bernard Cazeneuve, ministre-clé des attentats.
https://youtu.be/WwLD4c0GYuE
https://www.youtube.com/watch?v=J-dwofukAlQ
https://www.youtube.com/watch?v=YjdGrnSWcoQ
Lecteur bienveillant et solidaire de Panamza, je vous tiendrai informé des suites de ma saga judiciaire.
Citoyen désireux de connaître toute la vérité interdite à propos des attentats de Paris, je compte sur votre soutien.
Moral et politique : partagez cet article, faites connaître ces informations. Brisez l'omerta.
Matériel et judiciaire : contribuez aux frais exorbitants pour garantir ma défense.
HICHAM HAMZA
Auteur, fondateur du site Panamza et journaliste d'enquête depuis 2008
Contact : [email protected]
Pour contribuer aux frais d'avocat, cliquez ICI
https://www.youtube.com/watch?v=78oLHrBlDjU&feature=emb_title
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Attentats de Paris : l'antiterrorisme confirme une info-clé de Panamza
Nouveau numéro 2 du ministère de l'Intérieur et patron de l'antiterrorisme, Pierre de Bousquet de Florian a fait savoir que le Service de protection de la communauté juive -qui avait été averti à l’avance des attentats du 13 novembre 2015- est effectivement lié au Mossad. La preuve par les sources.
Le 10.07.2020 à 15h25
"L’actuel coordonnateur national du renseignement et de la lutte contre le terrorisme a été nommé jeudi 9 juillet auprès de Gérald Darmanin", indiqua hier le Monde.
En janvier dernier, une info édifiante relative au patron de l'antiterrorisme et dévoilée par Le Monde était passée inaperçue. Extraits :
Un ex-cadre de la DGSI devant la cour d’appel administrative de Paris
Accusé d’espionnage, Eric M. veut récupérer son habilitation « très secret-défense »
Le contentieux entre Eric M. et son ancienne maison a débuté le 29 mars 2018. Ce jour-là, l’inspection interne lui demande de quitter les lieux sur-le-champ. Elle le soupçonne d’avoir été approché par le Mossad et la CIA.
L’intéressé dément et dénonce une cabale destinée à faire obstacle à sa nomination à la tête du Collège européen du renseignement. Dans le mémoire adressé à la cour, son avocat estime que « tout donne à penser que M. M. a été victime d’un montage pour l’empêcher d’accéder aux fonctions auxquelles il était pressenti ».
Me Gaschignard indique que son client a été informé, le 23 février 2018, par Pierre de Bousquet de Florian, coordonnateur national du renseignement et de la lutte antiterroriste, qui lui avait proposé ce poste, de l’existence d’une note accusatrice de la DGSI à son encontre. « Il lui avait demandé, écrit l’avocat, si ses activités en qualité de parent d’élève dans une école juive et les liens induits par celle-ci avec le service de renseignement israélien ne risquaient pas d’interférer fâcheusement avec ce projet. » M. de Bousquet faisait allusion aux services de protection que M. M. assurait à l’école de ses enfants.
Pour comprendre quels sont ces "services de protection", il faut se réferer à l'article originel qui a dévoilé l'affaire Éric M. : il s'agit d'un article du Point paru en le 3 juillet 2019 (déjà évoqué par Panamza et relayé jusqu'en Israël, y compris -intégralement- par la LDJ).
Extrait-clé du papier :
Alors qu’il devait prendre la tête du Collège du renseignement en Europe, un agent très bien noté est débarqué pour accointances avec le Mossad.
Bousquet de Florian demande à le voir en tête-à-tête. Une note de la DGSI est arrivée sur son bureau, laquelle affirme que le quinquagénaire a des accointances avec le Mossad, qu’il pratique le krav-maga (technique d’autodéfense utilisée par Tsahal) et qu’il participe au service de sécurité du collège juif où sont scolarisés ses enfants. La note, classifiée évidemment, sent le soufre.
Un mois plus tard, fin mars 2018, il est convoqué par la Sécurité intérieure de la DGSI et cuisiné durant de longues heures. Les agents lui mettent une pression maximale, allant jusqu’à lui soumettre les photographies de chacune de ses ex-copines ou le portrait de chaque parent bénévole au Service de protection de la communauté juive de l’école de ses enfants, géré par le CRIF. Fait-il oui ou non partie d’une milice politique ? lui demande-t-on, selon des sources concordantes.
Il s'agit du SPCJ, effectivement co-géré par le CRIF (mais surtout présidé par Éric de Rothschild et dirigé par l'obscure Tali Ohayon).
https://www.youtube.com/watch?v=vujvxQho5QQ&feature=emb_title
https://www.youtube.com/watch?v=d1Ua0H7kXZI
Souvenez-vous : au lendemain des attentats du 13-Novembre, puis en 2017 et 2018, Panamza avait établi en détail la connexion de ce groupe au Mossad (comme l'ex-patron du Bataclan Joël Touitou).
En conséquence, je suis d'ailleurs poursuivi en justice pour diffamation. Le dépositaire de la plainte n'est autre que le porte-parole du SPCJ et ancien vice-président du Crif : le multicartes Ariel Goldmann, extrémiste de la droite judéosioniste.
Rappelons ici que son camarade de 30 ans, un certain Bernard Cazeneuve, m'attaque également en justice sur le même sujet : mes révélations sur les évènements du 13-Novembre.
https://www.youtube.com/watch?v=WwLD4c0GYuE&feature=emb_title
Lecteur bienveillant et solidaire de Panamza, je vous tiendrai informé des suites de ma saga judiciaire.
Citoyen désireux de connaître toute la vérité interdite à propos des attentats de Paris, je compte sur votre soutien.
https://www.youtube.com/watch?v=bU1QizKnT54
Moral et politique : faites connaître ces informations. Brisez l'omerta.
Matériel et judiciaire : contribuez aux frais exorbitants pour garantir ma défense.
HICHAM HAMZA
Auteur, fondateur du site Panamza et journaliste d'investigation depuis 2008
Contact : [email protected]
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https://www.youtube.com/watch?v=78oLHrBlDjU&feature=emb_title
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Révélations sur les attentats de 2015 : la justice convoque Panamza
Journaliste indépendant, je suis poursuivi en justice par l'ancien Premier ministre Bernard Cazeneuve qui s'estime «diffamé» par mon enquête sur les attentats du 13-Novembre. Un capitaine de police m'a fait savoir que je serai prochainement convoqué au tribunal.
Le 15.12.2019 à 21h55
Le 1er octobre, j'exposais en détail la plainte déposée à mon encontre par Bernard Cazeneuve, ancien Premier ministre, ex-ministre de l'Intérieur, potentiel candidat du PS pour 2022, membre du Bilderberg et personnage-clé des attentats de 2015 (affaire Fredou incluse…).
Deux jours après, je soulignais l'éloquente omerta médiatique à ce sujet : aucun article de presse, pas même à charge contre Panamza, pour relater ce fait inédit sous la Vème République -en l'occurrence, un ex-chef de gouvernement envoyant au tribunal un journaliste indépendant à propos d'une affaire terroriste.
Vendredi 13 décembre, un capitaine de police m'a fait savoir par courriel que je serai bientôt entendu par la juge d'instruction en charge du dossier.
Demain, lundi 16 décembre, je reviendrai sur l'affaire du 13-Novembre avec de nouvelles révélations relatives au passé méconnu de l’ex-propriétaire du Bataclan : Joël Touitou, un communautariste désormais installé à Ashdod, en Israël, qui apparaît au début de ma vidéo ci-dessous (vue par 1,3 million d'internautes)
https://youtu.be/HQSBItQjWMM
Lecteur bienveillant et solidaire de Panamza, je vous tiendrai informé des suites de ma saga judiciaire et de son coût de plus en plus onéreux.
Citoyen désireux de connaître toute la vérité interdite à propos des mystérieux attentats de Paris, je compte sur vous.
HICHAM HAMZA
Auteur, fondateur du site Panamza et journaliste d'investigation depuis 2008
Contact : [email protected]
Pour contribuer aux frais d'avocat, cliquez ICI
https://youtu.be/78oLHrBlDjU
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13-Novembre : le Mossad conseille une "enquête" de Mediapart
INFO PANAMZA. Une agente du Mossad, démasquée par le Canard enchaîné, recommande la dernière pseudo-enquête de Mediapart sur les attentats -anticipés par le Mossad- du 13 novembre 2015. La preuve par la source.
Le 13.11.2019 à 22h09
Hier, Panamza signalait la spécificité de la dernière prétendue investigation de Mediapart, site pseudo-indépendant, sur le 13-Novembre :
Quand la presse🇫🇷 sous contrôle🇮🇱
{tel @Mediapart https://t.co/Ai2EHdx9bz} évoque ceux qui savaient À L'AVANCE pour les attentats du #13Novembre
✅Parler d'islamistes en prison: OK
❌Parler des sionistes @manuelvalls, @BCazeneuve & @GOLDMANNAriel: INTERDIT https://t.co/iHcbyHd23H https://t.co/115V2zcuSe— Panamza (@Panamza) November 12, 2019
Surprise, surprise : entretemps, une agente (proche du "journaliste" arabisant Nicolas Hénin) du Mossad -qui avait été démasquée par le Canard enchaîné et identifiée par Panamza– a recommandé publiquement l'article (rédigé par l'obscur Matthieu Suc) qui braque sur le projecteur sur des détenus djihadistes qui auraient été avertis en amont des attentats (et passe sous silence les sionistes avertis).
La preuve, ci-dessous, en image et avec le lien URL :
Source : Twitter de Laurence Bindner
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13-Novembre : les étranges mensonges de François Hollande
INFO PANAMZA. À l'occasion de la commémoration des attentats du 13 novembre 2015, l'ex-Président Hollande a formulé deux contre-vérités troublantes. La preuve en vidéo.
Le 13.11.2019 à 14h49
Troubles de la mémoire ou volonté de dissimuler des faits potentiellement embarrassants ?
Ce mercredi matin, François Hollande était l'invité de Jean-Jacques Bourdin.
Interrogé sur ses souvenirs de la soirée du 13 novembre, voici ce que raconta (à 0'50) l'ancien Président au sujet de son moment de basculement :
https://www.youtube.com/watch?v=o4bPggbdRqc
"Et puis une deuxième explosion…Là, je commence à avoir plus qu'un doute…presque une certitude.
La policière qui est chargée de la sécurité m'informe qu'il y a déjà un mort donc je dois prendre une décision"
Dans un entretien paru hier sur le site du Point, Hollande a tenu des propos similaires :
"On se souvient de l'image de cette policière" ?
L'interviewer Jérôme Cordelier, rédacteur en chef du Point (un journal dirigé par un membre du Bilderberg), partage-t-il la même amnésie que François Hollande?
Ou ce mensonge a-t-il été concerté durant l'entretien?
La vérité : ce n'est pas une femme mais un homme, en l'occurrence un officier de sécurité, dont "on se souvient" : il fut celui qui s'est penché (à deux reprises) à son oreille avec ces mots "Monsieur le président, le Quick a sauté".
Le 16 novembre 2015, le chroniqueur Maxime Switek rapporta la scène dans l'émission C à vous (à 0'48) :
https://www.youtube.com/watch?v=wajEjJZo6lI
Pourquoi avoir évacué, 4 ans plus tard, cet officier de sécurité du récit officiel pour le remplacer par une policière?
Mystère.
Et l'énigme perdure à propos d'un autre mensonge, encore plus grossier, de la part de l'ancien chef d'État : dans l'entretien complaisant du Point, Hollande prétend que Manuel Valls aurait "entendu les tirs de chez lui".
Valls n'a jamais déclaré ceci quand l'émission Le petit journal de Canal+ l'interrogea sur son expérience ce soir-là (Valls affirma avoir été alerté par Cazeneuve et une "connaissance" du quartier qui s'avère être le journaliste islamophobe Gérard Davet).
Mieux encore.
Contrairement à ce que suggère Hollande, Valls ne PEUT PAS avoir entendu les tirs "de chez lui" : il habitait dans l'appartement de son ex-épouse Anne Gravoin, situé au début de la rue Keller, à 600 mètres de la fusillade la plus proche (à La Belle Équipe).
Pour en savoir plus sur le 13-Novembre et le rôle trouble du tandem Valls/Cazeneuve, consultez la dernière enquête de Panamza.
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Carnage du 13-Novembre : Valls venait de réorganiser les secours
INFO PANAMZA. La veille des attentats de Paris, le Premier ministre Manuel Valls avait étrangement modifié la prise en charge des victimes de terrorisme en cas d'attentat de masse. La preuve par les sources.
Le 09.10.2019 à 22h33
Je suis heureux d'être au-dessus.
Et j'ai volé, volé heureux
Je me trouve plus grand
Plus grand que le soleil
Alors que le monde disparaissait lentement
Loin vers le bas.
Une musique douce joue
Seulement pour moi.
Volare, Gipsy Kings
À la tête du pays lors des mystérieux attentats de 2015, Manuel Valls est aujourd'hui un homme visiblement heureux comme en témoigne son récent mariage cossu avec une figure éminente -selon la presse locale- du "lobby juif de Catalogne".
Des nouvelles de Manuel Valls. Il va bien.pic.twitter.com/mxF3lZxogn
— Ronan Planchon (@RonanPla) September 15, 2019
Quant à son ancien ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve, il distille l'idée de son éventuelle candidature aux élections présidentielles de 2022 – à la faveur de sondages fortuitement favorables…
Et pour émouvoir l'opinion publique, le voilà qui fend l'armure à travers son livre-témoignage sorti ce mercredi 9 octobre et consacré à son expérience place Beauvau durant les attentats.
Surprise, surprise : Cazeneuve y édulcore son prétendu pressentiment du 13-Novembre.
Souvenez-vous : le 16 novembre 2016, Panamza rapportait un passage troublant d'une enquête journalistique faisant état de sa stupéfiante déclaration auprès du préfet de police, quelques heures avant les attaques du Stade de France et du Bataclan.
Selon le journaliste du Point François Malye, Cazeneuve avait déclaré redouter un attentat imminent faisant "130 morts". Soit le chiffre exact de victimes mortellement fauchées ce soir-là.
Le rappel détaillé (fin 2018) de cette déclaration sur Panamza et sa contextualisation m'ont d'ailleurs valu une plainte en diffamation (passée sous silence dans la presse traditionnelle) par Cazeneuve lui-même.
L'ancien Premier ministre rejoint ainsi son ami Ariel Goldmann et le judéofasciste Sam Ghozlan qui m'ont également attaqué en raison de mon enquête sur les attentats de Paris.
Vous avez bien lu : sous prétexte de mon travail journalistique sourcé sur le 13-Novembre, un ancien Premier ministre, le patron du lobby israélien hexagonal et un ex-commissaire de police m'ont intenté -entre 2017 et 2019- un procès.
Trois ans plus tôt, en février 2016, je faisais l'objet d'une abusive détention en garde à vue qui fut ouvertement commanditée par le gouvernement Valls -sous prétexte de ma divulgation de l'origine israélienne de la photo-choc-et-bidon du Bataclan.
Aujourd'hui, mercredi 9 octobre 2019, près de 4 ans après le carnage du 13-Novembre, un nouvel élément d'information émerge…à la faveur d'une interview politique diffusée le 3 octobre sur Canal+.
Avant d'aller plus loin sur l'info du jour qui implique directement l'ultrasioniste décomplexé Manuel Valls et sa préconnaissance des attentats, un long mais nécessaire retour sur les précédentes révélations de Panamza s'impose en préambule.
Le 15 novembre 2015, deux jours après les attentats qui ont ensanglanté Paris, Panamza rapportait la troublante révélation -parue la veille- d'un quotidien israélien :
Vendredi matin, les responsables de la sécurité au sein de la communauté juive auraient appris "l'imminence d'une large attaque terroriste" selon The Times of Israël. L'auteur de cette confidence : le bien informé Jonathan Simon-Sellem (alias JSS), extrémiste franco-israélien de la cause sioniste et grand ami de Meyer Habib.
Le 18 novembre 2015, Panamza signalait l'altération de l'article paru dans la presse israélienne. La mention initiale et précise de "vendredi matin", moment de l'avertissement, a été remplacée par une expression édulcorant l'information originelle : "pendant des mois".
Le 19 novembre 2015, Panamza identifiait le principal "officiel" chargé en France de la "sécurité de la communauté juive" : le baron multimillionnaire Éric de Rothschild, un promoteur de Caroline "Sayan" Fourest et militant au niveau mondial (à l'instar de son cousin milliardaire David de Rothschild) du communautarisme judéosioniste.
https://www.youtube.com/watch?v=i42Z3AnoNV8
https://www.youtube.com/watch?v=_UtfhNP555E
Le 22 février 2016, je fus -fondateur de Panamza- placé en garde à vue en représailles de ma démonstration -jamais réfutée sur le fond par les innombrables chiens de garde d'une presse sous contrôle sioniste– de l'origine israélienne de la photo-choc-et-bidon du Bataclan.
https://www.youtube.com/watch?v=WwLD4c0GYuE
Le 23 juin 2016, Panamza soulignait la libération-surprise de Lazez Abraimi, présumé complice de Salah Abdeslam qui avait reçu un étrange message vocal sur son smartphone : "Le juif n'est pas là".
https://www.youtube.com/watch?v=vIvp5qU-prc
Le 10 novembre 2016, Panamza révélait l'origine des photos inédites d'un terroriste du Bataclan : le Memri, officine de propagande dirigée par un haut-gradé du Mossad (puissants services secrets israéliens qui détiennent le record mondial d'assassinats) et favorable à une certaine…Caroline Fourest (dont le film –sorti aujourd'hui au cinéma– est produit par deux frères israéliens liés à l'extrême droite locale).
Le 19 novembre 2016, Panamza indiquait la spécificité troublante de l'agent du chanteur mythomane du Bataclan, salle possédée par une famille engagée -depuis les années 80- auprès de l'armée israélienne : il s'agit d'Ari Emanuel, fils du terroriste israélien Benjamin Emmanuel.
https://www.youtube.com/watch?v=7YeJWwGw-Tw
https://www.youtube.com/watch?v=HQSBItQjWMM
Le 18 novembre 2017, Panamza identifiait –en exclusivité pour ses abonnés– "l'experte en sécurité" (prénommé Tali et rémunérée par des "officiels juifs" en contact direct avec le patron du Mossad) qui avait diffusé des sms d'alerte juste avant les attentats du 13 novembre.
Le 23 novembre 2018, Panamza désignait précisément le leader communautaire juif qui s'avère être le supérieur hiérarchique de Tali et l'ami de 30 ans de Bernard Cazeneuve, ministre socialiste de l'Intérieur (complaisant avec l'extrême droite israélienne) qui avait annoncé -détail diabolique- un acte terroriste causant exactement "130 morts" QUELQUES HEURES AVANT les attentats survenus au soir du 13 novembre 2015.
Le 21 décembre 2018, Panamza exposait, à partir d'un nouvel élément d'information paru fortuitement dans la presse étrangère, une pièce manquante au puzzle du 13-Novembre, l'événement terroriste simulé –au détail près– la veille et le jour même.
La source des avertissements portés à la connaissance de plusieurs dirigeants juifs français (qui l'ont ensuite relayé par sms au sein de la communauté) ET du gouvernement Valls (via Cazeneuve) était bel et bien le Mossad, l'organisation prétendument lancée à la traque (depuis 2013) d'Abaaoud (pseudo-"cerveau" des attentats) et dirigée alors par Tamir Pardo, un homme qui assume aujourd'hui l'aspect "fun" et "criminel" de ses fonctions passées…
Le 18 décembre 2018, un quotidien israélien dénommé The Times of Israel rapportait (à partir d'une divulgation diffusée par la radio publique Kan) l'implication directe (mais "diplomatiquement sensible") du Mossad pour sécuriser les communautés juives à travers le monde.
En résumé ?
Récemment éclaboussé par le scandale (occulté par la presse audiovisuelle française) de l'agent de la DGSI au service d'Israël, le SPCJ ("service de protection de la communauté juive", basé dans les locaux du Fonds social juif unifié), en liaison directe avec le Mossad et trahi par Jonathan-Simon Sellem (le fou furieux sioniste à l'origine de la révélation israélienne faisant état d'officiels juifs avertis du 13-Novembre), est chapeauté par 3 individus :
* son "président" Éric de Rothschild.
* sa "directrice" Tali.
* son "porte-parole" Ariel Goldmann, ami intime de Cazeneuve -l'agent zélé de l'obscur tandem Hollande/Valls en charge de la police qui a donc su en avance…
Reste à savoir qui savait quoi exactement. Quand ? Et comment, précisément.
Qu'en est-il de Valls ?
Jeudi 3 octobre, Canal+ a diffusé un entretien complaisant de l'ex-ministre de la Justice Christiane Taubira (qui sort aussi un livre de souvenirs) par le faux-cool et vrai censeur Mouloud Achour.
De la 13ème à la 20ème minute, la nuit chaotique du 13-Novembre est abordée.
https://www.youtube.com/watch?v=ae9vrnCFHV8
À la 17ème minute, Taubira révèle incidemment avoir "signé une circulaire pour la prise en charge des victimes en cas d'attentat et de nombre important des victimes, le 12 novembre" 2015.
"La veille", souligne-t-elle devant un Achour qui n'en finit pas d'être sidéré quand Taubira enfonce étrangement le clou en rapportant l'info (divulguée 5 jours après les attentats par Panamza) selon laquelle il y avait eu une simulation -incroyablement similaire– des attentats au matin même (un exercice qui fut "commandé par le gouvernement" selon l'ex-Garde des Sceaux).
Panamza a vérifié l'assertion de Taubira : le 12 novembre 2015, à la faveur d'un colloque gouvernemental consacré à "la prévention de la radicalisation", le Premier ministre Manuel Valls a bien édicté une "instruction interministérielle relative à la prise en charge des victimes d'actes de terrorisme".
Son but explicite : réorganiser les secours en cas d'attentat de masse.
Son objet principal : la création d'une nouvelle organisation -dénommée "Cellule interministérielle d’aide aux victimes" (CIAV)- qui prendra effectivement en charge (dès le lendemain…) la gestion de l'identification, de l'assistance et du fichage des morts et blessés du 13-Novembre.
Le 7 mars 2016, même le député Georges Fenech, président de la commission d'enquête parlementaire sur les attentats (et chantre d'Israël qui s'avère très proche du clan sioniste), avait exprimé son étonnement sur cette "concomitance" auprès du patron de la CIAV auditionné.
Pris de manière isolée, cet élément d'information pourrait s'apparenter à une simple coïncidence.
Mais au regard des nombreuses anomalies rapportées plus haut (des "officiels juifs" en lien avec le Mossad avertis, une simulation hospitalière le matin, une simulation du RAID la veille, la prédiction exacte de Cazeneuve dans l'après-midi même, etc), le doute -sinon l'effroi- est permis.
HICHAM HAMZA
Auteur, fondateur du site Panamza et journaliste d'investigation depuis 2008
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Attentat de Brest : le tireur "suicidé" avait contacté Panamza
EXCLUSIF. Âgé de 21 ans, le tireur présumé de Brest avait adressé un courrier à Panamza dans lequel il affirmait avoir été contraint de passer à l'acte par des hommes liés à la DGSI.
Le 27.06.2019 à 23h23
Nous sommes 54.
54 titulaires d'une adresse email à avoir reçu à 16h22 -très exactement, en ce jour- un étrange document composé de 2 images en format jpeg.
Une lettre manuscrite et une carte d'identité (l'ensemble posé et photographié sur une table marron clair) appartenant à "KF", le jeune homme retrouvé mort vers 17h30 et présenté par les autorités comme l'auteur de menaces contre une mosquée de Brest et des coups de feu tirés vers 16h30 aujourd'hui contre l'imam Rachid Eljay.
https://www.youtube.com/watch?v=Ilq0zf0GmRw
https://www.youtube.com/watch?v=P-5wFQYOCP8
Dans son courrier, KF tient des propos présentés -de manière expéditive- comme "incohérents et complotistes" selon une source policière interrogée par Sylvain Zimmermann de RTL.
Son confrère Thibaut Chevillard de 20 minutes (le pseudo-journaliste qui avait prétendu avoir vu la scène antisémite des Gilets jaunes dans le métro) ajoute que, selon ses sources, "il semblerait qu’il se soit tiré une balle dans la tête avec l’arme qui a servi à tirer des coups de feu devant la mosquée".
Quatre éléments factuels et incontestables indiquent que le courrier reçu par Panamza est bien celui rédigé par l'auteur des coups de feu :
– il l'a envoyé à 16h22 et affirme "avoir écrit ce message juste avant de passer à l'acte" : les diverses sources de presse évoquent des coups de feu tirés vers 16h30.
– il y précise habiter Lyon depuis "environ 3 ans" : le Télégramme de Brest a révélé ce jeudi soir que le jeune homme "venait de la région lyonnaise".
– il y désigne clairement sa cible une heure trente environ avant les premières dépêches de presse locale (et le premier tweet du laconique ministre de l'Intérieur) relatives à cet attentat antimusulman : "Rachid Eljay".
– son patronyme correspond au prénom et à l'initiale du nom dévoilés à 20h17 par Le Parisien (le nom entier a fuité sur les réseaux sociaux dès 21h30…).
Quant au texte rédigé par cet homme retrouvé mort "face contre terre avec une balle dans la tête, dans un buisson à 500 mètres de son véhicule", il est non seulement stupéfiant mais il contredit surtout la version officielle selon laquelle il aurait adressé un "courrier de menace au responsable d'une autre mosquée" à l'instar d'un militant de l'ultradroite hostile à l'islam.
En résumé : cet homme -qui ne revendique aucune idéologie politique dans sa lettre manuscrite- affirme avoir été contraint par des barbouzes cagoulés de passer à l'acte sous peine de voir ses parents, sa soeur et lui-même assassinés.
Détail frappant : le jeune homme indique presque incidemment le patronyme d'un homme lié à ce groupe -il s'agit d'une figure-clé (connue des anciens lecteurs de Panamza) des services secrets français qui s'avère être également un membre du club occulte Bilderberg qui avait mis en garde (après les attentats du 13-Novembre) contre l'ultra-droite anti-islam.
Panamza vous propose de découvrir ci-dessous et de juger par vous-même le dernier "message" adressé au monde par un jeune homme qui se disait piégé et qui redoutait d'être exécuté….
BONUS : rappel sur l'obscur Patrick Calvar, aujourd'hui consultant, membre du Bilderberg et collaborateur de l'Institut Montaigne (présidé par le patron du Bilderberg…).
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Révélations sur les attentats : Cazeneuve menace Panamza
Journaliste indépendant, je suis "mis en demeure" par l'ancien Premier ministre et ex-ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve de "supprimer immédiatement" ma dernière enquête sur les attentats du 13-Novembre.
Le 01.03.2019 à 21h33
Cela ressemble bel et bien à des représailles pour avoir brisé l'omerta : deux hommes mis en cause dans un article publié sur Panamza ont chacun saisi la justice, l'un pour déposer plainte, l'autre pour menacer de le faire.
Un judéosioniste radical capable de saluer publiquement (la semaine dernière) l'assassinat extra-judiciaire (à savoir sans procès) d'un terroriste présumé :
Au terme d'une demi-heure d'audition, j'ai signé le procès-verbal dans lequel j'ai reconnu être l'auteur du papier litigieux -que j'assume pleinement- en date du 23 novembre 2018.
Le second individu visant également Panamza est son ami de 30 ans : Bernard Cazeneuve, ancien ministre de l'Intérieur et agent zélé du lobby sioniste (encore présent au dernier dîner du Crif), aujourd'hui avocat et nouveau membre du redoutable groupe Bilderberg qui convoite l'Élysée pour 2022.
https://www.youtube.com/watch?v=EijAg4mkmN8
Son avocat Basile Ader (par ailleurs vice-bâtonnier du barreau de Paris) m'a transmis par courriel une "mise en demeure" : je suis sommé de "supprimer immédiatement" mon article du 23 novembre 2018 (le même visé par Goldmann) sous peine d'être poursuivi par son client (comme ce fut déjà le cas à l'encontre de la policière niçoise Sandra Bertin) pour "diffamation publique envers un dépositaire de l’autorité publique".
De toute évidence, Goldmann et Cazeneuve ne connaissent pas le principe de l'effet Streisand : en tentant de faire interdire ou de censurer une information embarrassante, on contribue à la propager.
Il va de soi que je ne céderai pas à cette manoeuvre, cette fois-ci haut-placée, d'intimidation judiciaire.
Plus important : je compte désormais sur vous, bienveillant et solidaire lecteur de Panamza, pour re-découvrir l'article du 23 novembre (accessible en bas de cette page) et diffuser sur vos réseaux sociaux le papier présent qui fait état de cette menace édifiante à mon encontre et mon travail journalistique.
Nichés dans mon enquête, des éléments d'information inédits et d'intérêt public semblent suffisament dérangeants pour qu'un proche de Netanyahou et un membre du Bilderberg (sur lequel plane encore l'affaire -révélée par Panamza- Helric Fredou…) aient conjointement jugé nécessaire d'intervenir pour me faire sanctionner ou censurer.
https://www.youtube.com/watch?v=tSAFqAAZQ1w
Rappel-clé : dans cet article, je révélais le rôle occulte (via le SPCJ) du dirigeant juif lié au Mossad Ariel Goldmann, ami intime de Bernard Cazeneuve (alors ministre de l'Intérieur), dans la préconnaissance des attentats du 13-Novembre.
Afin de pouvoir re-lire mon papier détaillé et sourcé (toujours accessible via Facebook et Twitter), cliquez ci-dessous :
HICHAM HAMZA
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Je révèle le rôle d'Israël dans les attentats de Paris : la police me convoque
Journaliste indépendant et fondateur du site d'investigation Panamza, je suis attendu par la police qui veut m'auditionner. Mon "tort": avoir exposé la préconnaissance des attentats de Paris par Ariel Goldmann, dirigeant juif lié au Mossad.
Le 22.02.2019 à 22h30
Le 14 janvier 2018, j'exposais en détail la plainte déposée à mon encontre par le militant judéofasciste Sammy Ghozlan –sous prétexte de mes révélations sur les mystérieux attentats de l'Hyper Cacher et du Bataclan.
Le 20 février, je dévoilais la volonté affichée par lobby sioniste de monter un dossier à mon sujet.
Le 23 novembre, je révélais le rôle occulte du dirigeant juif et ultrasioniste Ariel Goldmann, ami intime de Bernard Cazeneuve, dans la préconnaissance des attentats du 13-Novembre.
Le 13 décembre, je dénonçais la doléance délirante de Goldmann, un soutien de l'extrême droite israélienne (notamment le clan de Naftali Bennet, ministre qui "n'a aucun problème à tuer des Arabes") et un communautariste méconnu du grand public mais particulièrement choyé par les autorités françaises : faire créer -sans rire- un "délit de complotisme".
Le 14 décembre, je soulignais le souhait ahurissant de son compère et homologue fou furieux Gil Taieb : "une loi" contre Panamza.
Le 30 décembre, Goldmann -qui s'estime "traîné dans la boue"– a fait savoir, via Twitter et auprès d'un compte anonyme animé par des miliciens sionistes de la chasse aux prétendus antisémites, son "dépôt de plainte" contre Panamza.
Patron du principal lobby judéosioniste hexagonal (le Fonds social juif unifié) et responsable du Service de protection de la communauté juive (SPCJ, en lien avec le Mossad), Goldmann avait réitéré sa menace d'un procès à la date du 14 janvier.
Fin février, je vais devoir me rendre auprès d'un officier de police pour être entendu en qualité de "suspect" : mes deux articles sourcés sur Goldmann (publiés les 23 novembre et 13 décembre) me valent une plainte farfelue (mais odieusement validée par le parquet de Paris -dépendant du pouvoir) pour "diffamation à caractère racial".
Un record de timing : jamais une procédure judiciaire intentée à mon encontre (il s'agit là de ma 5ème convocation policière en 5 ans; toutes ont fait -à ce jour- "pschitt" sur le plan pénal, faute d'éléments sérieux à mon encontre) n'a été entamée aussi vite.
Visiblement, Ariel Goldmann, nommément célébré -hier soir, au dîner du Crif- par Emmanuel Macron, a le bras long.
VOUS pouvez contribuer à garantir la défense de Panamza.
* En participant, quelque soit la somme, aux frais de justice -via un don sécurisé par carte bleue ou un simple virement bancaire.
* En vous abonnant à Panamza pour consolider le lectorat et accroître la force de frappe du site.
Je ne compte pas sur les journalistes mainstream et les militants emblématiques de la scène propalestinienne hexagonale, toujours enclins à s'indigner à la moindre atteinte à leur liberté d'expression ou de manifestation mais particulièrement lâches dès qu'il s'agit d'exposer ouvertement et en pleine lumière les ramifications et agissements occultes de la nébuleuse pro-israélienne. Ils partagent avec leurs adversaires la même soumission au terrorisme intellectuel en vogue de "l'anticomplotisme", cette nouvelle et risible chasse aux sorcières -de fabrication judéosioniste– visant à discréditer sans le moindre argument de fond tout citoyen mettant en doute une version officielle de l'aire géopolitique euro-israélo-américaine.
Je compte sur VOUS, sympathisant de Panamza : votre solidarité et votre mobilisation feront la différence.
Il est grand temps que la peur change de camp.
Contrairement aux élites aujourd'hui au pouvoir, la nouvelle génération en gestation de citoyens engagés en politique devra se confronter –franchement, précisément, radicalement– à l'emprise et la nocivité du lobby judéosioniste dans l'appareil d'État français.
NOUS sommes le nombre, ils sont la minorité.
HICHAM HAMZA
Auteur, fondateur du site Panamza et journaliste d'investigation depuis 2008
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https://www.youtube.com/watch?time_continue=3&v=78oLHrBlDjU
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Gilets jaunes + Noël : un attentat imminent selon des agents israéliens
Hypothèse ou préconnaissance ? Des groupes sous contrôle israélien évoquent un risque terroriste contre les Gilets jaunes ou durant les préparatifs de Noël.
Le 22.12.2018 à 15h11
Le 5 décembre, Panamza soulignait la spécificité des annonces d'attentat contre les Gilets jaunes : elles provenaient essentiellement d'officines sous contrôle israélien.
Aujourd'hui, samedi 22 décembre -11 jours après la mystérieuse tuerie strabourgeoise du 11 décembre, les Gilets jaunes déploient sous un ciel de pleine lune leur "acte 6" dans Paris (entre Montmartre et les Champs Élysées) ainsi que dans le reste de la France.
Panamza a collecté ci-dessous les dernières sources d'"analyse", ouvertement ou discrètement engagées pour Israël, à prédire (sur la base d'infographies prétendument issues des réseaux Daech) un attentat pour cette journée ou durant les fêtes de fin d'année.
Il s'agit notamment du MEMRI et de l'ESISC, centre dirigé par le Bruxellois Claude Moniquet (l'ancien espion et militant ultrasioniste passé par un kibboutz qui avait réactivé son compte Twitter au matin du 13 novembre 2015…).
À vous de juger.
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Carnage du 13-Novembre : le Mossad avait prévenu les Rothschild
INFO PANAMZA. La source des "officiels juifs" ayant été secrètement "avertis" -selon un journal israélien- de l'imminence des attentats djihadistes de Paris : le Mossad. Également informé en avance : Bernard Cazeneuve, alors ministre de l'Intérieur. Révélations.
Le 21.12.2018 à 17h17
Lentement mais inexorablement : la vérité se répand comme une trainée de poudre…explosive.
Le 15 novembre 2015, deux jours après les attentats qui ont ensanglanté Paris, Panamza rapportait la troublante révélation -parue la veille- d'un quotidien israélien :
Vendredi matin, les responsables de la sécurité au sein de la communauté juive auraient appris "l'imminence d'une large attaque terroriste" selon The Times of Israël. L'auteur de cette confidence : le bien informé Jonathan Simon-Sellem (alias JSS), extrémiste franco-israélien de la cause sioniste et grand ami de Meyer Habib.
Le 18 novembre 2015, Panamza signalait l'altération de l'article paru dans la presse israélienne. La mention initiale et précise de "vendredi matin", moment de l'avertissement, a été remplacée par une expression édulcorant l'information originelle : "pendant des mois".
Le 19 novembre 2015, Panamza identifiait le principal "officiel" chargé en France de la "sécurité de la communauté juive" : le baron multimillionnaire Éric de Rothschild, un promoteur de Caroline "Sayan" Fourest et militant au niveau mondial (à l'instar de son cousin milliardaire David de Rothschild) du communautarisme judéosioniste.
https://www.youtube.com/watch?v=i42Z3AnoNV8
https://www.youtube.com/watch?v=_UtfhNP555E
Le 22 février 2016, je fus -fondateur de Panamza- placé en garde à vue en représailles de ma démonstration -jamais réfutée sur le fond par les innombrables chiens de garde d'une presse sous contrôle sioniste– de l'origine israélienne de la photo-choc-et-bidon du Bataclan.
https://www.youtube.com/watch?v=WwLD4c0GYuE
Le 23 juin 2016, Panamza soulignait la libération-surprise de Lazez Abraimi, présumé complice de Salah Abdeslam qui avait reçu un étrange message vocal sur son smartphone : "Le juif n'est pas là".
https://www.youtube.com/watch?v=vIvp5qU-prc
Le 10 novembre 2016, Panamza révélait l'origine des photos inédites d'un terroriste du Bataclan : le Memri, officine de propagande dirigée par un haut-gradé du Mossad (puissants services secrets israéliens qui détiennent le record mondial d'assassinats) et favorable à une certaine…Caroline Fourest.
Le 19 novembre 2016, Panamza indiquait la spécificité troublante de l'agent du chanteur mythomane du Bataclan, salle possédée par une famille engagée -depuis les années 80- auprès de l'armée israélienne : il s'agit d'Ari Emanuel, fils du terroriste israélien Benjamin Emmanuel.
https://www.youtube.com/watch?v=7YeJWwGw-Tw
https://www.youtube.com/watch?v=HQSBItQjWMM
Le 18 novembre 2017, Panamza identifiait –en exclusivité pour ses abonnés– "l'experte en sécurité" (prénommé Tali et rémunérée par des "officiels juifs" en contact direct avec le patron du Mossad) qui avait diffusé des sms d'alerte juste avant les attentats du 13 novembre.
Le 23 novembre 2018, Panamza désignait précisément le leader communautaire juif qui s'avère être le supérieur hiérarchique de Tali et l'ami de 30 ans de Bernard Cazeneuve, ministre socialiste de l'Intérieur (complaisant avec l'extrême droite israélienne) qui avait annoncé -détail diabolique- un acte terroriste causant exactement "130 morts" QUELQUES HEURES AVANT les attentats survenus au soir du 13 novembre 2015.
Aujourd'hui, vendredi 21 décembre 2018, Panamza est en mesure d'apporter, à partir d'un nouvel élément d'information paru fortuitement dans la presse étrangère, une pièce manquante au puzzle du 13-Novembre, l'événement terroriste simulé –au détail près– la veille et le jour même.
La source des avertissements portés à la connaissance de plusieurs dirigeants juifs français (qui l'ont ensuite relayé par sms au sein de la communauté) ET du gouvernement Valls (via Cazeneuve) était bel et bien le Mossad, l'organisation prétendument lancée à la traque (depuis 2013) d'Abaaoud (pseudo-"cerveau" des attentats) et dirigée alors par Tamir Pardo, un homme qui assume aujourd'hui l'aspect "fun" et "criminel" de ses fonctions passées…
Le mardi 18 décembre, un quotidien israélien dénommé The Times of Israel rapportait (à partir d'une divulgation diffusée par la radio publique Kan) l'implication directe (mais "diplomatiquement sensible") du Mossad pour sécuriser les communautés juives à travers le monde.
En résumé : le SPCJ ("service de protection de la communauté juive", basé dans les locaux du Fonds social juif unifié), en liaison directe avec le Mossad et trahi par Jonathan-Simon Sellem (le fou furieux sioniste à l'origine de la révélation israélienne faisant état d'officiels juifs avertis du 13-Novembre), est chapeauté par 3 individus :
* son "président" Éric de Rothschild.
* sa "directrice" Tali Ohayon.
* son "porte-parole" Ariel Goldmann, ami intime de Cazeneuve -l'agent zélé de l'obscur tandem Hollande/Valls en charge de la police qui a donc su en avance…
Et laissé faire ?
À suivre…
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Attentats de Paris : Cazeneuve faisait partie des initiés
INFO PANAMZA. Responsable de la non-intervention des militaires au Bataclan, l'ancien ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve -qui avait annoncé dans l'après-midi du 13 novembre 2015 un «attentat» imminent faisant «130 morts»- est l'ami de 30 ans du leader juif qui fut «averti» des attaques terroristes selon un quotidien israélien. Révélations.
Le 23.11.2018 à 20h48
Souvenez-vous : cinq jours après les attentats du 13-Novembre (commis un vendredi soir, au début du shabbat), Panamza rapportait une information -dévoilée puis autocensurée par une journaliste israélienne (qui sera ensuite récompensée par un lobby judéo-maçonnique)- selon laquelle des «officiels juifs» de France avaient été «avertis» -le «vendredi matin»– de «l'imminence» probable d'une «large attaque terroriste».
Embarrassé par sa confidence à la journaliste, le Franco-Israélien et communautariste fou furieux Jonathan Simon-Sellem (aujourd'hui conseiller du maire d'ultra-droite de Tel Aviv) avait tenté d'éteindre l'incendie en rectifiant ultérieurement –auprès du désinformateur Rudy Reichstadt– sa révélation.
Ce faisant, il avait réalisé une nouvelle maladresse en indiquant que l'avertissement aurait été diffusé -via SMS- par une «experte en sécurité».
Après enquête, Panamza avait pu identifier cette jeune femme dont le patronyme entier est tenu étrangement secret par les leaders de la communauté juive. Son nom et ses connexions (transitant par le Mossad) furent exposés en détail dans un article publié le 18 novembre 2017.
Aujourd'hui, vendredi 23 novembre 2018, un nouvel élément d'information corrobore et renforce l'allégation selon laquelle un clan spécifique d'activistes, voguant entre Paris et Jérusalem, étaient informés en amont et au détail près des attentats de novembre 2015.
Au coeur de ce groupe : Bernard Cazeneuve.
https://www.youtube.com/watch?v=tSAFqAAZQ1w
https://www.youtube.com/watch?v=l42abaTaljI
Aujourd'hui avocat (dans une structure liée par son fondateur aux services secrets) en charge de la défense d'une humoriste judéosioniste et positionné en retrait (relatif) de la vie politique après son mystérieux cambriolage de l'entre-deux tours de l'élection présidentielle, ce proche (relayé par le New York Times) du Crif -mais également de l'obédience maçonnique du Grand Orient de France, du Comité juif américain et de l'extrême droite israélienne– fut aussi cet ancien ministre de l'Intérieur qui n'avait pas adressé ses condoléances à la famille d'Helric Fredou, commissaire de police prétendument "suicidé" de l'affaire Charlie Hebdo/Jeannette Bougrab.
Fait troublant : critiqué ultérieurement par des familles de victimes du 13-Novembre pour sa froideur expéditive, Cazeneuve avait prédit -LE JOUR MÊME- le décès brutal de «130» personnes, soit le chiffre exact de victimes (parmi lesquelles une trentaine d'étrangers mais aucun Israélien) qui seront mortellement fauchées par les attentats du 13 novembre 2015.
https://www.youtube.com/watch?v=gbb5iSQiMvo
https://www.youtube.com/watch?v=sOOgDZBv6tk
En juin dernier, l'homme -qui fut responsable de la retenue des militaires hors du Bataclan, de la sanction d'un médecin du RAID trop bavard et des défaillances sécuritaires de l'attentat de Nice– a atteint le point culminant de sa consécration dans les hautes sphères de la géopolitique en devenant membre du Bilderberg, groupe occulte international accusé de «terrorisme» sous faux drapeau par un haut-magistrat italien.
Un élément biographique relatif à Cazeneuve -un fils de pieds-noirs d'Algérie âgé de 55 ans et fan d'Enrico Macias (chanteur longtemps associé aux anciens propriétaires du Bataclan)- est systématiquement passé sous silence par la presse écrite et audiovisuelle de l'Hexagone : sa singulière, étroite et ANCIENNE connexion (depuis le milieu des années 80) avec la communauté organisée juive-et-sioniste.
Au détour d'un récent article consacré à l'entourage proche de Cazeneuve, Panamza a répéré un individu intimement lié aux intégristes juifs et à l'appareil d'État israélien: il s'agit d'Ariel Goldmann.
Ce dernier fait figure d'avocat de Cazeneuve dans une affaire en cours l'opposant à Jean-Luc Mélenchon, bête noire des sionistes.
Cazeneuve et Goldmann sont des amis de longue date : entre 1982 et 1985, ils ont tous deux cofondé (avec l'ultrasioniste François Zimeray) un atelier de réflexion lié au Parti socialiste.
Particularité de Goldmann, 55 ans, fils et petit-fils de rabbin : fan du raciste anti-arabe Naftali Benett et empressé de poser fièrement derrière Netanyahou lors de sa venue en juin 2018, il préside le Fonds social juif unifié et exerce ainsi le rôle de porte-parole du SPCJ, le groupe de la communauté juive présidé par Éric de Rothschild (plus bas, à l'image avec Cazeneuve) et dirigé par "l'experte en sécurité" citée plus haut.
Résumons :
– des "officiels juifs avertis" de l'imminence des attentats du 13 novembre.
– une "experte en sécurité", Tali Ohayon, diffusant des SMS auprès de ses co-religionnaires pour les mettre en garde.
– son employeur, Éric de Rothschild, notoirement engagé en faveur d'Israël.
– son ex-supérieur, Ron Azogui, aujourd'hui installé en Israël.
– une structure, le SPCJ, dont le créateur Pierre Kauffmann était proche d'Israël au point de gérer la protection physique des diplomates israéliens basés à Paris.
-une structure, le SPCJ, dont le porte-parole est un vieil intime du ministre de l'Intérieur.
-un ministre de l'Intérieur qui prédit -quelques heures avant- un attentat et son nombre exact de morts.
– un attentat multisites imputé exclusivement à une cellule islamiste activée un vendredi 13, au début du shabbat (les juifs pratiquants alors confinés chez eux).
– le responsable désigné de cette cellule islamiste, officiellement "traqué" depuis 2013 par le Mossad.
– un membre de cette cellule islamiste, surveillé dès l'été 2014 (via Facebook) par une officine israélo-américaine liée au Mossad.
– un patron du Mossad, Tamir Pardo, en lien amical et direct avec les principaux dirigeants de la communauté juive.
– un nouveau patron du Mossad, le religieux Yossi Cohen (depuis janvier 2016), parfaitement francophone en raison de son séjour à Paris en tant que référent et recruteur d'agents sur le territoire français.
À suivre…
HICHAM HAMZA
Bonus : pour en savoir plus sur l'affaire du 13 novembre, consultez le dossier de Panamza.
Pour contribuer à mes frais d'avocat dans la procédure relative à la publication de mon enquête, cliquez ICI.
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Daech en congés ? Aucun incident terroriste durant le 11-Novembre
Le 11.11.2018 à 21h12
C'est la question TABOUE du jour
(amateurs du terme neuneu "complotisme", ménagez votre cerveau et votre rythme cardiaque : quittez au plus vite la lecture de cet article).Comment un rassemblement aisément accessible et comportant des milliers de personnes -dont 70 chefs d'État- n'a-t-il pas fait l'objet de la MOINDRE tentative d'action terroriste ?
***Précision en guise d'anticipation à l'attention des apprentis censeurs de Panamza : il ne s'agit évidemment pas là d'une "apologie du terrorisme" mais d'un questionnement légitime dans un État de droit***
Rappels :
* depuis les attentats de janvier 2015 imputés à des hommes (dont certains cagoulés) prétendument liés à Al-Qaïda et Daech, la France est censée affronter une "forte menace terroriste" (ce qui ne l'a pas empêché d'organiser aussitôt la dangereuse marche "Charlie" du 11 janvier 2015).
* au moins 271 djihadistes français seraient rentrés sur le territoire national et plus de 18 500 personnes seraient inscrites dans le "fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste" {http://www.lepoint.fr/
societe/ gerard-collomb-271-djihadis tes-francais-sont-rentres- en-france-06-08-2017-21483 43_23.php}. Tandis que les médias français valident sans sourciller (depuis 2012 et l'affaire Merah jusqu'au récent attentat-express du Super U de Trèbes) la version officielle (délivrée par tous les gouvernements successifs -via un Parquet de Paris sous contrôle sioniste) selon laquelle le terroriste-islamiste-type peut être un tireur, un poignardeur, un poseur de bombe, un "camionneur fou" ou un kamikaze enserré dans une ceinture d'explosifs, AUCUN journaliste de la presse traditionnelle n'a publiquement signalé cette anomalie : hier et aujourd'hui, pas le moindre incident à caractère terroriste – y compris "artisanal"- durant les commémorations du 11-Novembre.
Question élémentaire en conséquence : qui contrôle véritablement Daech ?
Souvenez-vous du 13 novembre 2015 : rarissimes furent les commentateurs à s'étonner explicitement de l'attitude curieuse et irrationelle de la majeure partie des terroristes – quatre sur sept s'explosant aux abords du Stade de France en étant isolé ou dans un bar peu bondé et quelconque (le Comptoir Voltaire){https://
www.huffingtonpost.fr/2015/ 11/15/ kamikazes-stade-de-france-m ystere-comportement_n_8568 314.html}.
.
Daech et ses assassins sont une réalité : tangible, logistique et sanglante.Reste à savoir qui décide -en amont- de ses opérations de terreur commises sur le sol français.
Et dans quels buts -littéralement…occultes.
Démystifier la propagande de la "guerre contre le terrorisme", exposer ses artisans et démasquer ses idiots utiles (les "anticomplotistes" de tous bords) est un impératif -politique, civique et journalistique.
Pour en savoir plus sur les opérations "Charlie/HyperCacher" & "13-Novembre": http://www.panamza.com/
charlies;http://www.panamza.com/ cabale-vendredi13 -
Attentat contre Macron : le suspect voulait utiliser Vincent Lapierre
INFO PANAMZA. Suspecté d'un projet d'assassinat du Président Macron, le meneur d'ultra-droite qui suivait Le Pen, Conversano et Europe-Israël a tenté de joindre Lapierre pour sa promotion. La preuve en sources.
Le 10.11.2018 à 12h33
Vendredi 9 novembre, ils ont avoué dans les locaux de la DGSI.
Selon Franceinfo et Le Figaro, le meneur "Jean-Pierre B. aurait ainsi prévu de s'attaquer directement, et avec l'aide d'un couteau, au Président, lors de son bain de foule à Charleville-Mézières, dans les Ardennes".
https://www.youtube.com/watch?v=_5r1z6r4ILU
Une recherche par mot-clés permet de retrouver son identité sur Facebook, réseau social sur lequel le terroriste présumé disposait de deux comptes.
Surprise, surprise : l'individu -qui affichait sa volonté de se rendre au Bataclan pour protester contre le concert prévu de Médine et son goût (mention "j'aime") pour les pages Facebook du clan Le Pen, Dupont-Aignan, Philippot, Suavelos (Conversano), Sputnik, RT France, Europe-Israël, TV Libertés et "les reportages de Vincent Lapierre"– a tenté de se faire connaître… via Vincent Lapierre.
Panamza vous propose de consulter directement, ci-dessous, les liens de ses deux comptes Facebook et le post -datant du 25 mai- dans lequel Jean-Pierre Bxxxxx affirmait contacter Lapierre (ex-militant d'E&R parti en juillet/préparé en ce sens depuis novembre 2017) afin de s'en servir comme d'un moyen de "communication"…
Un mois plus tôt, le 16 avril, il rédigea également un long texte (à découvrir ci-dessous) en guise de manifeste politique et à destination des "patriotes".
Voici ses deux comptes : ici et là.
Le post : par ici.
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13-Novembre : le passé américano-sioniste d'une mythomane présumée
INFO PANAMZA. Elle parle hébreu, se forma dans une université US sous contrôle sioniste et séjourna à Jérusalem quelques semaines avant les attentats de Paris. Découvrez le patronyme, les connexions et le parcours intriguant d'une fausse victime présumée du commando des terrasses.
Le 01.10.2018 à 14h11
Mardi 2 octobre, elle sera jugée au tribunal correctionnel de Paris pour escroquerie et faux témoignage.
Âgée de 32 ans, la "danseuse classique" et "ex-assistante de direction" de L'Oréal (un groupe dont le PDG Jean-Paul Agon fut récompensé par le radical "Comité juif américain" pour son implication en faveur d'Israël) est notamment soupçonnée d'avoir escroqué à hauteur de 20.000 euros le Fonds de garantie des victimes de terrorisme.
La particularité de cette femme dénommée Alexandra Damien : entre 2002 et 2007, elle a suivi ses études à l'Université de Floride présidée par l'ultra-sioniste Judy Genscht et basée dans la ville de Tampa, un bastion de la communauté juive américaine engagée pour Israël.Du 11-Septembre à l'attaque de la discothèque d'Orlando, la Floride du Sud est réputée constituer une plaque tournante, à la fois pour les réseaux terroristes islamistes et les militaires israéliens de passage aux États-Unis.
De 2007 à 2009, Alexandra Damien séjourna à New York avant un nouvel exil, courant 2010/2011, en Australie.
En juin 2015, Alexandra Damien (qui parle hébreu mais aussi suédois, japonais, allemand) était à Jérusalem, siège de l'association médicale United Hatzalah (contrôlée par le Mossad) qui diffusa la photo-choc-et-bidon du Bataclan.
Mi-décembre 2015, un mois seulement après sa prétendue blessure par balle à la terrasse du Carillon, elle s'afficha -tout sourire- sur les réseaux sociaux pour fêter un "joyeux Noël et un joyeux Hanouccah" à ses followers.
{SOURCES:
*https://www.la-croix.com/France/ Attentats-13-Novembre-Alexa ndra-D-fausse-victime-pres umee-jugee-mardi-2018-10-0 1-1300972793
*https://www.lexpress.fr/actualite/societe/ 13-novembre-une-nouvelle-fa usse-victime_2021003.html
*https://www.cnews.fr/france/2015-11-14/ reportage-les-parisiens-tem oignent-sur-les-lieux-des- attentats-715847
*https://www.instagram.com/p/-EK_3ZE7eq/
*https://youtu.be/InufVYDvKO4?t=1m57s
*http://fr.viadeo.com/fr/profile/alexandra.damien3
*https://www.cosmeticsdesign.com/ Article/2011/10/06/ L-Oreal-CEO-honoured-by-Jew ish-Committee-in-New-York
*https://twitter.com/Panamza/statuses/ 1042880974571425794
*https://artform.co/u/RxGv8Q
*https://artform.co/u/29GjkR
*https://artform.co/u/qQMrBR
*https://electronicintifada.net/ content/ how-israel-buys-loyalty-us- university-administrators/ 13399
*https://mondoweiss.net/2014/04/ university-condemned-settle ments/
*https://en.wikipedia.org/wiki/ Judy_Genshaft#Connections_t o_Israel
*https://www.tampabay.com/news/politics/stateroundup/ from-911-to-orlando-attack- florida-a-den-for-terror-p lots/2282151
*https://www.tampabay.com/florida-politics/buzz/2018/ 09/28/ south-florida-jewish-voters -become-key-targeted-demog raphic-in-governors-race/
*https://www.timesofisrael.com/ beyond-beaches-florida-seek s-to-lure-israeli-startups /
*https://books.google.fr/books?id=LN7E0U2QDhUC&lpg=P R7&ots=NuEY3zMc3A&dq=ISRAE L+9%2F11+SHORES+FLORIDA+HO LLYWOOD&hl=fr&pg=PR7#v=sni ppet&q=congruence&f=false
*http://www.panamza.com/140718-bataclan-manipulatio n}. SOUTENEZ L'INFO-PANAMZA !
http://www.panamza.com/page-de-compte/ niveaux-dadhesion -
"Dix minutes" avant l'attentat du Bataclan, le chanteur sataniste avait annoncé "une grosse surprise"
INFO PANAMZA. Une rescapée du Bataclan révèle un fait étrange : Claude Askolovitch, journaliste sioniste et ami de Valls, lui coupe la parole. La preuve en vidéo.
Le 09.06.2018 à 18h08
Souvenez-vous de Jesse Hughes, le rocker sataniste et ultra-sioniste du concert du 13-Novembre (organisé par le fils d'un terroriste israélien) qui avait menti lors de son témoignage larmoyant sur la web-tv américaine Vice.
Selon une rescapée du Bataclan, interviewée sur Arte le 13 novembre dernier, le chanteur avait annoncé une "grosse surprise" "10 mn" avant les premiers tirs.
Le récit -qui aurait mérité d'être développé- de ce fait étrange (la tournée du groupe Eagles of death metal ne prévoyait aucune "surprise" en milieu de concert) par Caroline Langlade a curieusement été interrompu sèchement et inutilement par Claude Askolovitch, militant sioniste lié intimement à Manuel Valls (alors Premier ministre).
Extrait de la vidéo (à partir de 4'30) :
https://www.youtube.com/watch?v=Fy7hRzdRfFU
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Du 11-Septembre au 13-Novembre : la connexion franco-israélienne
INFO PANAMZA. Découvrez l'étrange fil conducteur entre la vidéo exclusive du 11-Septembre et le documentaire-évènement sur les attentats de Paris : l'engagement sioniste des réalisateurs et producteurs.
Le 01.06.2018 à 16h57
En 2016, à l'occasion des 15 ans du 11-Septembre, Panamza dévoilait une information-clé sur la genèse du mythe officiel.
11-SEPTEMBRE : LE FRANCO-AMÉRICAIN À L'ORIGINE DE LA PREMIÈRE VIDÉO-CHOC ÉTAIT LIÉ À UN MÉCÈNE DE L'ARMÉE ISRAÉLIENNE.
À gauche de l'image : le documentariste franco-américain Jules Naudet.
Souvenez-vous : au lendemain du 11 septembre 2001, ses images avaient été diffusées dans le monde entier. Il fut celui qui avait réalisé la seule vidéo de l'arrivée du premier avion et de son crash dans le World Trade Center. Jules Naudet avait raconté être en train tourner un documentaire sur les pompiers new-yorkais (avec son frère Gédéon) quand il observa -"par hasard"- le passage bruyant d'un avion dont il dit avoir pu lire les mots "American Airlines" {https://youtu.be/
4xvF-gTVxuE; https://youtu.be/ rV2RbYup9FM; http://panamza.com/byc}.
https://www.youtube.com/watch?v=Ys41jnL2Elk
Le 11 septembre 2016, CNN diffusa une nouvelle version de son documentaire sur l'évènement {https://youtu.be/
s2dv62WbnnI; http://panamza.com/byd}.
https://youtu.be/s2dv62WbnnI
À droite de l'image : le producteur américain Benjamin Silverman. En mars 2002, il a créé sa première compagnie -dénommée "Reveille"- pour produire le documentaire des frères Naudet sur le 11-Septembre. Sa particularité : l'homme -qui s'est marié en Israël, pays dans lequel il va régulièrement puiser des sujets de film- est membre et généreux donateur de "l'Association des amis de l'armée israélienne". Silverman a également été décoré par la "Ligue anti-diffamation", influent lobby sioniste aux États-Unis{http://panamza.com/bxo;http://panamza.com/bxp; http://panamza.com/bxq;http://panamza.com/bxr;http://panamza.com/bxs; http://panamza.com/bxt}.
En avril 2015, Wikileaks avait dévoilé son engagement radical en faveur d'Israël à travers la publication de sa correspondance électronique avec des cadres de Sony {http://panamza.com/bxu}.
Ancien salarié de l'agence William Morris (alors dirigée par Jim Wiatt, un ami de l'agent secret israélien et producteur de cinéma Arnon Milchan), Benjamin Silverman continue d'être le principal délégué des frères Naudet : au printemps, il fut en charge de négocier l'acquisition de leur film actualisé par CNN -diffusé le 11 septembre 2016 {http://panamza.com/bxv;http://panamza.com/bxw; http://panamza.com/bxx}.
À noter : les frères Naudet ont été formés à la réalisation audiovisuelle au sein de la Tisch School of Arts, prestigieux établissement new-yorkais dont le nom provient de Laurence Tisch, ancien président de la chaîne américaine CBS (qui avait acheté leur film) et généreux mécène de la cause sioniste {http://panamza.com/bxy; http://panamza.com/bxz; http://panamza.com/bya}.
Rappel : le 11-Septembre est essentiellement une opération israélo-américaine sous faux drapeau islamiste {http://panamza.com/byb}.
https://youtu.be/rV2RbYup9FM
Fin 2016, le père du tandem, un éminent photographe dénommé Jean-Jacques Naudet et autrefois basé à New-York (pour le compte des éditions Hachette Filipacchi), avait d'ailleurs fait scandale en défendant la "liberté sexuelle" de David Hamilton, collègue accusé de pédophilie et retrouvé suicidé.
https://www.youtube.com/watch?v=jyWoZnTmf8c
Aujourd'hui, vendredi 1er juin, les frères Naudet font leur réapparition sur la scène médiatique avec la diffusion -via Netflix- de leur nouveau documentaire co-produit par Marie Drucker (une animatrice de l'axe Paris-Tel Aviv) et mis en musique par Nathaniel Méchaly (un compositeur de l'axe Paris-Tel Aviv): "13-Novembre : Fluctuat Nec Mergitur".
https://youtu.be/eNC4903jO3I
Surprise, surprise.
En recherchant l'identité du producteur principal du film consacré aux sinistres et mystérieux attentats de Paris, Panamza a découvert un personnage particulièrement impliqué dans la propagande pro-israélienne : il s'agit de Ben Silverman, l'homme (cité plus haut et financé aujourd'hui par The Raine Group de Joseph Ravitch, ex-banquier de Goldman Sachs) qui avait déjà produit le film des Naudet sur le 11-Septembre.
Deux éléments d'information complémentaires soulignent ce marqueur sioniste :
* Patron de CBS dans les années 90, Tisch s'était associé en 1992 avec Larry Silverstein, l'ami intime de Benyamin Netanyahou et futur acquéreur (en juillet 2001) des tours jumelles du World Trade Center. La dénomination explicite de leur entreprise : Israel Export Development.
* En 2001/2002, le patron de CBS Television (l'antenne qui a produit et diffusé le film des frères Naudet) était Leslie Moonves, membre d'un lobby ultra-sionistedénommé "Centre Simon Wisenthal" qui s'avère être le petit-neveu de David Ben Gourion, criminel de guerre et fondateur de l'État d'Israël.
Panamza reviendra sur le sujet après avoir visionné et décrypté les 3 heures du documentaire aujourd'hui mis en ligne.
À suivre…
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Attentat "djihadiste" de Magnanville : une policière en garde à vue
INFO PANAMZA. Franc-maçonnerie, djihad, réseaux israélo-américains, police du renseignement et clan Valls. Découvrez en détail le dernier rebondissement de l'obscure affaire de Magnanville : le placement en garde à vue d'une major de police intéressée par la question terroriste et liée aux deux victimes de l'attentat de 2016.
Le 10.04.2018 à 18h08
Que s'est-il vraiment passé ce 13 juin 2016 dans la petite commune francilienne de Magnanville?
Révélé hier par la presse hexagonale, le nouveau rebondissement de l'enquête sur la mystérieuse tuerie est spectaculaire.
Le Parisien et Franceinfo rapportent un élément crucial d'information : la policière mise en garde à vue travaillait au moment des faits dans le commissariat de Mantes-la-Jolie, lieu dans lequel furent affectés les deux policiers poignardés.
Autre fait troublant : cette policière syndicaliste avait hébergé une jeune femme dite "radicalisée" et aujourd'hui incarcérée après la stupéfiante découverte en sa possession d'un fichier contenant les noms de 2626 agents du renseignement.
Avant d'aller plus loin, rappel ci-dessous des informations inédites sur l'affaire de Magnanville qui furent publiées par Panamza dès le 14 juin 2016.
LAROSSI ABBALLA : LA PREMIÈRE AGENCE AYANT ANNONCÉ LA MISE EN LIGNE DE SA VIDÉO EST DIRIGÉE PAR L'ISRAÉLO-AMÉRICAINE RITA KATZ.
Mardi 14 juin, à 15h55 précisément, un organisme américain dénommé "SITE" fut le premier groupe constitué à annoncer sur Internet -via Twitter- la mise en ligne de la vidéo de Larossi Abballa, auteur présumé du double assassinat de Magnanville.
Rappel : généralement présentée par la presse occidentale comme un simple "centre de surveillance des sites islamistes", SITE est plus exactement une officine de propagande dirigée par une ultra-sioniste israélo-américaine dénommée Rita Katz.
Cette dernière s'est notamment fait connaître sur la scène internationale par son obtention exclusive de documents audiovisuels imputés aux dirigeants d'Al Qaïda.
Dès le lendemain des attentats de Paris, SITE avait été également le première organisation à relayer la prétendue revendication officielle de l'État islamique
{http://www.panamza.com/01122015-daesh-rita-katz}. Détail à souligner : en France, la première annonce de la vidéo revient au tandem David Thomson (16h25)-"VegetaMoustache"(
16h00) qui incarne -pour l'audience francophone- la même démarche pseudo-indépendante de SITE {https://twitter.com/ _DavidThomson/status/ 742724743078522880; https://twitter.com/ VegetaMoustache/status/ 742718482274516992; https://www.facebook.com/ panhamza/photos/ a.259863080821062.107374182 7.258337060973664/ 675969389210427}. POURQUOI LE "DJIHADISTE" LAROSSI ABBALLA A-T-IL DIFFUSÉ SA VIDÉO-CONFESSION À UN JOURNALISTE PROCHE DES RÉSEAUX ISRAÉLIENS ?
L'assassinat d'un policier et de sa compagne, survenu hier à Magnanville, a été revendiqué en vidéo -via l'application Facebook Live- par son auteur présumé Larossi Abballa.
David Thomson, journaliste de la radio publique RFI, affirme avoir eu accès à cette vidéo de "13 minutes" avant sa suppression par Facebook. "Larossi Abballa était dans ma liste de contacts Facebook mais je ne le connaissais pas" a-t-il fait savoir aujourd'hui via Twitter {http://panamza.com/bpz}.
Aballa, ex-délinquant multirécidiviste âgé de 25 ans et livreur à domicile qui avait immatriculé son entreprise de restauration le 19 avril, se serait donc abonné au compte Facebook de "l'expert du djihadisme" David Thomson, suivi à ce jour par 1435 abonnés {http://panamza.com/bqa}.Thomson aurait alors découvert -par hasard et sur son mur d'actualité- la vidéo diffusée par l'un de ses 1435 abonnés, inscrit d'ailleurs non pas via son compte Facebook homonyme ("Larossi Abballa") mais à travers un autre compte dénommé "Mohamed Ali" {http://panamza.com/bpy}.
Il aurait donc été le seul journaliste à pouvoir ainsi visionner dans la nuit de lundi à mardi la vidéo d'Abballa -mise en ligne hier à 20h52- et diffusé ensuite un résumé de ses revendications.
Qui est Thomson?
Membre d'une radio noyautée par des proches du Bétar (groupuscule ultra-sioniste) selon son ancien responsable Richard Labévière, Thomson avait relayé au lendemain des attentats du 13 novembre (avec ses camarades anonymes de Twitter surnommés "Gilles N" et "Jacques Raillane") la première revendication de Daesh dans les minutes qui ont suivi sa prétendue "divulgation" par SITE, officine dirigée par la propagandiste israélo-américaine Rita Katz {http://www.panamza.com/
01122015-daesh-rita-katz/; https://youtu.be/ NmGOB8f-oHE}. Jamais critiqué ou interrogé sur son parcours opaque antérieur ainsi que sur le caractère extraordinaire de sa dernière découverte par la presse traditionnelle (notamment par Mediapart qui l'invite régulièrement ainsi que par Patrick Cohen de France Inter), Thomson -qui apparaît sur la scène médiatique en 2011, à la faveur de l'invasion de la Libye- avait collaboré, en complément de RFI, avec France 24, l'antenne alors supervisée par Franck Melloul, fondateur de la chaîne israélienne i24news {https://youtu.be/
6Ybn464NCpg; https://youtu.be/ Q7oiCAC0ejo;https://youtu.be/ lgtG5gGv9mY; https://youtu.be/ N_ePWMIgzZg}. L'homme participe depuis le début du phénomène djihadiste en France à sa dramatisation anxiogène sur la scène médiatique. Le 25 avril 2014, sur le plateau de Ce soir ou jamais, Thomson avait d'ailleurs été taclé par l'avocat William Bourdon et le sociologue Raphaël Liogier pour avoir déclaré, aux côtés de l'agent d'Israël Marek Halter, que "tous" les djihadistes partis en Syrie veulent revenir commettre des "actes terroristes" en France {https://youtu.be/
-aIenzueXvo?t=20m53s; http://panamza.com/bpx}. Mise à jour du billet ci-dessus : juste après avoir reçu le prix Albert-Londres, le "spécialiste" David Thomson -récemment encensé sous la plume du rédacteur judéosioniste Alexandre Devecchio du Figaro– s'est exilé aux États-Unis comme prétendu "correspondant" pour RFI (2 chroniques en un an…).
Qui est la policière placée hier en garde à vue, comme le furent également ses deux enfants âgés de 26 et 30 ans?
Un premier détail interpelle : quelques heures après la divulgation de son patronyme complet sur leurs sites respectifs, L'Express et L'Obs ont rétropédalé en occultant son nom, contrairement au quotidien britannique The Guardian qui l'affiche aujourd'hui dans ses colonnes (preuve par le cache Google que tout un chacun peut consulter).
À partir de son identité complète, il devient aisé d'apprendre que Maryline "B.", devenue brigadier-chef en janvier 2014, fut la secrétaire régionale (et non "départementale" comme l'écrivent certains médias) d'Alliance, puissant syndicat classé à droite.
Particularité de ce syndicat dont le patron issu de la droite de la droite Jean-Claude Delage (audible plus haut, à propos de Magnanville) est proche de l'influent trio Valls/Bauer/Fouks : son imbrication avec les réseaux maçonniques comme en témoigne l'enquête de la journaliste et experte du sujet Sophie Coignard.
Nul ne connaît, à ce jour, les positions politiques précises de Maryline "B": en mai 2016 (un mois avant le meurtre de ses deux collègues du commissariat de Mantes-la-Jolie), elle avait accordé une brève et laconique interview sur la haine "anti-flics" à la télévision locale Yvelines Première.
Plus intéressante fut sa curieuse participation à un long débat -animé par Patrice Carmouze- sur les attentats du 13 novembre 2015.
Peu à l'aise avec l'expression orale, le brigadier-chef (qui allait bientôt être promue major) doute tout haut de l'utilité de la police de proximité pour dissuader des radicalisés et souligne au passage que les jeunes djihadistes rejettent aussi bien la France que leur éventuel pays d'origine.
https://www.youtube.com/watch?v=uSBMqplpkqA
Affaire à suivre…
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Attentats de Paris : le patron du PS avait pistonné le "témoin miraculé"
Exclusif. Panamza s'est procuré un courrier privé de 2014 adressé par Olivier Faure, nouveau patron pro-israélien du PS, à Christian Eckert, alors secrétaire d'État au Budget, en faveur de Bley Mokono, premier «témoin miraculé» des attentats du 13 novembre 2015.
Le 21.03.2018 à 12h57
Souvenez-vous : le 3 mars 2016, Panamza publiait une enquête consacrée aux protecteurs haut-placés (François Hollande, Manuel Valls, Claude Bartolone, entre autres) du premier "témoin miraculé" des évènements survenus le 13 novembre 2015 dans l'agglomération parisienne : Bilal Bley Mokono, 39 ans, ex-chauffeur de François Hollande, proche de la franc-maçonnerie et "conseiller technique" au ministère de l'Intérieur (depuis janvier 2016).
Le 19 mars 2016, au lendemain de l'annonce de l'arrestation de Salah Abdeslam, le "rescapé" a été sollicité par France 2, France 3, BFM TV et I-Télé pour faire connaître, la démarche ostensiblement boîtante (comme l'ont souligné des internautes sceptiques), son "soulagement".
https://youtu.be/hm6wCY9gQWI
Deux jours plus tard, il était de nouveau invité par la chaîne BFM TV, au micro de Nathalie Lévy, pour dénoncer les "lourdeurs administratives" endurées par les familles de victimes.
https://youtu.be/C2838x-RQho
Le 23 mars 2016, il affirma au Parisien -premier média à l'avoir complaisamment exposé, dès le 14 novembre 2015- un propos inédit : il aurait non seulement été le seul témoin à avoir vu -avant les explosions- deux des trois "kamikazes" présumés mais, nouvelle allégation, leur chauffeur Salah Abdeslam.
« J’ai raconté ça aux policiers quand j’ai été entendu.
L’un d’eux m’a dit :ferme les yeux et balaie la scène dans ta tête.
J’ai revu cette voiture noire et le regard de l’homme maghrébin qui était dedans.
Pour moi, c’était Salah Abdeslam »
Depuis le retour médiatique de Mokono, un homme (soutenu par le Crif) qui affirme aujourd'hui être "paraplégique", Panamza a obtenu auprès d'une source de nouveaux éléments d'information au sujet de ce personnage influent et redouté dans le Val-d'Oise, à la fois proche des barons socialistes et de l'opposition iranienne adoubée par l'axe Washington-Tel Aviv.
En juin 2014, le député socialiste Olivier Faure (proche de François Hollande) -aujourd'hui désigné pour devenir le futur patron du parti– avait adressé une lettre à Christian Eckert, secrétaire d'État au Budget. La requête singulière du parlementaire en une phrase manuscrite : "Merci de regarder ou faire regarder ce que tu peux faire pour aller vers la mise en place d'un échéancier".
Faure -dont la circonscription en Seine-et-Marne ne recouvre pourtant pas la ville de Cergy (Val-d'Oise), fief de Mokono- demanda à Eckert d'intervenir personnellement pour sauver la compagnie "Marvin Maryan Security" dont "Bley Nikouline Mokono Galima" est "actionnaire".
Détail à souligner : le 21 mai 2015 -soit un mois après l'arrivée de son protecteur Manuel Valls à Matignon, sa compagnie changea de nom pour être désormais identifiée sous l'appelation audacieuse de…"Matignon services de sécurité".
La médiation de Faure ne suffira pas : un an après, la compagnie endettée sera finalement placée -à la date du 30 novembre 2015– en redressement judiciaire.
Rappel : durant "tout l'automne" 2015, Mokono avait habilement prévu une porte de sortie en sollicitant, via ses soutiens à l'Élysée, un poste -qu'il finira par obtenir en janvier- au sein du CNAPS, l'organisme public sous la tutelle d'un individu sulfureux : Alain Bauer, franc-maçon emblématique du Grand Orient de France, intime des hautes sphères policières du camp atlantiste, camarade de Valls, féru d'ésotérisme et collaborateur -méconnu- du Mossad.
À noter, au sujet de Faure : subtil défenseur d'Israël -qu'il osa comparer (durant la guerre de Gaza) au Christ entamant son chemin de croix, Olivier Faure partage sa vie avec Soria Blatmann, ex-collaboratrice d'Emmanuel Macron qui vient de rejoindre Audrey Azoulay, patronne de l'UNESCO liée aux réseaux sionistes.
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Attentats et franc-maçonnerie : le "témoin miraculé" avait travaillé pour Hollande
Le 30.01.2018 à 13h46
Le 13 novembre 2016, un an après les attentats de Paris, plusieurs organes de la presse écrite et audiovisuelle avaient rapporté le témoignage "bouleversant" de Bilal Bley Mokono, présenté comme le "témoin miraculé" de la première explosion du Stade de France {http://panamza.com/cdu; http://panamza.com/cdv;
http://panamza.com/cdw; http://panamza.com/cdx} .
Le journal télévisé de 20h sur France 2 avait notamment diffusé les images de Mokono réconforté par François Hollande {http://panamza.com/cdy}.
L'image symbolique avait également été capturée par l'AFP (agence de presse sous contrôle étatique) et relayée par la presse quotidienne régionale. La légende de la photo : "Le président Hollande s'entretient avec un vigile, victime des attentats de l'an dernier, lors d'une cérémonie du souvenir devant le Stade de France, le 13 novembre 2016" {http://panamza.com/cdz}.
De nombreux articles ou reportages avaient été consacrés à Mokono : AUCUN n'évoquait ce que Panamza révéla en détail le 19 février 2016 -trois jours avant la garde à vue de son fondateur {http://panamza.com/14481; http://panamza.com/en-gav}.
Ancien délégué national du PS, militant anti-iranien et franc-maçon parrainé par Alain Gardère (préfet mis en examen pour "corruption"), Mokono a suscité l'intérêt de l'IGPN (police des polices) pour avoir décroché -fin novembre 2015- un emploi présumé "fictif" (et lié au ministère de l'Intérieur) grâce à la recommandation de Bernard Rullier, conseiller parlementaire de François Hollande.
Depuis une dizaine d'années, Mokono est particulièrement proche de François Hollande, Manuel Valls, Claude Bartolone (présent avec Hollande, à droite de l'image) et Olivier Faure, député PS qui l'avait pistonné financièrement en 2014 {http://panamza.com/15348}.
Mokono fut notamment le chauffeur de François Hollande {https://books.google.fr/books?id=V99zDgAAQBAJ&lpg=PP1&hl=fr&pg=PP1#v=onepage&q=mokono&f=false}.
Le Monde et Mediapart (extrait en bas de l'image) avaient déjà signalé brièvement la connexion de Mokono avec le clan PS mais sans jamais souligner sa singularité dans les témoignages relatifs aux attentats.Spécificité de Mokono : il est le SEUL "témoin" à prétendre avoir vu le premier "kamikaze" se faire exploser sous ses yeux. Il affirme aussi avoir antérieurement repéré deux des trois "kamikazes" en raison de leur comportement "suspect".
Cerise sur le gâteau : le 23 mars 2016, cinq jours après l'annonce de l'arrestation de Salah Abdeslam, Mokono déclara au Parisien se souvenir l'avoir également vu "dans sa voiture noire" le soir du 13 novembre
À noter : le 19 novembre 2015, lors d'une interview décontractée avec CNN, Mokono affirmait catégoriquement que le kamikaze avait une "bombe" dotée d'une "minuterie", ce qui expliquerait pourquoi il n'a pas eu le temps de se faire exploser au milieu d'une foule rassemblée
{https://youtu.be/
1C2Z5UC5RrY?t=18s}. Problème : selon le procureur de la République, les gilets explosifs auraient seulement été dotés d'un "bouton pressoir"
Autre anomalie : sur CNN, Mokono précise être arrivé aux abords de la porte D -scène de la future explosion qu'il dit avoir vu- pour y accéder et pénétrer ainsi à l'intérieur du Stade après s'être procuré un sandwich
Problème : selon son ticket exhibé lors d'une interview accordée à Channel 4, Mokono était "invité par la mairie de Paris" ("cocktail avant-match" inclus) en "tribune officielle" accessible par la porte T… à l'exact opposé de la porte D
{https://youtu.be/
UO7q66T4jys?t=2m51s; http://panamza.com/cec}. À souligner : le 13 novembre 2015, Mokono était accompagné de son ami Rachid Temal, secrétaire national (pro-Hollande) du PS qui -depuis son séjour en Israël, en septembre 2016- a salué la mémoire du criminel de guerre israélien Shimon Peres. Temal fut également la première personnalité politique à accepter d'accorder -en dépit d'une plainte le visant pour agression sexuelle- le militant judéosioniste Frédéric Haziza
;http://www.panamza.com/
shimon-peres; https://twitter.com/Panamza/status/936726829712453638}.
Bonus : le jeudi 25 janvier, le compte Twitter du CRIF, principal lobby sioniste de France, relaya une interview particulièrement larmoyante de Mokono, présenté aujourd'hui comme un "paraplégique"
{https://twitter.com/LaMatinaleLCI/status/956056737827753985;
https://twitter.com/Le_CRIF/status/956553437768019970;
https://twitter.com/Panamza/status/958086971867521027}.
Pour en savoir plus sur les attentats de Paris, consultez le dossier de Panamza {http://panamza.com/
cabale-vendredi13}. -
Pour avoir enquêté sur l'attentat du Bataclan, je risque un an de prison
Journaliste indépendant et fondateur du site d'investigation Panamza, j'ai été mis en examen. Ma prétendue "infraction" : mes révélations sur les responsables du Bataclan ont fait l'objet d'une plainte déposée par le militant judéofasciste Sammy Ghozlan et validée par deux de ses proches -les magistrats François Molins et Annabelle Philippe.
Le 14.01.2018 à 21h33
Incroyable mais vrai : dans la France de l'ère Hollande/Macron, une enquête journalistique jugée scandaleuse par le lobby judéosioniste peut conduire la justice républicaine à mobiliser et envoyer deux policiers au domicile de son auteur.
Rappel-clé : je suis l'auteur d'une contre-enquête détaillée, sourcée et politiquement risquée sur les mystérieux attentats de janvier et novembre 2015.
https://www.youtube.com/watch?v=HQSBItQjWMM
https://www.youtube.com/watch?v=1KRF6Hcw5zY
https://www.youtube.com/watch?v=bIgq77JI3cQ
https://www.youtube.com/watch?v=vIvp5qU-prc
https://www.youtube.com/watch?v=8bxuXJb0P-U
Le 26 juillet 2017, deux hommes munis d'un brassard orange fluo s'étaient présentés à ma porte pour me remettre en mains propres un "mandat de comparution" qui "m'ordonne" de "comparaître en personne" au cabinet d'un juge parisien.
Le lendemain, j'étais formellement mis en examen pour "provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence contre les juifs et la nation israélienne".
Le plaignant : l'extrémiste franco-israélien Alain Sam (dit Sammy) Ghozlan, prétendu représentant de la communauté juive de Seine-Saint-Denis, conseiller du Consistoire et résident de Netanya, en Israël.
Le motif : une plainte avait été déposée à mon encontre -le 8 novembre 2016- par le BNVCA sous prétexte de ma publication d'une enquête précise et rigoureuse sur l'attentat du Bataclan.
Titre de mon article publié le 15 novembre 2015 et massivement partagé sur Facebook : "Le Bataclan, vendu le 11 septembre par son détenteur parti en Israël".
Il s'agissait là de ma 4ème convocation policière en trois ans et demi : "l'agent d'État" Caroline Fourest, "l'esclavagiste sexuel" Pierre Bergé et le préfet israélocharliste Gilles Clavreul (également, pour ce dernier, à propos du Bataclan) furent les personnalités -toutes étroitement liées à la nébuleuse islamophobe et sioniste- qui avaient auparavant initié une procédure judiciaire à mon encontre.
Mon interrogatoire de février 2016, suscité par le bras droit du Premier ministre ultra-sioniste Manuel Valls, s'était d'ailleurs conclu par un placement abusif en garde à vue. Pour rien : la justice disposait de 6 mois maximum pour prolonger l'enquête préliminaire par une mise en examen. Fin août 2016, j'apprenais que la procédure était abandonnée. Deux mois plus tard, le BNVCA de Ghozlan reprenait le combat judiciaire à mon encontre.
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«Les Palestiniens doivent faire la paix ou disparaître» : telle fut sa déclaration tenue, fin 2015, lors d'un rassemblement pro-israélien (en présence de Bernard-Henri Lévy et Yann Moix).
https://www.youtube.com/watch?v=UiXqy9ifESo
En mars 2016, lors d'une réunion organisée par une association israélienne oeuvrant en faveur de l'intégration des Français juifs, il désigna (à 2'28) «la conversion à l'islam» comme «un danger pour les juifs de France».
https://www.youtube.com/watch?v=iRcfcoL5AE4
Sa particularité?
Avoir fondé en 2002 -et continuer de diriger à ce jour- le BNVCA ("Bureau national de vigilance contre l'antisémitisme"), groupuscule qualifié par The Times of Israel de "liaison entre la police française et la communauté juive".
https://www.youtube.com/watch?v=NxkqabXDeL8
Membre péremptoire d'un lobby juif international dénommé "B'naï Brith", cet ex-policier (à l'origine de la création politico-médiatique de l'imam pro-israélien Hassen Chalghoumi), autrefois proche du clan Sarkozy et du Crif, adopte aujourd'hui la posture d'un islamophobe décomplexé.
Détail à souligner : Ghozlan a bénéficié d'un don de 7000 euros pour son association.
Le généreux donateur : Meyer Habib, député UDI et communautariste franco-israélien.
En 2016, cet ami intime de l'ultra-nationaliste Benyamin Netanyahou, déjà prodigue envers son propre fils, a partiellement utilisé sa réserve parlementaire (130 000 euros par an et par député, à destination "d'associations ou fondations menant des projets d’intérêt national") pour soutenir et financer le BNVCA.
Un simple coup d'oeil rapide sur l'usage de ses fonds pour les années 2016, 2015 et 2014 permet de découvrir la part stupéfiante de l'argent public accordé -via Meyer Habib- à des mouvements juifs radicaux, basés ou non en Israël, tels les Loubavitch : 3500 euros en 2016, 4000 en 2015 et 4000 en 2014.
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Rappel: tandis que les expressions "islamo-gauchiste" et "islamo-fasciste" sont régulièrement employées par divers acteurs de l'élite politico-médiatique française, celle de "judéo-fasciste" est totalement taboue dans l'espace public hexagonal, contrairement à ce qui est envisagable… en Israël.
En 1982, après l'invasion du Liban, le philosophe israélien Yeshayahu Leibowitz avait ainsi qualifié son propre État, influencé alors par les sbires du criminel de guerre Ariel Sharon, de "judéo-nazi".
Au regard de ses prises de position citées plus haut et de sa connexion étroite avec la Ligue de défense juive, il convient désormais de nommer Ghozlan pour ce qu'il est : un judéofacho.
La "führer" de Ghozlan
Ma mise en examen m'a permis d'accéder au dossier et au texte intégral de la plainte validée par le parquet de Paris.
Stupéfiant: tandis que d'innombrables plaintes sont régulièrement classées sans suite, celle –délirante– de Ghozlan à mon encontre a bien été enregistrée et validée. Son ami, le procureur de la République François Molins, a rendu un réquistoire en ce sens à la date du 13 avril.
La suite : une commission rogatoire déclenchée le 27 avril par la juge Mylène Huguet, vice-présidente du Tribunal de grande instance de Paris.
Lors de mon audition du 27 juillet, j'avais ainsi découvert que le plaignant m'avait comparé -sans rire- à Adolf Hitler. Selon Ghozlan, mes articles factuels et sourcés de Panamza seraient un «appel à la violence contre les juifs» digne de l'ouvrage «Mein Kampf».
Je serais «précisément sur le même terrain», osa rajouter -via la prose de ses avocates- l'infâme Ghozlan.
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Début janvier, j'ai reçu par courrier le "réquisitoire définitif aux fins de renvoi devant le tribunal correctionnel" -acté à la date du 29 septembre 2017. Surprise, surprise : la signataire n'est autre qu'Annabelle Marthe Rachelle Philippe, vice-procureure de la République et proche -comme son supérieur François Molins- de Ghozlan.
À quand remonte leur connexion susceptible de caractériser un conflit d'intérêts ?
En 2014, la magistrate (décorée en mai 2017 par le gouvernement de Bernard Cazeneuve, un serviteur zélé du lobby judéosioniste) accepta de se joindre à un débat sur "l'antisémitisme" qui fut organisé et supervisé par Ghozlan lui-même.
Pour contre-carrer, lecteur bienveillant de Panamza, la manoeuvre judiciaire du principal lobby politico-religieux de France, je compte sur VOUS.
Dans l'image ci-dessous figurent mes 4 phrases incriminées et odieusement présentées par la justice française comme une prétendue "provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence contre les juifs et la nation israélienne".
Ami lecteur, sachez que vous êtes directement insulté et diabolisé à travers cette tentative d'intimidation judiciaire aujourd'hui orchestrée sans vergogne par les chiens de garde du régime colonial et ségrégationniste de Tel Aviv.
Dès que possible, je vais devoir recourir aux services d'un avocat disponible, au tempérament audacieux et connaisseur du droit de la presse. Ce nouveau procès à venir sera long, fastidieux et coûteux.
La peine encourue : un emprisonnement d'un an ferme.
VOUS pouvez contribuer à garantir ma défense, matérielle et civique.
* En participant, quelque soit la somme, aux frais de justice -via un don sécurisé sur le site Paypal ou un simple virement bancaire.
* En vous abonnant à Panamza pour consolider le lectorat et renforcer la force de frappe du site.
Je ne compte pas sur les journalistes mainstream et les militants emblématiques de la scène propalestinienne hexagonale, toujours enclins à s'indigner à la moindre atteinte à leur liberté d'expression ou de manifestation mais particulièrement lâches dès qu'il s'agit d'exposer ouvertement et en pleine lumière les ramifications et agissements occultes de la nébuleuse pro-israélienne. Ils partagent avec leurs adversaires la même soumission au terrorisme intellectuel en vogue de "l'anticomplotisme", cette nouvelle et risible chasse aux sorcières -de fabrication judéosioniste– visant à discréditer sans le moindre argument de fond tout citoyen mettant en doute une version officielle de l'aire géopolitique euro-israélo-américaine.
Je compte sur VOUS, sympathisant de Panamza : votre solidarité et votre mobilisation feront la différence.
Il est grand temps que la peur change de camp.
Contrairement aux élites aujourd'hui au pouvoir, la nouvelle génération en gestation de citoyens engagés en politique devra se confronter –franchement, précisément, radicalement– à l'emprise et la nocivité du lobby judéosioniste dans l'appareil d'État français.
NOUS sommes le nombre, ils sont la minorité.
HICHAM HAMZA
Auteur, fondateur du site Panamza et journaliste d'investigation depuis 2008
Contact : [email protected]
Pour contribuer aux frais d'avocat, cliquez ICI
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Attentats de Paris : les "officiels juifs avertis" étaient liés au Mossad
Révélation. Panamza a identifié «l'experte en sécurité» (rémunérée par des «officiels juifs» en contact direct avec le patron du Mossad) qui avait diffusé des sms d'alerte juste avant les attentats du 13 novembre.
Le 18.11.2017 à 17h47
Si l'on en croit la version officielle, docilement relayée sans recul par la quasi-totalité de la presse française, le Mossad se contentait de "traquer" sans succès -depuis 2013– le Belgo-Marocain Abdelhamid Abaaoud, prétendu "cerveau" des attentats du 13 novembre 2015.
En mars 2014, BFM TV, la chaîne du milliardaire franco-israélien Patrick Drahi, avait d'ailleurs réussi à obtenir les premières images d'Abaaoud, présentées par Nathalie Levy (une animatrice qui collabore avec le Crif) et récupérées par hasard à la frontière turco-syrienne par "deux journalistes français" (Etienne Huver, récompensé ensuite par le prix -politiquement orienté- Albert Londres, et Guillaume Lhotellier, salarié du groupe médiatico-policier Comiti).
https://www.youtube.com/watch?v=b4D9VMF5vog
Toujours selon le récit officiel, les évènements survenus en cette sanglante soirée du vendredi 13 n'avaient fait l'objet d'aucun avertissement de la part d'un quelconque service de renseignements -Mossad inclus.
Francis Kalifat (président du Crif), Richard Prasquier (président du Keren Hayessod) et Tamir Pardo (patron du Mossad de 2011 à 2016).
Souvenez-vous : cinq jours après les attentats (commis un vendredi soir), Panamza rapportait une information -dévoilée puis autocensurée par une journaliste israélienne- selon laquelle des «officiels juifs» de France avaient été -le «vendredi matin»- «avertis» de «l'imminence» probable d'une «large attaque terroriste».
Embarrassé par sa confidence à la journaliste, le militant communautaire et Franco-Israélien Jonathan Simon-Sellem a tenté d'éteindre l'incendie en rectifiant ultérieurement –auprès de Rudy Reichstadt– sa révélation. Ce faisant, il avait réalisé une nouvelle maladresse en indiquant que l'avetissement aurait été diffusé -via SMS- par une "experte en sécurité".
Après enquête, Panamza a pu identifier cette jeune femme dont le patronyme entier est tenu étrangement secret par les leaders de la communauté juive.
Il s'agit de Tali Ohayon.
https://www.youtube.com/watch?v=elDIDuqRNCc
Depuis janvier 2015, elle dirige le Service de protection de la communauté juive, organe parisien fondé en 1980 par Pierre Kauffman (un ex-patron du Crif qui avait assuré la protection des diplomates israéliens basés à Paris) et dont le président n'est autre qu'Éric de Rothschild.
"Tali" était déjà chargée de la co-direction du SPCJ en 2014, aux côtés de son directeur Ron Azogui, un homme aujourd'hui installé en Israël après avoir entretemps travaillé comme responsable de la Fondation Rothschild.
Quant au baron multimillionnaire, il participait -en juin 2016- au rassemblement parisien de l'Agence juive sous la houlette du Keren Hayessod, énième organisation sioniste dirigée par Richard Prasquier, l'ex-président du Crif.
Était d'ailleurs présente pour donner une conférence sur l'antisémitisme : Tali Ohayon.
Rothschild et Prasquier sont proches : tous deux membres du comité d'honneur de l'Alliance israélite universelle, ils sont également réunis au sein du bureau exécutif de la Fondation pour la mémoire de la Shoah.
En mai 2017, Prasquier a -pour la première fois- affiché publiquement sa singulière connexion avec les services secrets israéliens en invitant Tamir Pardo, patron du Mossad de 2011 à 2016.
Présent sur la photo de groupe (plus haut, dans l'article) : Francis Kalifat, l'actuel président ultra-droitier du Crif.
Résumons :
– des "officiels juifs avertis" de l'imminence des attentats du 13 novembre.
– une "experte en sécurité", Tali Ohayon, diffusant des SMS auprès de ses co-religionnaires pour les mettre en garde.
– son employeur, Éric de Rothschild, notoirement engagé en faveur d'Israël.
– son ex-supérieur, Ron Azogui, aujourd'hui installé en Israël.
– une structure, le SPCJ, dont le créateur était proche d'Israël au point de gérer la protection physique des diplomates israéliens basés à Paris.
– des attentats imputées exclusivement à une cellule islamiste activée un vendredi 13, au début du shabbat (les juifs pratiquants alors confinés chez eux).
– le responsable désigné de cette cellule islamiste, "traqué" depuis 2013 par le Mossad.
– un membre de cette cellule islamiste, surveillé dès l'été 2014 (via Facebook) par une officine israélo-américaine liée au Mossad.
– un patron du Mossad, Tamir Pardo, en lien amical et direct avec les principaux dirigeants de la communauté juive.
– un nouveau patron du Mossad, le religieux Yossi Cohen (depuis janvier 2016), parfaitement francophone en raison de son séjour à Paris en tant que référent et recruteur d'agents sur le territoire français.
À suivre…
HICHAM HAMZA
Bonus : pour en savoir plus sur l'affaire du 13 novembre, consultez le dossier de Panamza.
Pour contribuer à mes frais d'avocat dans la procédure relative à la publication de mon enquête, cliquez ICI.
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Attentat du Bataclan : le chanteur avait menti
INFO PANAMZA. Lors de sa première interview après l'attentat, le chanteur Jesse Hugues avait fait sensation en affirmant que des spectateurs se seraient réfugiés dans la loge du groupe avant d'être abattus – à l'exception d'un «gamin caché sous ma veste». L'histoire était un bobard.
Le 13.11.2017 à 23h49
Son témoignage-choc avait suscité l'émoi à travers le monde.
Pourtant, l'ultra-sioniste Jesse Hugues avait menti.
Le 25 novembre 2015, 8 jours après l'attentat du Bataclan, le chanteur du groupe Eagles of death metal avait affirmé, les larmes aux yeux, qu'un groupe de spectateurs avait été décimé dans sa loge, à l'exception d'un "gamin caché" sous sa veste de cuir.
https://www.youtube.com/watch?v=n74HBrrFnIc&feature=youtu.be
Problème : depuis deux ans, de nombreux rescapés ont fait état de leur passage dans la loge des artistes, ensemble de pièces (contenant les affaires du groupe) dans lequel ils sont restés confinés durant 3 heures -sans le moindre mort parmi eux.
Quant au rapport officiel et exhaustif de la commission d'enquête parlementaire, il ne fait aucunement mention de specctateurs abattus dans les loges ou les locaux techniques.
Flashback : le 22 novembre 2016, Panamza détaillait le contexte de cette interview exclusive (visionnée par près de 5 millions d'internautes) de Jesse Hugues -un sataniste cordialement accueilli aujourd'hui par les autorités françaises.
ATTENTAT DU BATACLAN : L'INTERVIEW-CHOC DU GROUPE ÉTAIT SOUS CONTRÔLE ISRAÉLIEN.
Souvenez-vous : le 21 novembre 2015, la presse internationale a diffusé la "bande-annonce" de la première interview attendue du groupe Eagles of death metal, à l'affiche du Bataclan lors de l'attentat {https://youtu.be/wOeI7nRYUE4}.
Quatre jours après, le site américain Vice a publié l'intégralité de l'entretien {https://youtu.be/n74HBrrFnIc}.
L'employé de Vice qui a couvert le groupe depuis 2011 est Alex Hoffman, producteur exécutif du site et réalisateur d'un documentaire ("The Redemption of the Devil", sorti sur iTunes le 2 octobre 2015) qui fut consacré au chanteur du groupe (les deux hommes figurent à gauche de l’image).
Particularité d’Hoffman : cet Israélo-Britannique avait également produit et réalisé un reportage intitulé "Le dernier rappeur sioniste?" et favorablement consacré à Subliminal, rappeur israélien extrémiste qui déclare vouloir "brûler les prisons palestiniennes" {http://panamza.com/14408;
Quant à l'interview-choc du groupe Eagles of death metal après l'attentat, elle fut réalisée par une entreprise -Vice Media- dont les actionnaires principaux sont Martin Sorrell (président du Conseil International des Affaires de Jérusalem, membre des "Amis américains de l'Université hébraïque") et Rupert Murdoch, célèbre patron de presse ultra-sioniste lié au clan Netanyahou {https://youtu.be/aJuVskryk5E;
http://panamza.com/cey; https://youtu.be/ZUXkPQtUeEg}.
Détail-clé : depuis 2011, l'agent de Vice et de son directeur général (Shane Smith, l'interviewer du groupe) n'est autre qu'Ariel Emanuel, organisateur du concert du Bataclan et fils du terroriste israélien Benjamin Emanuel {http://panamza.com/cfa;
HICHAM HAMZA
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13 novembre : la vidéo censurée par Facebook
INFO PANAMZA. Découvrez la vidéo relative aux attentats de Paris et abusivement qualifiée de «dangereuse» par Facebook.
Le 12.11.2017 à 12h50
Le 1er novembre 2016, Panamza signalait un curieux incident à propos d'une vidéo-enquête relative aux attentats du 13 novembre.
ATTENTATS DE PARIS : FACEBOOK CENSURE UNE VIDÉO « DANGEREUSE » DE PANAMZA.
Lundi 31 octobre, Panamza a annoncé -via Facebook- la mise en ligne sur son site d'une nouvelle vidéo informative dénommée "13 novembre : des attentats simulés depuis la veille" {http://www.panamza.com/}.
Mardi 1er novembre, la publication exposant cette vidéo a été supprimée -sans préavis- de la page Facebook de Panamza.
Des lecteurs de Panamza ont également signalé aujourd'hui ne pas pouvoir relayer cette vidéo sur leur compte Facebook.
Motif invoqué par Facebook : la vidéo -qui ne comporte aucune image violente ou dégradante- ne serait pourtant "pas conforme aux standards de la communauté" et son lien URL (renvoyant directement sur Dailymotion) aurait été "détecté comme dangereux".
Rappel : depuis l'annonce -le 11 septembre 2016- de sa collaboration avec le gouvernement israélien, Facebook avait déjà supprimé 4 autres publications de Panamza -dont 2 étaient consacrées à l'attentat de Nice {http://panamza.com/facebook-hasbara}.
Voici, ci-dessous, la vidéo en question.Faites vous-même le test : tentez de partager son lien Dailymotion sur Facebook. Un message d'alerte vous indiquera que ce lien est "bloqué".
À vous de juger de sa prétendue "dangerosité".
HICHAM HAMZA
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Un proche de Macron avait annoncé les attentats de 2015
INFO PANAMZA. Les emails piratés de l'équipe Macron révèlent qu'un conseiller du Président avait étrangement anticipé les attentats de Paris, la Loi Renseignement et l'état d'urgence. Trois jours seulement AVANT l'attaque de Charlie Hebdo. Révélations.
Le 16.08.2017 à 22h17
L'enquête de Panamza sur les "Macron Leaks" continue.
Aujourd'hui, un nouveau volet s'attarde sur les troublants emails rédigés entre le 27 décembre 2014 et le 4 janvier 2015 par un intime d'Emmanuel Macron.
Au regard des manoeuvres actuelles d'intimidation judiciaire exercées par le parti La République En Marche envers tout journaliste exposant le contenu des "Macron Leaks", son nom ne pourra pas être dévoilé pour le moment.
Sachez simplement, cher lecteur, qu'il s'agit d'un jeune intellectuel étroitement lié -depuis le printemps 2014- à Emmanuel Macron et ses parrains du monde politico-maçonnique.
Les "Macron Leaks", publiés clandestinement sur internet le 5 mai et remis en ligne par Wikileaks le 31 juillet, révèlent que ce quasi-trentenaire, qui se tient à bonne distance de l'attention médiatique, avait utilisé sa boîte mail pour archiver, dès le 27 décembre 2014, l'esquisse d'un roman ou synopsis consacré à une "vague d'attentats" en France dont la première conséquence sera un durcissement des lois sécuritaires et "liberticides".
Plus précisément : l'apprenti romancier y fait état d'attentats qui permettront à la police d'espionner des "mails privés" et de procéder à toute "perquisition" jugée utile (sans l'autorisation d'un juge). Ces deux mesures fictives seront devenues réalités quelques mois plus tard, à la faveur de la Loi Renseignement (3 octobre 2015) et de l'instauration de l'état d'urgence (14 novembre 2015).
Plus frappant : dans son courriel daté du 4 janvier 2015 (soit 3 jours avant le déclenchement de la mystérieuse séquence terroriste de Charlie Hebdo et de l'Hyper Cacher), ce proche de Macron -aujourd'hui conseiller officiel de l'Élysée- insère dans son histoire un personnage ô combien singulier.
Dénommé Guy Nostradius (allusion à peine voilée à l'astrologue et kabbaliste Nostradamus), ce député atypique chuchote au héros "un discours complotiste: selon lui, le gouvernement orchestre lui-même les attentats qui surviennent et le plan antiterroriste est synonyme de renoncement démocratique".
À noter : le jeune homme -dont l'identité ne peut être aujoud'hui exposée, sous peine de poursuites judiciaires- a accordé l'une de ses rarissimes interviews à un média particulièrement connoté. Il s'agit de l'antenne communautaire et sioniste Radio J, au micro de Luce Perrot -une amie de l'interviewé et journaliste politique dont le mari est un ex-chanteur reconverti en rabbin installé à Jérusalem.
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Visité par la police pour avoir enquêté sur l'attentat du Bataclan
Journaliste indépendant et fondateur du site d'investigation Panamza, j'ai fait l'objet d'un "mandat de comparution" délivré par deux policiers. Mon "infraction" : mes révélations factuelles et irréfutables sur les responsables du Bataclan ont provoqué ma mise en examen pour "provocation à la haine contre la nation judéo-israélienne".
Le 21.07.2017 à 14h05
Incroyable mais vrai : dans la France de 2017, une enquête journalistique jugée scandaleuse par le lobby sioniste peut conduire la justice républicaine à mobiliser et envoyer deux policiers au domicile de son auteur.
Ce vendredi matin, deux hommes munis d'un brassard orange fluo se sont présentés à ma porte pour me remettre en mains propres un "mandat de comparution" qui "m'ordonne" de "comparaître en personne" -fin juillet- au cabinet d'un juge parisien.
N'ayant pu me rendre à ma première convocation, j'avais pris le soin de faire savoir au juge que je serai évidemment disponible pour une audition ultérieure afin d'être interrogé sur les faits qui me sont imputés.
Surprise, surprise : contrairement au litige pour "diffamation" qui m'oppose à Pierre Bergé (et dont des reports de convocation avaient pu être obtenus sans difficulté), l'affaire Bataclan/Ghozlan bénéficie visiblement d'un traitement express de faveur.
En moins de deux mois (délai rare en matière de délit de presse, a fortiori pour un article consultable en ligne depuis novembre 2015), un policier (fin mai) et un juge (fin juillet) m'auront ainsi interrogé afin de parachever ma mise en examen.
Comme l'indique le passage ci-dessous extrait d'un ouvrage juridique, le "mandat de comparution" peut être employé pour "impressionner" le prévenu.
Précision : le parquet de Paris, dirigé par François Molins (un proche de Sammy Ghozlan) et censé être indépendant de l'extrême droite israélienne, a validé la plainte (formulée de la sorte par les deux avocates de Ghozlan) pour "provocation à la haine contre la nation judéo-israélienne" en la reformulant.
Dans l'image ci-dessous figurent les 4 phrases présentées par la justice française comme ma "provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence contre les juifs et la nation israélienne".
Ami lecteur, sachez que vous êtes directement insulté et diabolisé à travers cette tentative d'intimidation judiciaire aujourd'hui orchestrée sans vergogne par le lobby sioniste.
Dès que possible, je vais devoir recourir aux services d'un avocat disponible, au tempérament audacieux et connaisseur du droit de la presse. Ce nouveau procès à venir sera long, fastidieux et coûteux.
La peine encourue : un emprisonnement d'un an ferme.
VOUS pouvez contribuer à garantir ma défense, matérielle et civique.
* En participant, quelque soit la somme, aux frais de justice -via un don sécurisé sur le site Paypal ou un simple virement bancaire.
* En vous abonnant à Panamza pour consolider le lectorat et renforcer la force de frappe du site.
Je ne compte pas sur les journalistes mainstream et les militants emblématiques de la scène propalestinienne hexagonale, toujours enclins à s'indigner à la moindre atteinte à leur liberté d'expression ou de manifestation mais particulièrement lâches dès qu'il s'agit d'exposer en pleine lumière les ramifications et agissements occultes de la nébuleuse pro-israélienne. Ils partagent avec leurs adversaires la même soumission au terrorisme intellectuel en vogue de "l'anticomplotisme", cette nouvelle et risible chasse aux sorcières visant à discréditer sans le moindre argument de fond tout citoyen mettant en doute une version officielle.
Je compte sur VOUS, lecteur bienveillant de Panamza : votre solidarité et votre mobilisation feront la différence.
Il est grand temps que la peur change de camp.
Contrairement aux élites aujourd'hui au pouvoir, la nouvelle génération en gestation de citoyens engagés en politique devra se confronter –franchement, précisément, radicalement– à l'emprise et la nocivité du lobby sioniste dans l'appareil d'État français.
NOUS sommes le nombre, ils sont la minorité.
HICHAM HAMZA
Auteur, fondateur du site Panamza et journaliste d'investigation depuis 2008
Contact : [email protected]
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Attentat de Nice : les autorités ont laissé pourrir le cadavre du terroriste
Secret d'État. Une interrogation à propos de l'attentat perpétré à Nice le 14 juillet 2016 est soigneusement esquivée par les médias traditionnels : pourquoi les autorités ont-elles attendu un an avant de remettre la dépouille du terroriste présumé à sa famille?
Le 03.07.2017 à 23h11
Le 18 juillet 2016, moins de quatre jours après le mystérieux attentat survenu à Nice, le corps de son auteur présumé -dénommé Mohamed Lahouaiej Bouhlel et retrouvé mort sur le siège passager du camion- a été autopsié.
Il faudra attendre le 30 juin 2017, soit près d'un an après son décès officiel au volant de son camion, pour que le corps de Mohamed Lahouaiej Bouhlel soit rapatrié en Tunisie pour pouvoir enfin être inhumé.Le 8 septembre -soit près de 2 mois plus tard, les analyses toxicologiques -dont les résultats ont été obtenus et validés en quelques jours- n'avaient toujours pas été communiquées par l'autorité judiciaire ou fait l'objet de "fuites" dans la presse, contrairement à celles des terroristes présumés du 13 novembre.
À noter : le père de Mohamed Lahouaiej Bouhlel avait fait savoir à la radio tunisienne Mosaïque FM qu'aucune "partie officielle" ne l'avait contacté pour l'appeler à récupérer la dépouille autopsiée de son fils.Selon Le Figaro, "le parquet parisien qui supervise l'enquête sur l'attentat n'a pas souhaité communiquer sur les raisons pour lesquelles le corps est resté à Nice près d'une année".
Rappel : le parquet de Paris est dirigé par François Molins, un proche du lobby sioniste.
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Un "militaire" accuse l'État d'avoir laissé faire les attentats de Paris
INFO OU INTOX? Dans une vidéo publiée sur Internet, un homme -se présentant comme un "militaire-hacker" travaillant pour les services français- affirme que le tandem Hollande/Valls a délibérément laissé commettre les attentats de l'Hyper Cacher et du 13 novembre 2015. Panamza a tenté de retracer l'origine de ce témoignage-choc.
Le 29.06.2017 à 15h22
Le 20 avril, soit trois jours avant le premier tour de l'élection présidentielle, deux hommes ont réalisé une étrange vidéo.
Farce destinée à piéger les citoyens qualifiés avec mépris de "complotistes" (à l'instar du grossier faux-documentaire sur les "origines américaines du sida" monté par le guignolesque Thomas Huchon du site Spicee) ?
Ou première apparition d'un lanceur d'alerte révulsé par la légende officielle des mystérieux attentats de janvier et novembre 2015?
Juste avant le 1er tour, un autre document mettait en cause les services de l'État sur un point précis mais peu discuté dans la presse traditionnelle : l'enquête journalistique "Bienvenue place Beauvau" révélait incidemment qu'une cellule clandestine de hackers – installée en banlieue parisienne- avait pour mission de siphonner secrètement et illégalement tout ordinateur à distance susceptible d'intéresser le sommet de l'État.
Dans la vidéo réalisée le 20 avril et publiée le 8 juin sur Youtube, l'homme -interrogé le visage flouté- prétend appartenir à ce type de structure clandestine (dénommée "Richelieu").
Dans son témoignage flouté et remixé, ce "militaire" -surnommé "Michel" par l'intervieweur (également anonyme)- tient notamment (vers 14') deux allégations troublantes :
* L'attentat de l'Hyper Cacher (dont Panamza avait révélé la vente des locaux la veille) aurait été précisément anticipé, au détail près, par les services.
* Les terroristes du 13 novembre 2015 auraient été, en amont, filés, tracés, voire "manipulés" : le commando du Stade de France aurait été ainsi neutralisé en direct par la prise en charge -à distance- de leurs ceintures explosives…
https://youtu.be/9z4AixsCelQ
Le compte Youtube, crée le 1er juin 2017 selon le codage de la page, est attribué au pseudonyme "Hubert Douchamp".
Le Youtubeur, visiblement hostile au duo Hollande-Macron et à la famille Rothschild, a notamment posté sa vidéo mi-juin sur les sites "Reseau international" et "Riposte laïque".
Ce dernier site, animé par la militante antimusulmane Christine Tasin, a aussitôt mis en avant la vidéo dans un article paru le 14 juin.
Dans la nuit du 14 au 15 juin, un usager de Facebook la publie sur son compte : plus de 48 000 visionnages ont été effectués depuis (12 000 via Youtube).
Le 18 juin, Douchamp relaie sa vidéo sur le site de LCI.
Le 24 juin, le Youtubeur s'exprime davantage sur un site francophone pro-Trump.
Pourquoi avoir choisi "Hubert Douchamp" comme pseudo?
La seule référence historique au patronyme renvoie à un ouvrier figurant dans un monument édifié sur un lieu dénommé aujourd'hui la "place des Déportés", en référence aux hommes qui devaient être déportés en 1916 vers l’Allemagne pour le travail obligatoire…
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Mis en examen pour avoir enquêté sur l'attentat du Bataclan
Journaliste indépendant et fondateur du site d'investigation Panamza, je suis convoqué chez un juge. Mon "infraction" : mes révélations factuelles et irréfutables sur les responsables du Bataclan sont qualifiées de "provocation à la haine contre la nation judéo-israélienne".
Le 22.06.2017 à 12h01
« Les Palestiniens doivent faire la paix ou disparaître » : telle fut la déclaration tenue, fin 2015, lors d'un rassemblement pro-israélien (en présence de Bernard-Henri Lévy et Yann Moix) par Sammy Ghozlan.
https://www.youtube.com/watch?v=UiXqy9ifESo
Né en 1942, l'extrémiste franco-israélien Alain Sam (dit Sammy) Ghozlan -qui prétend représenter la communauté juive de Seine-Saint-Denis- réside aujourd'hui à Netanya, en Israël.
Sa particularité?
Avoir fondé en 2002 -et continuer de diriger à ce jour- le BNVCA ("Bureau national de vigilance contre l'antisémitisme"), groupuscule qualifié par The Times of Israel de "liaison entre la police française et la communauté juive".
https://youtu.be/NxkqabXDeL8
Membre péremptoire d'un lobby juif international dénommé "B'naï Brith", cet ex-policier (à l'origine de la création politico-médiatique de l'imam pro-israélien Hassen Chalghoumi), autrefois proche du clan Sarkozy et du Crif, adopte aujourd'hui la posture d'un islamophobe décomplexé.
En mars 2016, lors d'un rassemblement organisé par une association israélienne oeuvrant en faveur de l'intégration des Français juifs, il désigna (à 2'28) "la conversion à l'islam" comme "un danger pour les juifs de France".
https://youtu.be/iRcfcoL5AE4
Détail à souligner : Ghozlan a bénéficié d'un don de 7000 euros pour son association.
Le généreux donateur : Meyer Habib, député UDI et communautariste franco-israélien.
En 2016, cet ami intime de l'ultra-nationaliste Benyamin Netanyahou, déjà prodigue envers son propre fils, a partiellement utilisé sa réserve parlementaire (130 000 euros par an et par député, à destination "d'associations ou fondations menant des projets d’intérêt national") pour soutenir et financer le BNVCA.
Un simple coup d'oeil rapide sur l'usage de ses fonds pour les années 2016, 2015 et 2014 permet de découvrir la part stupéfiante de l'argent public accordé -via Meyer Habib- à des mouvements juifs radicaux, basés ou non en Israël, tels les Loubavitch : 3500 euros en 2016, 4000 en 2015 et 4000 en 2014.
Bénéficiaire des fonds publics, Ghozlan –proche du procureur de la République François Molins– a visiblement le bras long.
*************
Mercredi 17 mai, j'ai été auditionné par un policier de la Brigade de répression de la délinquance contre la personne (BRDP).
Le motif : une plainte avait été déposée à mon encontre -en octobre 2016- par le BNVCA sous prétexte de ma publication d'une enquête précise et rigoureuse sur l'attentat du Bataclan.
Titre de mon article publié le 15 novembre 2015 et massivement partagé sur Facebook : "Le Bataclan, vendu le 11 septembre par son détenteur parti en Israël".
Il s'agissait là de ma 4ème convocation policière en trois ans et demi : Caroline Fourest, Pierre Bergé et Gilles Clavreul (également à propos du Bataclan) furent les personnalités -toutes étroitement liées à la nébuleuse islamophobe et sioniste- qui avaient auparavant initié une procédure judiciaire à mon encontre.
Mon interrogatoire de février 2016, suscité par le bras droit du Premier ministre ultra-sioniste Manuel Valls, s'était d'ailleurs conclu par un placement abusif en garde à vue. Pour rien : la justice disposait de 6 mois maximum pour prolonger l'enquête préliminaire par une mise en examen. Fin août 2016, j'apprenais que la procédure était abandonnée. Deux mois plus tard, le BNVCA de Ghozlan reprenait le combat judiciaire à mon encontre.
*************
Face au policier qui m'interrogeait le 17 mai pour confirmer que j'étais bien l'auteur de l'article incriminé, j'ai découvert la teneur délirante de la plainte portée à mon encontre et validée par une commission rogatoire déclenchée le 27 avril par la juge Mylène Huguet, vice-présidente du Tribunal de grande instance de Paris, à la suite d'un réquisitoire du procureur Molins (un proche de Ghozlan) en date du 13 avril.
Fin juin, je suis -en conséquence- convoqué au bureau de la magistrate pour être mis en examen.
Écrit noir sur blanc : je suis accusé de commettre régulièrement sur Panamza -et notamment dans cet article- l'infraction de "provocation à la discrimination, la haine ou la violence à l'égard de la nation judéo-israélienne".
En clair : pour avoir exposé les collusions, manoeuvres et instrumentalisations du terrorisme par l'État israélien, j'aurais incité mes lecteurs -si l'on en croit la prose guignolesque des avocates du BNVCA (Karine Rozenblum et Delphine Chlewicki Hazout)- à commettre des actions violentes ou tenir des propos haineux envers tout Israélien sous prétexte qu'il serait… Israélien ou juif.
Bref, vous l'aurez compris : il s'agit là d'une volonté explicite -sous couvert de chantage à l'antisémitisme– de criminaliser toute critique ou exposition des méfaits commis à travers le monde par le gouvernement israélien en général et ses services secrets en particulier.
http://www.dailymotion.com/video/x3yvy8k_shulamit-aloni-explique-la-reductio-ad-hitlerum-pour-amalgamer-anti-sionisme-et-antisemitisme_news
Rappel : je suis l'auteur d'un ouvrage (jamais réfuté à ce jour) dans lequel je mets clairement en cause -preuves à l'appui- le régime de Tel Aviv dans la co-réalisation de l'opération mystificatrice du 11-Septembre et, plus largement, dans sa pratique historique (mais méconnue par l'opinion publique française) du terrorisme sous faux drapeau.
https://youtu.be/7RP4lJVYmgs
Je suis également l'auteur d'une contre-enquête détaillée, sourcée et politiquement risquée sur les mystérieux attentats de janvier et novembre 2015.
https://youtu.be/HQSBItQjWMM
https://youtu.be/1KRF6Hcw5zY
https://youtu.be/bIgq77JI3cQ
https://youtu.be/vIvp5qU-prc
https://www.youtube.com/watch?v=8bxuXJb0P-U
Ami lecteur, sachez que vous êtes directement insulté et diabolisé à travers cette tentative d'intimidation judiciaire aujourd'hui orchestrée sans vergogne par le lobby sioniste.
Dès que possible, je vais devoir recourir aux services d'un avocat disponible, au tempérament audacieux et connaisseur du droit de la presse. Le policier qui a procédé à mon interrogatoire m'a fait savoir que je serai automatiquement mis en examen par la juge d'instruction. S'ensuivra alors un nouveau procès, long, fastidieux et coûteux dont la peine encourue est un emprisonnement d'un an ferme.
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* En participant, quelque soit la somme, aux frais de justice -via un don sécurisé sur le site Paypal.
https://www.paypal.com/cgi-bin/webscr?cmd=_s-xclick&hosted_button_id=BHJ4NWRSL7NFJ
* En vous abonnant à Panamza pour consolider le lectorat et renforcer la force de frappe du site.
http://www.panamza.com/abonnez-vous
Je compte sur votre solidarité et votre mobilisation.
Il est grand temps que la peur change de camp.
Contrairement aux élites aujourd'hui au pouvoir et aux timorés militants emblématiques de la scène propalestinienne hexagonale, la nouvelle génération en gestation de citoyens engagés en politique devra se confronter –franchement, précisément, radicalement– à l'emprise et la nocivité du lobby sioniste dans l'appareil d'État français.
NOUS sommes le nombre, ils sont la minorité.
HICHAM HAMZA
Auteur, fondateur du site Panamza et journaliste d'investigation depuis 2008
Contact : [email protected]
https://youtu.be/78oLHrBlDjU
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Attentat du Bataclan : le "responsable" de la salle est lié aux intégristes israéliens
INFO PANAMZA. "Responsable" officiel de la salle du Bataclan, Joël Touitou est le frère de David Touitou, célèbre rabbin israélien, antimusulman et antichrétien qui incite les juifs à quitter au plus vite la France pour venir renforcer Israël dans l'attente du Messie.
Le 18.04.2017 , mis à jour le 07.07.2017
*Mise à jour du 07.07.2017 : en raison de ma scandaleuse mise en examen pour avoir enquêté sur l'attentat du Bataclan, j'ai décidé de rendre accessibles au plus grand nombre mes articles passés et futurs -jusqu'ici réservés aux abonnés– sur le sujet. À suivre… HH
*****************
Souvenez-vous : dès le 15 novembre 2015, soit le surlendemain des attentats de Paris, Panamza rapportait en détail la connexion intime du Bataclan avec une famille de propriétaires-gérants reliés à Israël : les frères Pascal et Joël Touitou. Ce dernier assure la "responsabilité" de la salle jusqu'en septembre 2018.
https://www.youtube.com/watch?v=K6TdlBeAej0
Le tandem n'avait jamais évoqué publiquement son lien familial avec une vedette des cercles juifs les plus extrémistes : David Touitou.
Le 23 février, un lecteur de Panamza a publié en ligne sa propre découverte.
https://youtu.be/7YeJWwGw-Tw
Frère de Pascal Touitou (recruteur des agents de sécurité du Bataclan), David Touitou est une figure charismatique de l'extrême droite religieuse israélienne et francophone soumise au grand rabbin séfarade d'Israël : Yitzhak Yosef, fils du rabbin raciste Ovadia Yossef (un personnage encensé par l'ex-président Shimon Peres).
https://youtu.be/1NTNI4_h6No
Installé –comme Joël Touitou– dans la ville israélienne d'Ashdod (celle dans laquelle se terre le cybercriminel Grégory Chelli), David Touitou fut le premier rabbin à avoir appelé les juifs de France, au lendemain de la sombre affaire de l'Hyper Cacher, à venir habiter en Israël.
Le rabbin -qui attend l'arrivée imminente du "Messie" censé faire triompher Israël contre le reste du monde- fait ainsi savoir cyniquement qu'il considère la France comme "un pays musulman" et que la guerre déclarée contre elle par Daesch n'est "pas la nôtre".
https://www.youtube.com/watch?v=uuTo6wtEQr0
L'enseignement prodigué -avec l'éloquence d'un télévangéliste- par cet homme parfaitement aligné sur l'extrême droite israélienne aujourd'hui au pouvoir est illustré par la vidéo ci-dessous.
Détail étrange : consacré à l'avenir de la communauté juive après les attentats du 13 novembre, ce long entretien surréaliste -qui donne la part belle au racisme anti-arabe des deux interlocuteurs (notamment à 35'30)- ne fait jamais mention du lien personnel et intime de David Touitou avec le Bataclan.
https://youtu.be/T7TmDYxQp7Q
"Daech n'est rien d'autre qu'un pouce d'une main. L'Histoire nous montrera", déclare-t-il (à 29'40), l'air sybillin.
Auparavant, le rabbin connecté au Bataclan avait annoncé sa venue en région parisienne pour des conférences organisées entre le 9 et le 11 novembre 2015, dans les jours qui précédèrent les attentats.
https://youtu.be/mqkWKx–jy0
Ses deux frères en charge du Bataclan n'étaient pas dans l'Hexagone le soir du drame : Joël était chez lui, en Israël, tandis que Pascal était en Guadeloupe.
https://youtu.be/tT9Dw5u_-D4
Panamza développera prochainement ces informations et reviendra également sur un nouveau volet de l'enquête consacrée à l'affaire du Bataclan.
HICHAM HAMZA
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Attentat du Bataclan : Cazeneuve se venge d'un témoin trop bavard
Un médecin attaché au ministère de l'Intérieur a été sanctionné. Son tort : une troublante révélation -aussitôt relayée par Panamza mais passée ailleurs sous silence- à propos de l'attentat du Bataclan.
Le 29.03.2017 , mis à jour le 06.07.2017
*Mise à jour du 06.07.2017 : en raison de ma scandaleuse mise en examen pour avoir enquêté sur l'attentat du Bataclan, j'ai décidé de rendre accessibles au plus grand nombre mes articles passés et futurs -jusqu'ici réservés aux abonnés– sur le sujet. À suivre… HH
*****************
Souvenez-vous : le 16 novembre, Panamza soulignait une information stupéfiante à propos de l'actuel Premier ministre Bernard Cazeneuve.
13-NOVEMBRE : LA DIABOLIQUE PRÉDICTION DE BERNARD CAZENEUVE.
Jeudi 10 novembre, un récit intitulé "Les coulisses du 13 novembre" et rédigé en collaboration avec les autorités était publié.
Dimanche 13 novembre, sur France 5, son co-auteur François Malye confirmait de vive voix un passage troublant du livre.
Dans "l'après-midi" du 13 novembre 2015, lors de sa journée de présentation du plan de lutte anti-armes, le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve aurait déclaré à Michel Cadot, préfet de police de Paris, la phrase suivante : "Je redoute un attentat qui ferait 130 morts" {https://youtu.be/V3S5AZB6I00?t=43m20s; http://panamza.com/ceg}. Le bilan des victimes du 13-Novembre s'élèvera à 130 morts exactement {https://youtu.be/
XTVgTTWw8ng}. Rappel : le matin et la veille du 13 novembre 2015, des attentats similaires à ceux qui se dérouleront dans la soirée étaient simulés par le Samu de Paris, les sapeurs-pompiers et le RAID {http://
www.dailymotion.com/video/ x4zxmue_13-novembre-des-att entats-simules-depuis-la-v eille_news}. À souligner : Michel Cadot, préfet de police de Paris depuis juillet 2015, a été mis en cause par le Canard enchaîné du 9 novembre 2016. Le motif : il aurait fait obstacle à l'intervention rapide de gendarmes pourtant présents aux abords du Bataclan afin de privilégier les policiers sous son commandement {http://panamza.com/cei}.
Comme Bernard Cazeneuve, Michel Cadot entretient des relations étroites et conniventes avec le clan sioniste : les deux photographies (en bas de l'image) illustrent sa participation incongrue -le 30 mai 2016- à la célébration d'Israël aux Folies Bergère, en compagnie de l'ambassadrice israélienne et du président du Crif {http://panamza.com/15893; http://panamza.com/13099}.
Pour en savoir plus sur les attentats de Paris, consultez le dossier de Panamza {http://panamza.com/
cabale-vendredi13}. Cinq mois plus tard, Bernard Cazeneuve, devenu entretemps chef du gouvernement, manifeste une étrange volonté de garder un strict contrôle sur la narration officielle du 13-Novembre.
Dans sa ligne de mire : un médecin présent dans la salle du Bataclan, le soir du drame.
Jeudi 23 mars, ce secouriste, dénommé Matthieu Langlois et issu du RAID, a été convoqué pour une audience disciplinaire qui, selon L'Obs, devait se "se solder par un blâme, voire par une exclusion temporaire de quinze jours."
Le lieu : l'IGPN, soit la police des polices, organisation (chapeautée par une proche de Manuel Valls) qui avait fait preuve d'une curieuse indifférence à propos de la videosurveillance enregistrée lors de l'attentat de Nice.
Le tort du médecin –dont le patron du RAID a été récemment limogé : ne pas avoir attendu la validation formelle du ministère de l'Intérieur (et notamment celle de Jean-Marc Falcone, directeur général de la police nationale) pour faire publier son récit de l'attentat.
Son livre -qui ne comporte aucune critique envers l'institution policière- relaie pourtant une troublante information passée sous silence par la presse traditionnelle : l'attentat du Bataclan avait été simulé la veille par une équipe du RAID.
Dès le 31 octobre, quelques jours après sa parution, Panamza avait fait écho de cette révélation-clé, via la vidéo ci-dessous.
Dans son ouvrage, Langlois (lauréat d'un prix décerné par un éminent général) ne décline jamais le patronyme complet des responsables -au sein du RAID- de la simulation du 12 novembre 2015.
Une fait est cependant acquis : à en croire ses propos retranscrits par le site du ministère israélien du Commerce, l'homme -convié le 24 avril 2017 par l'ambassade d'Israël à une rencontre de mutualisation sur la médecine d'urgence- témoigne incidemment, comme son ancien patron Jean-Michel Fauvergue (aujourd'hui député macroniste), du rôle discret d'Israël dans le travail quotidien du RAID.
Pour nous, c’est une évidence de rencontrer les médecins israéliens car nous lisons toujours avec grand intérêt leurs interventions dans la presse médicale.
A la base de nos concepts au RAID, nous nous sommes inspirés de ce que les Israéliens font et recommandent au vu de leurs nombreuses expériences (terrorisme, tuerie de masse, prise d’otages, etc).
HICHAM HAMZA
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Orly : un attentat simulé onze jours avant
INFO PANAMZA. L'attaque "terroriste" survenue samedi avait été simulée onze jours auparavant à l'aéroport d'Orly. Révélations.
Le 20.03.2017 à 19h57
Souvenez-vous : Panamza avait rapporté que les attentats du 13 novembre et du Thalys avaient, juste auparavant, fait l'objet d'une simulation quasi-similaire aux faits qui se dérouleront dans la réalité.
Lundi 20 mars, deux jours après les évènements encore nimbés de mystère qui se sont produits au sein de l'aéroport d'Orly, et au terme de la nuit agitée de "l'islamiste" Zied Ben Belgacem (sous l'emprise de l'alcool, du cannabis et de la cocaïne), Panamza est en mesure d'apporter une nouvelle information, recoupée et basée sur trois sources conventionnelles.
Selon Le Parisien, La Lettre A et un quotidien du Val de Marne, les forces d'intervention antiterroristes (BRI, GIGN, RAID) ont effectué un exercice "grandeur nature" à Orly dans la nuit du lundi 6 au mardi 7 mars.
Architecte de l'opération : l’Unité de coordination des forces d’intervention (UCOFI) dont la nouvelle organisation relève d'une "suggestion" émise par Meyer Habib, ami intime de Benyamin Netanyahou…
Superviseur de l'exercice comprenant une prise d'otages et une fusillade : Philippe Boutinaud, patron des sapeurs-pompiers de Paris, planificateur de la simulation du 13 novembre et ex-conseiller militaire de l'Otan…
HICHAM HAMZA
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Attentats de Bruxelles : le rescapé israélien venait de contracter une juteuse assurance
INFO PANAMZA. Présenté aujourd'hui comme la cible spécifique d'un terroriste de l'aéroport de Bruxelles, un rabbin israélo-américain -qui dit avoir été blessé lors de l'attentat- a été indemnisé de «plusieurs centaines de milliers d'euros» grâce à son assurance voyage souscrite in extremis.
Le 24.01.2017 à 19h36
Si l'on en croit une dépêche publiée aujourd'hui par l'agence France-Presse, les enquêteurs chargés d'analyser l'attentat commis le 22 mars à l'aéroport de Bruxelles auraient récemment fait une découverte.
Selon un enquêteur, le commando de djihadistes de l'aéroport de Zaventem avait "des cibles assez particulières". Les trois hommes auraient eu l'intention de tuer en priorité des ressortissants américains, et probablement juifs.
L'enquêteur interrogé appuie ses propos sur le visionnage des images de vidéosurveillance tournées dans le hall des départs de l'aéroport. Un des kamikazes, Najim Laachraoui, "semble se diriger précipitamment vers deux juifs orthodoxes" en habit traditionnel, indique-t-il. Sur ces images, le jeune homme se trouve d'abord au milieu d'une soixantaine de lycéens dans la zone d'enregistrement. Puis, indique cette source, il aperçoit deux personnes habillées selon la coutume vestimentaire orthodoxe et "semble se déplacer précipitamment" vers eux.
Soudainement, "il court pour sortir du groupe (…) il voulait vraiment, clairement, tuer un juif", ajoute l'enquêteur. "On a échappé à un massacre encore plus important", estime-t-il. Car si Najim Laachraoui ne s'était pas extrait du groupe de lycéens, "il aurait pu tuer 60 personnes", se projette l'enquêteur.
Qui sont ces "deux personnes habillées selon la coutume vestimentaire orthodoxe"?
Identifiés par des médias israéliens comme des membres d'une communauté hassidique (juifs ultra-orthodoxes), ils auraient été soignés à Jérusalem.
L'AFP omet de rapporter leur identité.
Pour connaître le nom de ces deux rescapés qui auraient été expressément visés par les terroristes, il faut consulter la presse communautaire juive.
Dès le 22 mars, un site dédié aux juifs orthodoxes rapporte un patronyme : celui de Chaim Winternitz, présenté comme un membre de la communauté hassidique Belzer.
Un mois plus tard, le Jerusalem Post indique le prénom de son beau-frère, également blessé : Mendel.
Le 20 novembre, le quotidien israélien a consacré un papier plus étoffé à propos du tandem "miraculé". Chaim Winternitz affirme ainsi que sa femme Esther lui avait souscrit -juste avant l'attentat- une assurance voyage qui leur a permis d'être indemnisé de plusieurs "centaines milliers d'euros".
Incidemment, le Jerusalem Post précise que les deux hommes sont suivis depuis leur retour en Israël par un organisme caritatif singulier : le OneFamily, fondé et dirigé par l'Israélo-Canadien Marc Belzberg, membre d'un lobby sioniste basé en Californie, mécène du Likoud et donateur de Benyamin Netanyahou.
Coïncidence troublante : le 22 mars, Chaim Winternitz était en provenance d'Antwerp, ville dont était parti ce matin-là un autre juif orthodoxe résidant aux États-Unis. La particularité de Pinches Kupferstein : il fut à l'origine de la première vidéo amateur de l'attentat de Bruxelles.
HICHAM HAMZA
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https://youtu.be/78oLHrBlDjU
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https://youtu.be/QoQXJeKCEZM
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La France et Israël avaient préparé la "simulation" d'un attentat à Nice
INFO PANAMZA. Depuis 2014, les appareils sécuritaires de France et d'Israël s'étaient associés pour réaliser conjointement le "scénario" d'un attentat terroriste sur Nice. Révélations.
Le 31.08.2016 à 18h59
"Les Israéliens ont conscience de leur environnement et des voitures suspectes.
Un camion comme celui-ci dans une place bondée aurait suscité la méfiance.
Beaucoup peut être fait pour éduquer les Européens dans la prévention du terrorisme".
Ces propos ont été publiés le 18 juillet par The Jewish Journal et tenus par l'Israélien Boaz Ganor.
Même tonalité dans sa déclaration rapportée par The Jerusalem Post : d'après lui, les Européens vont connaître des attentats de plus en plus sanglants.
La particularité de l'individu : présenté comme un "expert" de la lutte antiterroriste en charge d'une antenne du Mossad, cet "ancien conseiller" du gouvernement israélien et proche de Benyamin Netanyahou chapeaute un évènement singulier et totalement passé sous silence par la presse française.
Depuis mars 2014, Ganor préside la préparation d'un rassemblement dénommé "Le Congrès International sur la Sécurité Intérieure et la Gestion de Crises".
Initialement prévu à Nice pour décembre 2015, ce forum avait été reporté à février 2016. Nouveau report annoncé alors pour octobre 2016 en raison –selon sa page Facebook– des contraintes de "l'état d'urgence en France".
À ce jour, la page d'accueil anglophone du site précise désormais que le Congrès est "reporté à 2018".
Entre les deux derniers reports, un attentat d'un genre inédit s'était produit localement : un séducteur bisexuel de Nice se radicalise soudainement au nom de Daech et conduit le 14 juillet un camion en direction de la foule tout en lui tirant dessus au pistolet automatique.
Le "loup solitaire" : tel est le nouveau "défi" croissant selon Boaz Ganor, interviewé par ses étudiants de l'Institut du contre-terrorisme d'Herzliya au début du mois de juillet.
En partenariat avec la municipalité d'un accueillant Christian Estrosi, l'organisation logistique du Congrès de Nice fut confiée à Eyal Halevy, le fils d'un célèbre général israélien particulièrement lié aux lobbies sionistes américains.
Détail-clé à souligner : le Congrès de Nice prévoyait la "simulation" d'un attentat local. Selon le site du Congrès, ce "scénario" a été co-écrit par "l’agence gouvernementale française Le Haut Comité Français pour la Défense Civile (HCFDC) sous le patronage du Ministère français de l’Intérieur et du Secrétariat du Conseil de Défense et de Sécurité Nationale (SGDSN)".
Rappel : Bernard Cazeneuve, ministre de l'Intérieur, et Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, avaient été pointés du doigt pour leur gestion sécuritaire du rassemblement du 14-Juillet à Nice.
Parmi les intervenants du Congrès dont le rassemblement devait durer 4 jours à Nice, on notera la présence de Brian Michael Jenkins, acteur-clé et méconnu de la mystification du 11-Septembre (en tant que co-responsable de la sécurité du World Trade Center) et d'Alain Bauer, camarade intime de Manuel Valls.
Au lendemain de l'attentat de Nice, Bauer était d'ailleurs sollicité par RTL pour discourir -avec son style filandreux- sur le prétendu profil psychologique des terroristes de Daech.
Rappelons ici que Bauer, influent rouage de la franc-maçonnerie transatlantique, confident de Valls et idéologue emblématique de l'axe sécuritaire Paris-Washington-Tel Aviv, fut également le recruteur du premier témoin des mystérieux évènements du 13 novembre.
HICHAM HAMZA
Bonus : pour en savoir plus l'affaire de Nice, consultez le dossier de Panamza.
Attentat de Nice : le camion ne correspond pas à l'agence de location (03.09.16)
Attentat de Nice : le ministère de l'Intérieur «ordonne» le silence au propriétaire du camion (02.09.16)
La sécurité des écoliers niçois est confiée à un colonialiste israélien (01.09.16)
La France et Israël avaient préparé la "simulation" d’un attentat à Nice (31.08.16)
Nice : un "héros" placé en détention (11.08.16)
Un second tueur à Nice? Le gouvernement et les médias continuent d'occulter les témoignages (09.08.16)
Nice/Munich : liés à Israël, Richard Gutjahr et sa fille ont chacun filmé l'attentat "par hasard" (01.08.16)
Nice : épouse du vidéaste allemand, l'espionne israélienne passe sa présence sous silence (27.07.16)
Retiré, "Bastille Day" racontait l'histoire d'un attentat organisé par le ministère de l'Intérieur (24.07.16)
Lié à Israël, le vidéaste de Nice assiste également à l'attentat de Munich (23.07.16)
Attentat de Nice : France 2 vous ment (22.07.16)
Nice : le vidéaste israélien est issu d’une agence gouvernementale (22.07.16)
Quand l'AFP se moque des lecteurs de Panamza (22.07.16)
Lié à Israël, le vidéaste de Nice assiste également à l'attentat de Munich (22.07.16)
Nice : le "journaliste" lié à Israël a crié «Attaque terroriste!» juste après avoir filmé le camion (21.07.16)
Nice : un rescapé a vu deux terroristes (19.07.16)
Nice : 1 mort sur 3 était musulman (19.07.16)
Attentat de Nice : un couple israélo-américain «sauvé» grâce à un mauvais «pressentiment» (19.07.16)
Nice : le "journaliste indépendant" qui a filmé l’arrivée du camion est lié à Israël (17.07.16)
Feu d’artifice de Nice : Israel Zamon avait « prévenu » son fils qu’un attentat aurait lieu (17.07.16)
Vidéo-choc de Nice :Youtube la supprime, Le Monde vous prend pour des idiots (16.07.16)
Attentat à Nice : un Israélien diffuse une étrange vidéo (15.07.16)
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