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Les antivaccins sont surveillés par les services secrets

Des journalistes d'investigation britanniques et américains ont révélé l'engagement de leurs pays dans une "cyber-guerre" contre les citoyens doutant de l'efficacité du vaccin anti-Covid. Et la presse française ? Elle s'aligne sur le gouvernement Castex et lance la chasse aux "complotistes". La preuve par les sources.

Le 23.12.2020 à 14h21

Dans les années 80, sous l'ère déclinante de l'URSS, il était encore de bon ton de se moquer en Occident de la Pravda et d'une presse russe totalement contrôlée par le régime soviétique.

La France de 2020 n'a pourtant rien à envier au totalitarisme communiste en matière de presse.

Jetez un coup d'oeil sur le traitement médiatique des nombreux Français hostiles ou simplement sceptiques quant au vaccin à venir contre le coronavirus (supervisé en France par un homme du clan Rothschild).

 

Dans la droite ligne d'Emmanuel Macron et de l'agent de propagande sioniste Rudy Reichstadt, l'unanimité des journalistes encartés -dits abusivement "professionnels"– est vent debout contre la contestation, notamment celle en ligne à travers les réseaux sociaux, Youtube et les blogs.

La mode sémantique du moment chez les journalopes (de tous bords et assistés par des spécialistes anonymes ou des pseudo-experts tel le guignolesque Tristan Mendès France) : évoquer une "épidémie" pour désigner avec mépris ou inquiétude la vague de critiques sur le vaccin, le lobby pharmaceutique ou le neoscientisme catastrophiste mis à l'honneur sur les plateaux télé.

À l'inverse, aucune enquête -y compris chez les surencensées vaches sacrées de la presse hexagonale (Mediapart, Canard enchaîné, Elise Lucet & co),- sur un sujet tabou abordé par des enquêteurs anglo-saxons : celui relatif aux méthodes discrètes des appareils d'État pour saboter/diaboliser/infiltrer la contestation anti-vaccin.

VAXX

Infiltrer ? 

Les anciens lecteurs de Panamza, connaisseurs de la supercherie du 11-Septembre, se souviendront peut-être de son nom : Cass Sunstein.

Ce juriste américain engagé contre le "complotisme", membre de l'Administration Obama et descendant d'un célèbre talmudiste, avait fait sensation en prônant "l'infiltration cognitive" des groupes (en ligne comme physiques) de contestation de la version officielle du 11-Septembre par des "agents gouvernementaux"  dans "le but de désamorcer ces théories en soulevant des doutes au sujet de leurs prémisses factuelles ou de leurs implications logiques et causales du point de vue de l'action politique" (rappelez-vous le cas de Bertrand Pillet, animateur vedette de la web-tv Thinkerview qui reconnaît aujourd'hui –après les révélations de Panamza– avoir effectivement "infiltré" Reopen911).

La méthode de Sunstein appliquée à la France de 2020 signifierait que certaines des figures montantes des "anti-vax" seraient en réalité des désinformateurs mis en scène pour dénigrer -par leurs erreurs volontaires– le débat sur le sujet. Des exemples ?

Pensez à Hold-Up (documentaire pseudo-subversif réalisé par l'obscur Barnérias et massivement promu par toute la presse -dès sa sortie en ligneavant son succès) ou à Anais Lefaucheux (propulsée devant Olivier Véran par LCI, chaîne contrôlée -via le groupe Bouygues- par la franc-maçonnerie).

Creusez aussi l'apparition soudaine de l'association Reaction 19 pilotée par Carlo Brusa, un avocat issu du camp sioniste et oligarchique de Silvio Berlusconi

Sans parler aujourd'hui en détail de Silvano Trotta, un Youtubeur dit "complotiste" qui s'avère -excusez du peu- promu tacitement par un long portrait du Monde : il sert, comme Soral, le camp Trump à travers son relais enthousiaste sur son compte Twitter du mouvement Qanon, une fumisterie sophistiquée d'Américains au service (via le général Flynn) de l'axe Moscou-Tel Aviv

Bref : Panamza propose à ses abonnés de vérifier par eux-mêmes l'implication d'ores et déjà établie des services sécuritaires anglo-saxons dans la surveillance et le sabotage des anti-vaccins britanniques et américains avec  ces 2 articles extrêmement sourcés, ci-dessous…


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