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Incroyable : le Mossad évoqué au procès Charlie

INFO PANAMZA. Gros malaise au tribunal : un protagoniste-clé de l'affaire Charlie Hebdo/Hyper Cacher a révélé sa connexion intime avec le Mossad. La preuve par les sources.

Le 20.10.2020 à 20h10

Souvenez-vous : en janvier 2020, Panamza vous révélait une édifiante information, issue de la presse belge mais passée sous silence en France. 

ATTENTAT DE L'HYPER CACHER : LA PRESSE FRANÇAISE VOUS DISSIMULE LE RÔLE TROUBLE D'UN AGENT ISRAÉLIEN

Son prénom (grec) apparaît pour la première fois en février 2015 sur le site d'information belge Sudinfo puis, quatre mois après, dans le journal français Libération : "Epaminondas" {https://www.sudinfo.be/…/charlie-hebdo-amedy-coulibaly…https://www.liberation.fr/…/la-galaxie-des-complices-d…}.

Détail accablant pour la presse française : il aura fallu attendre près de 5 ans et la révélation exclusive d'un journaliste belge (Benjamin Samyn) pour découvrir sa nationalité et son occupation réelle -celle d'un agent double de l'Etat d'Israël {https://www.rtl.be/…/attentat-de-charlie-hebdo-5-ans}.

L'homme est soupçonné d'avoir joué un rôle-clé dans l'acheminement (entre la Belgique et la France) des armes acquises par Amedy Coulibaly, terroriste présumé de l'attentat contre l'Hyper Cacher 
{https://fr.wikipedia.org/wiki/Amedy_Coulibaly}.

Détail accablant pour la justice française : cet individu -qui avait disparu au lendemain de l'attentat- n'a pas été sollicité auprès des autorités belges, grecques ou israéliennes par le procureur de la République d'alors François Molins -un homme étroitement lié aux réseaux sionistes {https://twitter.com/Panamza/status/1169254067895513088}.

Détail accablant pour la justice belge : son neveu prénommé Anastasios-qui fut d'abord inculpé- a étrangement bénéficié en avril 2019 de la suspension du prononcé, "une mesure de faveur" selon un quotidien local 
{https://www.dhnet.be/…/tribunal-deux-carolos-avaient…https://www.lameuse.be/…/charleroi-ils-avaient-rachete}.

Rappel : Panamza avait révélé la vente de l'Hyper Cacher un jour avant l'attentat et la censure médiatique -toujours en cours- des images de Coulibaly, abattu les poignets joints {https://www.panamza.com/090120-hypercacher-video-censuree/}.

MOSS

Mi-septembre, Panamza obtenait et divulgait le patronyme entier de celui qui fut surnommé le "Grec" : "Epaminondas Tsatsis".

Le 2 octobre, Panamza soulignait l'omerta de la presse en général, et de Mediapart en particulier, qui évite toute mention explicite au sujet de cet agent d'Israël.

Hier, lundi 19 octobre, coup de théâtre : convoqué par la justice (avec le statut de témoin), Tsatsis a été interrogé sur cette question par le président du tribunal.

Le prétexte : l'un des inculpés (Metin Karasular, proche de Coulibaly) avait déclaré qu'il s'agissait d'un "agent du Mossad" (impliqué par ailleurs dans la mort suspecte d'Arafat).

Réponse de Tsatsis à la barre ? 

Un démenti nonchalant suivi d'une précision…inattendue.

La version de France Inter :

Après avoir quelque peu fanfaronné sur sa double nationalité, brandissant ses deux passeports – grec et israélien – à la cour, ses deux noms – “pour protection moi [sic]” – son fils “qui travaille pour le Mossad "

La version de Marianne

Ce commercial de nationalité grecque et israélienne exporte et revend des véhicules vers l’Est de l’Europe. A en croire Karasular, ce Grec serait… un agent du Mossad, les services secrets israéliens. « C’est lui qui a tué [Yasser] Arafat, c’est lui. Quand il prenait de la coke, il me le disait », assure-t-il sans blaguer mais en faisant rire toute la salle. Cité un peu plus tard comme témoin à la barre, le nommé Tsatsis plongera tout l’auditoire dans la stupéfaction, en rectifiant : « Moi non. Mais ma fille travaille au Mossad. »

Notons que France Inter et Marianne passent conjointement sous silence l'info-clé du média belge RTL: en contact étroit avec le terroriste islamiste Coulibaly, Tsatsis lui-même avait reconnu auprès des policiers belges avoir "rendu des services à l'État d'Israël"

Notons également qu'Aurélie Sarrot de LCI (groupe Bouygues) a totalement passé sous silence ce témoignage (pourtant évoqué sur son compte Twitter) dans son compte-rendu de la journée.

Plus d'infos sur la bombe à retardement de l'affaire Charlie, prochainement, sur Panamza…



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