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Pour censurer internet, Macron privilégie le conseiller juif

INFO PANAMZA. Selon les médias français, le militant juif Gil Taïeb et l'écrivain franco-algérien Karim Amellal ont été désignés par Macron pour une prétendue "mission contre le racisme et l'antisémitisme sur internet". Une radio israélienne a révélé incidemment le dessous des cartes. En réalité, Taïeb a «choisi» Amellal.

Le 19.03.2018 à 20h58

Si l'on en croit la presse hexagonale depuis l'annonce du 7 mars faite au dîner du Crif, Karim Amellal et Gil Taïeb ont été choisis -l'un comme l'autre, à statut égal- par le président Macron pour chapeauter une mission gouvernementale relative à la "lutte contre le racisme et l'antisémitisme sur internet". Seule variante récemment apportée : la députée LREM Laëtitia Avia les assistera dans ce travail préalable à une future loi.

Dès le 8 mars, Panamza avait souligné le profil singulier des deux individus chargés de traquer la prétendue "cyber-haine" : l'ultrasioniste Taïeb et l'anticomplotiste Amellal.

TAIEBAMELLAL

Aujourd'hui, lundi 19 mars, au jour de la présentation par le gouvernement du nouveau plan de "lutte contre le racisme et l'antisémitisme", un nouvel élément d'information illustre -de manière presque caricaturale- le 2 poids 2 mesures en la matière.

Selon une radio israélienne destinée aux francophones, Taïeb -censé être un partenaire à part entière- a pourtant lui-même "choisi" le Franco-Algérien Amellal pour siéger à ses côtés. Ce faisant, son pouvoir décisionnaire trahit le traitement de faveur qui lui fut accordé par Emmanuel Macron. 

La radio publique israélienne s'appuie sur un témoignange particulièrement bien renseigné : celui de…


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