« Back home

Hanouna et Garrido vous interdisent de parler d’un « lobby juif »

Face à l'animateur et militant judéosioniste Cyril Hanouna, tout le monde s'écrase, y compris les "insoumis" Raquel Garrido et Alexis Corbière. La preuve en vidéo.

Le 17.01.2020 à 11h58

En 2013 et 2014, Panamza exposait son engagement pro-israélien.

En 2016, Panamza soulignait sa contribution à la mise en scène d'un personnage de film d'animation représentant un grotesque musulman palestinien, misogyne et homosexuel.

En 2017, Panamza révélait son soutien financier au mouvement islamophobe Ni putes ni soumises.

En 2018, Panamza dévoilait sa proximité avec le dirigeant judéosioniste radical Ariel Goldmann et leur volonté conjointe de pénaliser les "complotistes".

En 2020, sans surprise, Cyril Hanouna enfonce le clou en diabolisant auprès de son jeune public une expression pourtant légitime (notamment dans les pays anglo-saxons) du vocabulaire de la sociologie politique : "lobby juif".

btp

Prenons un exemple méconnu.

Le B'naï Brith de France, moins tapageur que le Crif.

Panamza avait déjà longuement évoqué cette discrète organisation dont l'influence est passée sous silence par la presse traditionnelle. C'était en mars 2014, à l'occasion du duel politique Hidalgo/NKM.

Il se présente comme "le plus grand organisme juif dans le monde et aussi l'un des plus anciens, depuis sa création en 1843"

Basé à Washington, le B'naï Brith dispose de plusieurs antennes à travers le monde. La représentation française, qui a célébré ses 80 ans dans les salons d'honneur de la mairie de Paris, est présidée par Serge Dahan, un homme qui affirme vouloir "protéger l'image d'Israël" et "développer un système de lobbying" en faveur de la communauté juive de France. 

Précision importante : si l'association du communautarisme juif et du terme "lobby" (utilisé par Serge Dahan lui-même) est taboue dans l'Hexagone, elle est couramment employée outre-Atlantique, y compris dans la presse juive américaine pour désigner le travail du B'naï Brith.

Il va sans dire que "lobby juif" et "lobby sioniste" recouvrent des réalités qui se superposent, comme en témoigne la vidéo ci-dessous. 

A l'occasion de ses 170 ans, le B'naï Brith avait reçu les félicitations du Premier ministre israélien nationaliste Benyamin Netanyahou apparaissant à la fin de ce clip promotionnel à la gloire du mouvement.



Le 9 janvier, Hanouna avait affirmé que le remarque de sa chroniqueuse Raquel Garrido faisant état d'un deux poids deux mesures dans le traitement gouvernemental du communautarisme était "antisémite" et "inadmissible" car elle serait une allusion tacite à l'existence d'un influent "lobby".

Le 16 janvier, Garrido a montré patte blanche en réfutant catégoriquement, l'air ostensiblement effaré, la réalité d'un tel lobby. 



Les anciens lecteurs de Panamza se souviendront que Garrido -qui brigue désormais (par un coup de force) la mairie de Bagnolet– avait manifesté, lors de mon procès contre Caroline Fourest, son soutien chaleureux (depuis la salle de la 17ème chambre) envers la militante islamophobe vedette des réseaux sionistes.

Son époux Alexis Corbière, également ami de Fourest, est lui-même connivent avec la mouvance judéosioniste, comme l'avait déjà révélé Panamza.

Sans parler ici de l'amitié affichée par Garrido avec le blogueur proche du clan israélien Jeremstar (accusé de "complicité" de "viol sur mineur") et l'obscur Cyril Legann, lié au réseaux pédophiles.

Nul étonnement à voir ainsi son compagnon Corbière faire littéralement sa carpette face à Cyril Hanouna –hier soir, dans l'émission intégrale– pour se défendre des accusations d'antisémitisme portées contre la France insoumise, notamment par un fou furieux Meyer Habib qui fut confortablement accueilli par toute la bande de chroniqueurs (d'ordinaire plus taquins et critiques…).





SOUTENEZ L'INFO-PANAMZA !

« Back home