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Nouveau chef de l’antiterrorisme : un allié d’Israël

INFO PANAMZA. Laurent Nuñez-Belda, nouveau patron de la "task force" antiterroriste de l'Élysée, est un vieil ami du militant judéofasciste Sam Ghozlan, un proche du Crif et un opposant au boycott d'Israël. La preuve en vidéo.

Le 16.07.2020 à 15h27

Mauvais signal : l'homme désormais chargé d'anticiper les menaces terroristes contre la France (via la "task force") est un serviteur zélé d'Israël, régime spécialisé dans la fabrication à travers le monde d'attentats sous faux drapeau.

L'info de sa nomination par décret a d'ailleurs été dévoilée hier en exclusivité par le magazine ultra-sioniste Valeurs actuelles, sous la plume de Louis de Raguenel, un chroniqueur de la chaîne d'info national-sioniste LCI et proche des barbouzes policiers qui s'avère être salarié par Iskandar Safa, un Franco-Libanais chrétien étroitement lié au Mossad.

 

 

Souvenez-vous : à peine nommé -fin 2018- à l'Intérieur, Panamza avait souligné la connexion intime de Nuñez-Belda avec l'ex-flic et militant juif suprémaciste installé en Israël Sam Alain Ghozlan.  

Depuis, Laurent Nuñez-Belda a confirmé son allégeance au lobby sioniste.

 

 

 

Observez sa déférence affichée en novembre 2018 auprès du Crif et son zèle pour diaboliser le boycott d'Israël (une pratique pourtant autorisée par la Cour européenne des droits de l'homme).

Quatre mois plus tard, en février 2019, il enfonca le clou auprès de Meyer Habib, le confident fou furieux du criminel de guerre et comploteur d'État Netanyahou : "Les groupuscules antisionistes sont suivis de près par les services".

Même tonalité calomnieuse auprès des autres députés : 

Quelques semaines après, en juin 2019, il fut assis à côté du patron extrémiste du Crif, lors d'un dîner entre amis de l'antenne marseillaise.

À noter : en janvier 2015, lors de l'attentat contre Charlie Hebdo, Nuñez-Belda occupait un poste-clé.

Celui de directeur de cabinet du préfet de police de Paris.

Rappelez-vous : lui et son équipe avaient alors prétendu avoir perdu de vue les terroristes cagoulés, pourtant filmés tout au long de leur fuite.

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